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Marketing

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Livres Blancs. Livre blanc: L'évolution de la stratégie digitale et mobile - RetailMeNot France » RetailMeNot France. Une nouvelle étude internationale, réalisée par RetailMeNot en collaboration avec WBR Research démontre que les marchands sont susceptibles d’augmenter leurs dépenses sur le marketing mobile pour faire face à une compétition de plus en plus acharnée. 87% des entreprises interrogées prévoient d’augmenter leurs investissements sur leur offre mobilePrès d’un tiers (32%) des répondants en France s’estiment en retard sur leurs sites internet mobiles par rapport à leurs concurrents, alors qu’ils sont plus que la moitié (56%) au Royaume-UniPrès de deux tiers des sondés (63%) pensent qu’ils pourraient davantage exploiter les possibilités du marketing digital.

En France, ils sont même 77% à partager cet avis52% des marchands interrogés se disent prêts à investir dans de nouvelles technologies avant qu’elles n’aient été testées sur leur ROI Le livre blanc est disponible ici: L’évolution de la stratégie digitale et mobile. Ces femmes "numériques" qui ont fait l'histoire. Un monument aux pionnières du digital ? C’est le concept de Women On The Map, projet activiste intégré au Field Trip de Google. Mémoire de l’humanité pour Charles Péguy, l’histoire permet de mieux comprendre le passé afin de juger le présent avec plus d’acuité.

Critiquée pour son manque de remise en contexte et de perspective, la presse du tout info a délaissé l’histoire dans son analyse de l’actualité. L’application Timeline lui redonne ses lettres de noblesse, INfluencia en dressait le portrait en janvier 2015. Quatre mois plus tard, dans Exploration, nous nous penchions sur l’application Pivot, qui ouvre les portes du temps et replonge le mobinaute dans l’histoire d’un endroit, d’une ville, d’un quartier ou d’un immeuble. Avec Women on the Map, le mouvement SPARK s’inscrit dans cette lignée. Chaque époque invente ses modèles selon la culture du moment, et l'ère actuelle est servicielle.

Il faut sauver…les super héroïnes. Séduire les générations Y et Z : la musqiue au cœur du mode de vie. Si l’on parle davantage de communautés de fans que de clients, c’est peut-être grâce aux 15-35 ans. Les digital natives, population à séduire pour de nombreux annonceurs, sont en effet les groupies par excellence. Portrait de cette génération de « musicovores »… Par crainte d’un futur de plus en plus incertain, les générations Y (21% de la population française aujourd’hui) et Z sont habituées à vivre intensément le moment présent. Née pendant l’avènement du digital, cette cible captive aspire à vivre « plusieurs vies » et fait preuve d’une grande capacité d’adaptation, menant souvent au zapping pour assouvir sa recherche constante de nouveautés. Ces 15-35 ans, extrêmement sensibles à la pop culture et avides d’entertainment sont de véritables « musicovores ». Outre leur mode de vie et leur style vestimentaire, une majorité d’entre eux se définit par la musique.

Passer du statut de consommateur à celui d’ambassadeur. La musique, créatrice d'influence et d'engagement. Trois Français sur quatre déclarent ne pouvoir se passer de musique. Ce centre d'intérêt omniprésent est devenu prépondérant et a ouvert de nouvelles perspectives pour les entreprises, qui cherchent en permanence à capter l'attention des consommateurs. Ces dernières années, beaucoup d’entre elles ont appris à manier le sujet de la musique comme celui de la communication, de l’identité, du marketing ou du design, l’intégrant comme un puissant levier d’émergence et d’adhésion, notamment via la création de communautés. Elles ne s’y sont d’ailleurs pas trompées puisque 97% des consommateurs pensent que la musique peut renforcer l’image d’une marque. Des connexions virtuelles... Christian Louboutin, Hugo Boss, Kenzo, Chanel… De nombreuses maisons de luxe ont notamment gagné en influence en utilisant les plateformes de streaming pour faire découvrir à leurs publics leur univers musical. ... au monde réel Les marques, médias musicaux à part entière ?

#Halteauxstereotypes. Issus du grec « stereos » et « tupos », les stéréotypes sont des empreintes figées. Des représentations simplifiées souvent attribuées à des groupes d’individus, des organisations ou même des pays. Consciemment ou inconsciemment, nous véhiculons des stéréotypes car nous classons les informations que nous recevons. Les stéréotypes sont alors une source de réassurance. Et une source de compréhension de soi-même et des autres. Stéréotypes : je t’aime moi non plus ? « Les individus ont besoin de stéréotypes, à la fois pour grandir et sentir qu’ils ont une place dans la société, mais ils les rejettent aussi quand ils ressentent que la société a évolué et qu’il faudrait s’en affranchir», explique Isabelle Ulrich, enseignant chercheur à Rouen Business School.

Le cerveau a-t-il un sexe ? Le micro-trottoir organisé par Womenology exprime toute la diversité des fantasmes sur ce sujet. Dorcel.com vs Dorcelle.com : liberté, égalité, sexualité Jouets : dessine-moi…un stéréotype @benjamin_smadja. Contenu : l'envol de la réalité virtuelle. Quand en août dernier, le magazine Time consacre sa une à la réalité virtuelle, c’est qu’un phénomène technologique s’apprête à changer nos comportements. Les marques les plus créatives s’adaptent déjà. Dans l’écosystème de la Silicon Valley, le portefeuille a ses raisons que la raison ne connait point. Pour une start-up qui possède la technologie offrant une nouvelle expérience aux consommateurs, empocher 66 millions de dollars, sur un tour de table estampillé series C, relève d’une banalité quotidienne.

Pourtant le pactole encaissé la semaine passée par Jaunt VR, plate-forme de création de contenu de réalité virtuelle à 360°, sort de la normalité. En possédant Disney comme premier pourvoyeur, les fonds levés prennent un sens fondateur : Hollywood jette son dévolu sur la réalité virtuelle. Trois semaines plus tôt, Samsung annonçait la création de l’application Oculus Cinema. Les constructeurs automobiles aux avant-gardes 25 ou 100 millions de casques d’ici 2018 ? Data, content et créativité : un trio de choc au service de la performance. Le nerf de la guerre des entreprises en cours de transformation digitale est de réussir à (ré)engager le consommateur. La data permet de mieux maîtriser la communication omnicanal, en proposant des contenus individualisés et créatifs.

Analyse et témoignages de professionnels par Emmanuel Vivier, co-fondateur du HUBFORUM. L’achat media est une taxe sur l’ennui. Plus une publicité, un contenu sont inintéressants, plus il faut payer pour les imposer à l’attention. Le Real Time Marketing, moteur de créativité pour maximiser l’engagement La data est une source précieuse d’informations permettant entre autre de cibler, d’affiner un message en temps réel et même de le personnaliser. Aussi évident que cela puisse paraître, un contenu engageant est celui qui apporte une valeur ajoutée aux internautes. La diversité des formats implique de repenser sa stratégie de brand content Orchestrer sa communication omnicanal pour des contenus plus engageants A ne pas louper !

Inscription et informations. Neuromarketing : mythes et réalités… Le neuromarketing révolutionne la manière dont les marques mettent en avant leurs produits. En pénétrant le cerveau des consommateurs pour découvrir leurs pensées intimes, les industriels pourraient trouver les logos et les slogans qui feraient mouche à tous les coups.

Voir les professionnels du marketing utiliser l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf), étudier les outils psycho-cognitifs ou mesurer les indicateurs physiologiques n’est pas étonnant en soi. « Les communicants ont toujours cherché à agir sur la pensée et le comportement de leurs cibles, résume Denis Benoit, un professeur en communication de l’université Montpellier 3. Le neuromarketing n’est en cela pas très différent de ce qui se faisait avant. Il utilise juste des technologies qui n’étaient pas disponibles plus tôt. » Les belles promesses marketing des images IRM Le business a ses raisons que la raison ne connaît point.

Les pros du marketing en avance sur les neurosciences Ni pertinent... ni légal. Digital Retail: les 5 tendances qui font la différence. Outside matters Les marques l’ont désormais compris: c’est depuis la rue qu’elles vont à la rencontre de leurs consommateurs. Rien ne sert d’attendre que le client se décide à passer la porte, il faut aujourd’hui savoir séduire de l’extérieur.

Les écrans multimédias permettent de présenter une expérience grand écran hors norme, loin de passer inaperçue. Un terrain de jeu qui reste à se développer en Europe. Full immersion display De plus en plus de flagship stores proposent une escalade du « Wouah Effect » via des écrans géants installés au cœur des points de vente comme chez Burberry à Londres. Les concepts stores ou pop-up stores entièrement basés sur les technologies numériques – comme le Audi City lancé début 2014 à Berlin – font leur apparition et ont pour objectif de renforcer l’expérience des points de vente traditionnels. Give choice Gamification Inévitablement, on ne pouvait parler de révolution digitale en magasin sans parler de gamification. Time effective. De l'homo faber à l'homo ludens. Open source, réseaux sociaux, nouveaux processus de co-création et de co-production, l'homme et la créativité prennent du poids dans nos économies modernes.

Véritable levier de développement pour les entreprises, elle est le reflet de nos modes de vie moins en mal de « besoin social » que de bien-être. Charles Herrmann, Philippe Durrhammer et Xavier Rémond. Trois amis de longue date. Tous trois artisans alsaciens, chauffagiste, électricien et serrurier. Désignés « Meilleur ouvrier de France » chacun dans sa catégorie. Qui ont conçu le Granulateur Mobile H-énergie, une unité mobile pour transformer des résidus végétaux, agricoles en combustible. Nicolas Huchet, mécanicien. Dénominateur commun entre les trois artisans et le jeune mécanicien : être des créateurs que l’on pourrait même qualifier d’inventeurs, dans le sens où ils ont fait preuve d’ingéniosité et créé quelque chose de nouveau.

Un infini champ des possibles De l'avant-gardisme au retour à la culture populaire. PQR: c'est une révolte, non, Sire, c'est une révolution. Créativité suédoise : la culture du « mix » En Suède, l’idée n’est pas de répliquer quelque chose déjà existant, mais de créer du nouveau. Créer directement à partir de la matière et non à partir de concepts, crayons en l’air. Une différence fondamentale entre design français et design scandinave ! House for Mother La créativité suédoise s’incarne dans un design qui sait casser les codes. Une maison, un toit triangulaire, un style nude. Evidemment. Mais le design suédois ne s’arrête pas à ce qui est nouveau. . … mais aussi Vardapoteket, pharmacie de Stockhom. Le design suédois semble intemporel. Renée Voltaire, une gamme de produits « raw food » créée par une Suédoise passionnée de cuisine. Des nouvelles technologies qui ne font pas peur… au contraire ! Une culture plus souple et plus ouverte aux nouvelles technologies ?

Le code génétique du design suédois : l’innovation permanente Maitre mot : expérimenter. Philosophie : prendre des risques. Objectif : innover. Anna Anderson Directrice de création de l’agence PULP pulp-design.com. Le mouvement des "makers" va-t-il façonner notre avenir ? Notre société est en train de vivre une véritable mutation. 3D, Fablab et consorts s'installent tranquillement et durablement. Mais la question désormais n'est pas de savoir si cela va perdurer mais comment intégrer ce changement pour les professionnels... Géo Trouvetou, bricolos du dimanche, rois de la débrouille, as du bidouillage et fans du concours Lépine, quittez vos garages poussiéreux et vos greniers sombres et humides. Le Maker Movement vous attend… Le mouvement rassemble des personnes de tous âges et de toutes spécialisations, artisans, scientifiques, ingénieurs, artistes… pourvu que leur enthousiasme pour le savoir soit entier : montrer ce que l’on a fait, et partager ce que l’on a appris.

C’est avant tout aussi un lieu de prospective, de créativité, où les acteurs inventent et explorent de nouvelles formes et de nouvelles technologies. Né en Californie... L'engouement pour le DIY Et la boule de neige a grossi, grossi… « Le Maker Movement est devenu énorme ! 10 stratégies pour se démarquer à l'ère du snacking de contenus.

Est-ce que vous vous êtes déjà posés ces questions : Avec l’avènement des adblockers sur ordinateurs et désormais sur iPhone, comment vais-je pouvoir toucher mes consommateurs ? Comment maintenir mon taux d’interaction sur les réseaux sociaux ? Dois-je entrer dans une course aux contenus en publiant de manière frénétique sur le web ? Comment sortir du lot et me faire remarquer ? Comment sortir du lot sur Facebook avec une vidéo quand le son est coupé par défaut ? Comment fonctionne le marketing viral ? Est-ce du buzz ? Si c’est le cas, cet article et cette présentation sont faits pour vous ! Beaucoup d’agences essaient de tirer leurs épingles du jeu en produisant du contenu, souvent sur-qualitatifs (avec le prix associé) pour l’usage instantané qu’en font les consommateurs mais ce n’est clairement pas la réponse adaptée.

D’autant moins que les jeunes (Millenials, Génération Z ou autres) sont des détecteurs extrêmement sophistiqués de « bullshit ». 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 3 révolutions marketing à venir dans la vidéo et la photo. L’évolution de la vidéo et de la photo regroupées sous le terme de rich media, comme élément indispensable d’une stratégie marketing à l’ère digitale, ont plusieurs raisons: La première est évidemment que dans une ère d’infobésité, le storytelling visuel est indispensable puisque le cerveau analyse 60 000 fois plus vite les images que le texte et autres statistiques (ici le MIT).La seconde est évidemment qu’avec les évolutions des usages, les internautes cherchent moins et donc le SEO (et donc le texte) perd un peu en pertinence (même si c’est encore relatif) – tendance qui se confirme un peu plus avec le mobile d’ailleurs et l’avènement des applications (oui cela a des implications profondes pour Google mais c’est hors sujet ici).La troisième est sans doute que les adolescents ne jurent que par la vidéo, il suffit de voir leurs usages de Youtube Vs Google – ils apprennent tout par Youtube, balancent des snap à leurs amis etc… 1. 2. 3.

Les auteurs: Grégory Pouy et Grégory Casper. Sur Twitter, on partage, mais on ne lit pas toujours. Twitter est-il "engageant" ? La question se pose à un double niveau. D'abord personnel, puisque quand vous partagez un lien, on s'attend à ce que vous l'ayez lu ou le trouviez intéressant. Ensuite au niveau commercial, puisque l'intérêt des entreprises qui font de Twitter un vecteur de communication est que leur message atteigne leur cible. Certes, le problème est moins important au niveau individuel. Après tout, si vous ne maniez pas consciencieusement les liens que vous partagez, au mieux vous ne serez pas suivi, au pire identifié comme un idiot fini. 2,7 milliards de tweets étudiés Mais une étude récente - elle date du mois de novembre 2012, et semble être demeurée relativement confidentielle à l'époque - montre que la plupart des gens n'ont pas forcément la bonne idée de lire tous les liens qu'ils proposent en lecture à leurs "followers".

Dan Zarrella, qui a mené l'étude pour le compte de HubSpot, s'intéresse cependant surtout aux conséquences pour les marques en quête d'audience. Google Pixel C, un nouveau concurrent pour l’iPad Pro.

Adobe vous emmène sur la lune - L'ŒIL DE L'EXTREME. Web Analytics : peut-on sérieusement se passer des cookies ? Le référencement sans mots-clés, quelles solutions ?