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Comprendre la défaite des peuples

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Pinçon-Charlot : "Les pauvres sont en trop" "Les ouvriers sont passés du statut d'exploités à celui de déchets".

Pinçon-Charlot : "Les pauvres sont en trop"

C'est le Pape François qui l'a dit. Et la sociologue des riches, Monique Pinçon-Charlot, invitée cette semaine de Hors-Série (et reçue sur notre plateau il y a quelques mois à propos de l'affaire Fillon) approuve. Sur le plateau de Hors-Série, elle décrit un véritable "processus de déshumanisation" à l’œuvre,"alors que les ouvriers, les salariés, les intellectuels, les journalistes, nous sommes les créateurs de richesse". "On devient de coûts, des charges, des problèmes, des variables d'ajustement, des lignes comptables", dénonce-t-elle. "Les riches ont inversé la lutte des classes à leur profit, il sont devenus des créateurs de richesses, et des créateurs d'emplois". Un exemple parmi d'autres de cette inversion de la lutte des classes : la fondation Louis Vuitton, lancée en grande pompe en 2014. La véritable inégalité n'est pas l'inégalité homme/femme - Egalite et Réconciliation.

Alors que toute la presse essaye de nous faire avaler de force l’inégalité homme/femme, la véritable inégalité, si tant est que ça soit un concept, est celle de l’inné et de l’acquis, l’un dépendant de l’autre.

La véritable inégalité n'est pas l'inégalité homme/femme - Egalite et Réconciliation

Inné et acquis intellectuels ou matériels. On naît riche ou pauvre, effectivement ou potentiellement, on naît dans un milieu plus ou moins favorable, même s’il y a des exceptions : un individu peut jaillir d’un milieu défavorable et se construire dans l’adversité la plus totale. #CSOJ / Alain Badiou - Que signifie la démocratie? BOOOM! Lordon Dénonce L'oligarchie Fasciste en France. “La démocratie est un mythe, une fois confrontée à la réalité” Ok tous ces constats sont bons, mais après ça, qu’est ce qu’on fait ?

“La démocratie est un mythe, une fois confrontée à la réalité”

Une résistance (dissidence) aussi nombreuse et bien informée soit elle n’a aucune chance de changer la donne si elle n’a pas d’implications dans le réel et n’est pas géographiquement implantée. C’est en cela que les zadistes (souvent des écolo altermondialistes/anarchistes) malgré tout ce qu’on peut leur reprocher ont une longueur d’avance sur la dissidence nationaliste. Attendre le retour du roi, je veux bien, mais j’ai du mal à y croire. Le système (de l’hyper-classe bancaire) a trouvé avec la démocratie son réceptacle le plus adapté. Je vois mal comment rétablir la monarchie sans passer par un conflit armé de moyen ampleur.

Interview en français de Daniele Ganser, à Bâle en avril 2015. Après avoir filmé cette interview, nous voulions l’"augmenter" avec des illustrations (exemple ci-dessous) mais le temps nous manquant cruellement, nous postons cette interview sans édition (et, évidemment, en licence Creative Commons).

Interview en français de Daniele Ganser, à Bâle en avril 2015

Cette interview est découpée en séquences qui correspondent aux relances. Les questions ne figurent pas dans l’interview (pour cause de gros bug à la prise de son). Séquence 01. Jimmy Carter : "Les États-Unis sont une oligarchie d’une corruption illimitée" « Les US sont une oligarchie d’une corruption illimitée. » C’est ce qu’a déclaré, le 2 août dernier, l’ancien président des États-Unis Jimmy Carter sur une radio nationale syndiquée, durant l’émission The Thom Hartmann Program.

Jimmy Carter : "Les États-Unis sont une oligarchie d’une corruption illimitée"

Il y déclare que les États-Unis sont devenus une oligarchie d’une corruption illimitée, « qui a créé la subversion de tout notre système politique, qui favorise les contributeurs, des démocrates aux républicains ». Carter affirme « que ces fonds illimités sont dans leur intérêt exclusif ». Jimmy Carter répondait aux questions de Hartmann sur les décisions récentes de la Cour suprême concernant la décision du financement de campagnes, comme celle de Citizens United. En voici la traduction : Hartmann : la Cour suprême vient de déclarer que les fonds en politique « seront illimités ».

"On est en train de sélectionner les gens les plus dangereux". Alain Cotta : "La démocratie est un leurre qui fait plaisir" Étienne Chouard - La France n'est pas une Démocratie. De la démocratie : la vraie, celle qui serait capable de nous sortir du pétrin.

Étienne Chouard - La France n'est pas une Démocratie

D’une prétendue constitution sur laquelle on nous consultait pour l’Europe en 2005, s’est passé quelque chose qui a transformé ma vie : j’ai cherché à répondre à mes détracteurs. Je me suis alors aperçu que c’était le regard des autres qui était en train de me transformer. Et c’est le même ressort, c’est cette énergie qui est une vieille affaire que les Athéniens appelaient LA VERGOGNE : le citoyen donnait de l’importance au regard des autres, ça le poussait à la vertu ; ensuite, l’intention d’être vertueux en naissait ; et la réprobation des autres incitait chacun à ne pas sortir de la vertu.

Ce qui fait que la vergogne est ce qui maintient le bon citoyen à se donner du mal pour chercher la cause des injustices sociales. Il faut remettre les mots à l’endroit. Des mots qui sont à l’envers depuis au moins 200 ans. Cette impuissance politique vient de la constitution. Pierre Jovanovic, Demain l'Apocalypse financier 2015. Julius Evola : « Contre la démocratie  « Le démocratisme vit sur un vieux préjugé optimiste tout à fait gratuit.

Julius Evola : « Contre la démocratie 

Éric Guéguen : la fin de la démocratie ? Eric Fiorile (démosophie) - Appel aux français du 14 juillet 2015 1/4. Crise grecque. Deux Prix Nobel d’économie volent au secours de Tsipras. Le 5 juillet, le peuple grec doit se prononcer par référendum sur la dernière proposition d’accord faite à Athènes par ses créanciers.

Crise grecque. Deux Prix Nobel d’économie volent au secours de Tsipras

Selon les économistes Paul Krugman et Joseph Stiglitz, il ferait mieux de voter non et ainsi la rejeter. A quelques jours du référendum en Grèce, deux économistes américains de haut vol, l’un et l’autre lauréats du prix Nobel d’économie, l’un et l’autre adeptes du néokeynésianisme, s’impliquent avec force dans le débat. Le premier, Paul Krugman, 62 ans, appelle clairement les Grecs à voter non.

“Le gouvernement devrait être prêt, si nécessaire, à abandonner l’euro”, écrit-il dans The New York Times, titre dans lequel il tient une chronique. Ghislaine Ottenheimer - Sommes nous en démocratie ? ?kh=-1&uddg= La démocratie contre la représentation politique - François Dupuis-Déri. La FRANCE n'est PLUS un ÉTAT: "Nous sommes dans le IIIIe (IVe) REICH" - Marie-France Garaud.

La violence des riches.