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L'illusion démocratique

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Possible exclusion pour une députée LREM.

L'illusion de la pluralité

La "Démocratie" vue par Ségolène Royal : "Nous ne ferons pas l'erreur de David Cameron" L’Assemblée nationale rejette l’inégibilité des élus condamnés pour violences... avec 15 votants. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts.

Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... Replay Emissions en partie ensoleillé Vent : 15km/h - UV : 4 Clôture veille : 4273.96 Ouverture : 4261.09 Replay Emissions Avec seulement 15 votants, l’Assemblée nationale a rejeté le 23 juin un amendement défendu par la députée Eva Sas, qui proposait l’inégibilité des élus condamnés pour violences, et notamment pour agressions sexuelles. Quelques semaines après les révélations de plusieurs femmes politiques, qui accusent Denis Baupin d’agressions et de harcèlement sexuel, Georges Tron, en instance de jugement aux Assises pour viols, a été investi candidat aux législatives de 2017 par son parti, Les Républicains. 15 votants seulement Tweeter Annuler.

Sanctuariser le progrès. Le référendum britannique, quel qu’en soit le résultat, constitue un tournant idéologique majeur dans l’histoire de l’Occident. Un tournant vers le pire, si l’on n’en pèse pas toutes les conséquences. Jusqu’ici, on considérait certaines évolutions institutionnelles, économiques, sociales, scientifiques, comme des avancées telles que, une fois qu’elles étaient installées, nul ne chercherait plus jamais à les remettre en cause, même pas par un vote démocratique. Avec le vote sur le Brexit, c’est ce principe, non-dit et pourtant essentiel, qui est remis en cause. D’abord, en posant cette question, David Cameron, permet à d’autres pays de l’Union qu’ils ont eux aussi le droit de se poser la même question, de défaire ce que leurs pères ont fait.

On ne pourra donc plus prétendre que le projet européen avance à des vitesses variables, dans une direction unique, et il faut admettre que l’Europe peut désormais assumer un désir de se défaire. J@attali.com. L'Assemblée nationale modifie les règles de l'élection présidentielle | LCP Assemblée nationale. Dans un climat survolté, les députés ont réformé les modalités du recueil des 500 signatures, de l'heure de fermeture des bureaux de vote et du temps de parole dans les médias. Les députés ont adopté jeudi soir en nouvelle lecture la proposition de loi organique modifiant les "règles applicables à l'élection présidentielle".

Applicable pour la prochaine élection présidentielle en 2017, la proposition de loi socialiste modifie profondément certaines règles marquantes du concours présidentiel, comme par exemple l'obligation pour tous les candidats de rendre public les fameux 500 parrainages d'élus. Une autre disposition, beaucoup plus polémique, concerne la modification de la stricte égalité du temps de parole dans les médias entre les différents candidats.

Pour beaucoup de députés d'opposition, ce texte conduit à affaiblir les petits candidats. François Fillon confie à Philippe de Villiers : "Les Bilderbergs, c'est eux qui nous gouvernent". L'état d'urgence inscrit dans la Constitution... en l'absence de plus de 400 députés. Près de 450 députés étaient absents lors du vote sur l'état d'urgence © MaxPPP - 2016 Ils étaient 441 députés absents à l'Assemblée nationale hier pour voter l'article 1 de la révision constitutionnelle, portant sur l'état d'urgence. Article adopté à une large majorité la nuit dernière. 103 députés ont voté pour, 26 contre, 7 se sont abstenus après huit heures de débats. Un hémicycle qui a été déserté hier par 441 députés. Plus de 200 amendements ont été déposés, certains proposaient l'abrogation de l'article 49.3 qui permet au gouvernement d'engager sa responsabilité et de faire adopter une loi sans vote, la suppression de l'articles sur les pleins pouvoir ou encore l'interdiction de la dissolution de l'Assemblée nationale en temps d'état d'urgence.

Contre toute attente, ce dernier amendement a été adopté. La droite pourrait l'utiliser pour refuser au Sénat de voter le texte conforme. L'état d'urgence décrété en Conseil des ministres. SELON LE CODE PÉNAL, HOLLANDE EST COUPABLE DE HAUTE TRAHISON. Lorsqu’une action criminelle est déguisée en posture « politique » ou « diplomatique », il n’en reste pas moins que la loi ne disparaît pas du Code Pénal sous prétexte de propagande. Si la réforme constitutionnelle du 23 juillet 2008 (non légitimée par un Référendum) a fait disparaître de notre Constitution le principe de « crime de haute trahison » dont pourraient se rendre coupables le président de la République et toute ou partie de son Gouvernement, il n’en reste pas moins que ce crime n’a pas été aboli dans le Code Pénal. Ainsi, le chapitre premier du livre IV du Code Pénal, porte sur « la trahison et l’espionnage ». Pas moins de neuf articles du Code Pénal sont constitutifs du crime de haute trahison, comme en dispose l’article 411-1 du Code Pénal.

Le 5 juin 2013, une bombe médiatique explose au Royaume-Uni avant de s’étendre sur le reste du Monde. A ce stade, je tiens à mentionner que l’article 226-22-1 du Code Pénal dispose que : Article L.1111-1 DU CODE DE LA DÉFENSE Geoffrey R. Florian Philippot aux élus de sa région : rendez les iPhone 6. Les conseillers régionaux ACAL (Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine) allaient s’enfouiller discrètement, sur le dos des électeurs, un iPhone 6 (de 639 à 749 euros) et une tablette Mac. Les 46 élus FN ont rendu le mardi 26 janvier 2016 ce cadeau venu du ciel (américain), mais en gardant l’iPad (pour travailler), déclenchant une nuée de commentaires désobligeants et autres grognements de la part de leurs co-élus UMPS.

C’est sûr que c’est un bon coup de pub pour le FN, en ce qui concerne « l’exemplarité », et le malin Philippot marque des points, mais c’est un coup en vache aux habitués des petits cadeaux. Pour ceux qui l’ignorent, l’hôtel de région, qui abrite l’assemblée du même nom, c’est quelque chose, en termes d’argent public, de faramineux. Populisme facile ? Tout à fait, et assumé. Lisez aussi Un kit à 1 100 euros L’intervention pas très confraternelle de Florian Philippot est ici : Nigel Farage : Nous vivons dans une Europe à la sauce Brejnev. Egalite et Réconciliation. Selon un sondage exclusif Ifop pour Atlantico, 67% des Français estiment qu’il faudrait que la direction du pays soit confiée à des experts non élus qui réaliseraient les réformes nécessaires mais impopulaires, et 40% seraient favorables à l’arrivée d’un pouvoir politique autoritaire.

Jérôme Fourquet : Cette enquête révèle des chiffres marquants et spectaculaires : deux tiers (67%) des Français adhéreraient ou seraient tentés par un gouvernement d’experts, de personnes non élues qui réaliseraient des réformes nécessaires mais impopulaires. C’est une thématique qui monte. On voit par exemple Jacques Attali envoyer des ballons d’essai sur son éventuelle candidature à la présidentielle en expliquant qu’en tant qu’expert, il va mettre des propositions sur la table et si d’aventure aucun candidat ne s’en saisit, il se réservera le droit d’y aller.

Le libellé que nous avons construit repose un peu sur cette problématique. Lire la suite de l’article sur atlantico.fr. Mais qui contrôle vraiment l'Europe? (The Brussels Business 2012) - Documentaire. Mots-clés : Brussels business, documentaire Année de production: 2012Réalisation: Friedrich Moser & Mathieu Lietaert. Durée: 85 minutes.

Synopsis: Au début des années 90, deux jeunes hommes découvrent l’énorme influence du lobbying à Bruxelles. L’un des deux en devient le principal observateur, l’autre un grand lobbyiste commercial, représentant 50% de l’économie européenne – banques, assurances, télécoms, opérateurs touristiques et de nombreuses fédérations d’affaires. En suivant les investigations de l’un et la carrière de l’autre, le film nous emmène dans les coulisses du pouvoir de la plus grande économie mondiale : l’Union Européenne. Sous la forme d’un docu-thriller, The Brussels business essaie de répondre à la question que des millions d’Européens se posent : qui dirige l’Union Européenne ? L’avis de l’AGENCE INFO LIBRE: ★★★★★ Classique et indispensable!

Bref, si vous l’avez vu, il semble évident qu’une rediffusion s’impose tant l’actualité du sujet ici traité est brûlante. La démocratie en Europe est un lointain souvenir. Je ne sais pas comment M. Delamarche fait pour participer toutes les semaines à ce grand théâtre fait pour essayer de convaincre la populasse que l’Europe...c’est bien.... Perso je suis Suisse, après discutions avec mes amis et famille, je me rend compte que beaucoup de Suisses croient que notre monnaie est "indestructible" et que notre pays est à l’abris..... monnaie à part (Frs)Perso je pense qu’ils oublient que la Suisse c’est aussi la plaque centrale de la drogue en Europe, des évasions fiscales, de la prostitution de luxe, et j’en passe.....Pourtant toutes ces personnes ont oublié les positions de la BNS, part rapport à l’euro, en début d’année !!

Et tout ça sans en avertir le conseil fédéral lol (pourtant ça en dit long sur les analyses des financiers suisses, entre le Frs et l’Euro, pour l’avenir...vous ne pensez pas ?) Je ne sais pas si M. Répondre à ce message. Le référendum, c’est interdit dans la zone euro. Mots-clés : Euro, Grèce, interdiction, Réferendum marianne.net Avant, quand l’oligarchie européenne n’aimait pas le résultat d’une consultation électorale, elle faisait revoter le peuple. Ou bien, pour le contourner, se tourner vers les élus plus dociles et conciliants. Désormais, quand est proncé le mot « référendum », c’est tout un pays qui est exclu ! S’il y a une annonce politique à retenir dans le brouhaha qui entoure la tragédie grecque en représentation sous les yeux des citoyens, c’est celle-ci : dans la zone euro, le référendum, est une pratique « in-ter-dite ».

L’annonce par Alexis Tsipras d’une consultation populaire sur le plan de « sauvetage » de la Grèce, a-t-il proclamé, « met fin à a poursuite des négociations ». Mais très symboliquement la Grèce a déjà été exclue de la zone euro, puisque l’Eurogroupe s’est réuni ensuite en l’absence du ministre hellène, Yannis Varoufakis, pour évoquer « les suites » de la décision de la Grèce. Lire la suite sur marianne.net » 1 million de signatures contre TAFTA à la poubelle.

Non, ce n’est pas Legorafi. La Commission Européenne a invalidé l’initiative citoyenne de « Stop TTIP » contre TAFTA qui vient de dépasser le million de signatures. Plus de 320 organisations de la société civile européenne se sont regroupées afin de s’opposer avec fermeté aux traités entre l’UE et les États-Unis (TAFTA / TTIP) mais aussi entre l’UE et le Canada (CETA). Ces millions de voix ne seront malheureusement pas entendues… 2 mois, 1 million d’engagements C’est du jamais vu. En effet, selon les règles européennes, une « ICE » (initiative citoyenne européenne) doit recueillir un million de soutiens pour orienter la politique de la Commission sur un sujet déterminé. Refus catégorique de la Commission Les négociations commerciales sont devenues une priorité pour l’exécutif européen qui vient d’opposer une fin de non-recevoir envers la pétition. Au prochain virage, la « World Company » ? Mais TAFTA, c’est quoi déjà ? Source : RTBF Info / rfi.fr / latribune.fr.