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Evolution forcée / Forced evolution

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Sous la pression humaine et les changements climatiques, l'animal est forcé de s'adapter, il l'a toujours été et l'a toujours fait...

Aujourd'hui, par contre, c'est une évolution accélérée qui opère.
L'animal est toujours plus intelligent que l'homme. Son intelligence est seulement adaptée à ses besoins, pas les nôtres.
Under human pressure and climatic changes, all animals are forced to change, they always were and they always did...
Today, however, a speedy evolution is involved.
Animals are more intelligent than humans. Their intelligence is only adapted to their needs, not ours. Aux Iles Caïmans, l’écotourisme modifie le comportement des raies. La surpêche alimente la prolifération des méduses.

Les hirondelles évoluent : leurs ailes raccourcissent pour mieux éviter les voitures. Quand des médicaments altèrent aussi le comportement des poissons ! > Environnement. Les médicaments qui finissent dans les eaux usées après avoir été excrétés pourraient avoir un impact écologique inattendu avec le temps selon une nouvelle étude sur la perche européenne. Tomas Brodin et ses collègues de l'Université d'Umeå ont trouvé que ce poisson se nourrissait plus vite, devenait plus hardi, et avait un comportement moins social après avoir été exposé à un médicament connu sous le nom d'oxazépam. Pour traiter l'anxiété, on utilise des anxiolytiques tels que l'oxazépam.

Les résidus de ce produit finissent souvent après leur passage par les stations d'épuration dans les systèmes aquatiques naturels où leurs effets demeurent inconnus. Dans leur étude, Brodin et ses collègues ont dosé dans la perche des quantités d'oxazépam équivalentes à celles trouvées dans les cours d'eau suédois et leurs résultats suggèrent que même de petites concentrations de ce médicament peuvent altérer le comportement et l'activité nourricière de ce poisson. Mutations chez les papillons de Fukushima : quelles conclusions en tirer ? Question : Que penser de la méthodologie adoptée et du sérieux de l’étude ?

Michel Fernex : Cette étude consacrée à un papillon bleu commun au Japon montre que les retombées radioactives de Fukushima altèrent le génome de cette espèce animale [1]. C’est un excellent travail de recherche conduit sur le terrain et au laboratoire par sept universitaires. Les photos illustrent bien les altérations congénitales qui étaient déjà présentes deux mois après les explosions chez les papillons femelles, et qu’on retrouve amplifiées dans les deux générations qui ont suivi. On était en droit d’attendre une telle qualité et une telle rapidité de la part des universitaires japonais. On doit d’autant plus regretter qu’aucune Faculté de Médecine de ce pays hautement qualifié dans ces domaines n’ait eu le même courage. En effet, les autorités cherchent à minimiser ou occulter l’impact de la dissémination des énormes quantités de radionucléides artificiels libérées suite à la catastrophe atomique. M. Des poissons plus petits et moins nombreux dans les 50 ans à venir.

Contre les pilleurs d’ivoire, des éléphants sans défenses. Study of world-famous Stingray City finds human interaction drastically alters stingray behavior. Stingrays living in one of the world's most famous and heavily visited ecotourism sites—Stingray City/Sandbar in the Cayman Islands—have profoundly changed their ways, raising questions about the impact of so-called "interactive ecotourism" on marine wildlife, reports a new study published March 18 in the journal PLOS ONE. Researchers from Nova Southeastern University's Guy Harvey Research Institute in Hollywood, Fla., and the University of Rhode Island studied the southern stingray population of Stingray City—a sandbar in the Cayman Islands that draws nearly a million visitors each year to feed, pet and swim with its stingrays—to assess how the intensive ecotourism has affected the animals' behavior.

"Measuring that impact is important because there's a lot of interest in creating more of these interactive ecotourism operations, but we know little about the life histories of the animals involved or how they might change," said study co-author Guy Harvey, who initiated the project. Les tigres coexistent avec les hommes en devenant nocturnes. Photographie nocturne d’un tigre dans la forêt nationale de Chitwan au Népal. (Centre d’Intégration de Systèmes et de la durabilité, Michigan State University) Photographie nocturne d’un tigre dans la forêt nationale de Chitwan au Népal.

(Centre d’Intégration de Systèmes et de la durabilité, Michigan State University) Selon une nouvelle étude américano-népalaise, les tigres du parc national de Chitwan et de ses alentours, au Népal, deviennent actifs durant la nuit, pouvant ainsi partager le territoire avec les humains. La population de tigres sauvages mondiale a chuté de 97% au cours du siècle dernier. Ils se limitent donc désormais à environ 3.000 sujets, dont la plupart vivent dans des zones restreintes à partager avec les humains. «Nous avons trouvé au Népal un phénomène des plus intéressants, assurant une possible coexistence entre les humains et la nature».

A Chitwan, il y a beaucoup de nourriture pour les tigres et le braconnage des félins ou de leurs proies est assez faible. Great tits search for, capture, kill and eat hiber... [Biol Lett. 2010. Great tits: murderous rapacious flesh-rending predators! – Tetrapod Zoology. If you’re a long-time reader of Tet Zoo you’ll be familiar with the remarkable fact that Greater noctules predate on nocturnally migrating passerine birds (this was discussed in a ver 1 article that I’ll update and recycle for ver 2 at some stage). Various predatory microbats around the world predate on small birds, but it was a bit of a surprise to learn that this behaviour occurred in western Europe. Of course, bats don’t have it all their own way: it’s well known that bats are heavily predated upon by raptors and owls. As revealed today by Péter Estók and colleagues in , however, it now seems that hibernating pipistrelle bats have another predator to worry about: the Great tit .

Say what? For those non-Eurasians who may not be familiar with this species, it’s a very widespread and distinctive tit (or titmouse, if you must), easily identifiable thanks to its black head, striking white cheeks and black belly stripe. ** You’ll note that I’m using the new taxonomy for tits. Refs – - Great tits: still murderous, rapacious, flesh-rending predators! Scientific American, February 8, 2013 Great tits: still murderous, rapacious, flesh-rending predators! By Bettina Boxall Thanks to Ville Sinkkonen, I’ve just learnt of this Finnish news article: it reports wildlife photographer Lassi Kujala’s discovery of more than ten Common redpollsCarduelis flammea killed by Great tits Parus major.

A Yellowhammer Emberiza citrinella was killed as well. Anyway, the (brief) article explains how this is an astonishing discovery, representing something remarkable that might be a first. Great tits mostly feed on insects and seeds. . * As is the case with so many ‘European’ birds, the Great tit has a huge range that encompasses much of Asia as well as northern Africa. ** You’ll note that I’m using the new taxonomy for tits. In recent years, the killing and eating of bats by this species became internationally known after Estók et al. (2010) published a paper on the subject in Biology Letters. While I’m here, some announcements. Back to tits. Refs – -