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Methodo et tendances marketing

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CROSS CANAL. Le comportement des clients d'une UC. Les stratégies multicanaux nécessitent une analyse multicanaux. Actuellement, la technologie nous permet le contrôle de multiples paramètres de rentabilité des affaires afin de pouvoir identifier des opportunités d’amélioration et augmenter la rentabilité des entreprises. Il est temps de cesser de croire nos émotions pour se baser principalement sur des données réelles et quantitatives. Ce qui ne se mesure pas ne peut donc pas s’améliorer ! Les retailers, conscients de l’importance de ces données, contrôlent de plus en plus de paramètres afin d’obtenir une vision globale de tout ce qui se passe dans leurs points de vente. Avec la crise économique, les budgets sont plus restreints et les investissements plus réfléchis et moins risqués. Aujourd’hui les retailers prennent moins de risques et misent sur des actions stratégiques qui visent une véritable augmentation du volume de vente.

L’importance de la vision 360 Isabel Pous, Marketing Department de T-Cuento Le problème du Big Data L’étude de l’analyse des magasins online est bien plus différente. La consommation collaborative enrichit la relation marque / consommateur. Que recouvrent les pratiques de la consommation collaborative ? A quelles motivations répond-elle ? Nécessite-t-elle de la part des marques un nouveau mode de relation dans lequel la vente s’effacerait au bénéfice de l’usage ? Réponses avec notre interviewé, Benjamin de Fontgalland, cofondateur et PDG de Placedelaloc.

Quelles sont les pratiques couvertes par le terme « consommation collaborative » ? Je recense 6 principaux grands univers : 1. Produits sur mesureProduits prêtés ou louésProduits d’occasion 2. Achats direct chez le producteurCuisiner, diner ensemble 3. Aux particuliersAux professionnels 4. Services tels que le co-voiturageVéhicules prêtés ou loués 5.

Lieux de vie : maison, appartementLieux de travail 6. Financement participatif ou crowdfundingPrêt d’argentMonnaies cryptographiques (ex: Bitcoin) A quelles motivations répond la consommation collaborative ? Benjamin de Fontgalland, cofondateur et PDG de Placedelaloc Comment les marques peuvent-elles à nouveau entrer en relation ? Lsa-conso. Le vigi-shopper ou « watcher » C'est le profil qui concerne le plus grand nombre de Français. 35% de consommateurs s'identifient à lui, selon l'étude. Ses caractéristiques ? C’est un consommateur attentif et scrupuleux. Ses critères de choix pour faire ses achats ? Un profil qui influence son comportement d’achat : il vérifie au moyens d’application smartphone, par exemple, les infos à connaître avant d’acheter ; ils consulte les conseils de sa communauté au préalable, là encore grâce aux outils modernes et aux réseaux sociaux.

Le slow-shopper ou « careshopper » Il est amoureux des petits producteurs, du bio, des circuits courts… Ce consommateur averti respecte les principes environnementaux et sociaux, sans sombrer toutefois dans le militantisme, même s’il descend du « bobo ». Il adhèrera ainsi à l’agriculture urbaine et locale (cueillette de fruits…) ou à une expérience détachée des intrusions publicitaires. Le social-shopper ou « influenceur » Le plus connecté ! Ses outils privilégiés ? Infographie | L'IFOP et Wincor Nixdorf décryptent les 5 étapes clés du processus d'achat. INFOGRAPHIE - Les six grands profils de consommateurs - Le comportement des consommateurs. Huit nouvelles règles pour attirer les clients en magasin. Les boutiques physiques ont encore de nombreux atouts à faire valoir face à la concurrence du e-commerce.

Phénomène grandissant, le showrooming, qui consiste à regarder un produit dans un magasin pour l'acheter ensuite sur Internet, inquiète les commerçants. Pour autant, le magasin n'est pas mort. Sur 100 visiteurs d'un site d'enseigne, 72 vont en magasin, rappelle l'Observatoire du ROPO2, de FullSix Group. Et 77% des Français affirment ne pas pouvoir se passer de l'achat traditionnel en magasin, d'après un sondage Ifop. Voici des conseils à suivre pour attirer les clients. Recruter des vendeurs experts "On note une augmentation très sensible aux Etats-Unis du nombre de magasins et d'enseignes où l'on met en avant le personnel et leurs compétences individuelles", assure Mike Hadjadj, directeur marketing et communication de Generix Group.

Théâtraliser le magasin Faire d'Internet un allié Rendre l'achat plus facile et plus rapide Favoriser la relation humaine Les tendances du retail en 2014. Jeremiah Owyang (Crowd Companies) : "L'économie collaborative finira par bouleverser tous les secteurs d'activité" Comment les entreprises traditionnelles doivent-elles s'adapter à cette nouvelle révolution ? Le JDN a interviewé le gourou du collaboratif, présent à Paris pour les Enjeux E-Commerce 2014. JDN. Quel est l'enjeu de l'essor de la consommation et de l'économie collaboratives ? Jeremiah Owyang. Nous commençons à peine à nous familiariser avec les médias sociaux et nous devons déjà nous adapter à une nouvelle révolution, celle de l'économie collaborative.

D'ailleurs Google ne s'y trompe pas, il est le plus important investisseur dans l'économie collaborative. Si les gens obtiennent ce dont ils ont besoin directement auprès d'autres personnes, quelle est la place des entreprises ? Je pense qu'elles ont leur place dans l'économie collaborative, qui repose sur un modèle où la création, la propriété et l'accès sont partagés entre les gens et les sociétés. Quelles sont les industries aujourd'hui "disruptées" par l'économie collaborative et quelles entreprises parviennent à s'y adapter ? Les applications de la réalité virtuelle dans l'agroalimentaire - [Analyse] Agro Media.

Les applications de la réalité virtuelle commencent à se développer dans l'agroalimentaire, d'abord à des fins commerciales et marketing mais aussi pour améliorer l'ergonomie et la productivité dans les supply cha... La technologie est utilisée depuis plus d’une décennie dans les secteurs de l’aéronautique et des transports. Dans l’agroalimentaire, le recours à la réalité virtuelle est plus récent. Mais il se démocratise, à mesure que les entreprises prennent conscience de ses multiples applications.

L’utilisation de la réalité augmentée* est en fait plus courante dans l’agroalimentaire. Principalement à des fins marketing et commerciales. Réalité augmentée Chocapic Arthur et les Minimoys par Mu2gor Cadbury et Ball se lancent dans la réalité augmentée Depuis, d’autres marques ont fait de même. Réalité augmentée : le secteur du vin fait le test Même le secteur du vin s’y met. En Asie, des magasins virtuels voient le jour Dans la distribution, la technologie a également fait ses preuves. Le comportement d'achat du client. L'évolution des habitudes d'achat des Français entre 2012 et 2013. Le commerce actuel est omniprésent, résultant de la multiplication des points d'achat mais aussi de l'évolution des comportements des consommateurs.

Afin de continuer à comprendre ces changements, Ipsos a réalisé la seconde édition de l'étude Omniretail pour CA Com, au sujet de l'évolution des habitudes d'achat des Français entre 2012 et 2013. Florilège des principaux résultats de ce sondage, effectué auprès d'un échantillon de 1013 personnes, représentatives de la population française, âgées de 15 ans et plus, du 5 au 8 avril 2013. Les magasins physiques : toujours chouchous des français Les Français disposent aujourd'hui d'une multitude de points d'achat : les points d'achat physiques, les points d'achat web, les points d'achat mobiles, les points d'achat TV connectée, ainsi que les points d'achat drive. Ils n'ont pourtant pas boudé les points d'achats physiques. Les achats online gagnent du terrain La tablette : nouveau canal d'achat La tablette est devenue un nouveau point d'achat. Le comportement d'achat du client en magasin s'analyse aussi via mobile.

Pour connaître les comportements d'achat des consommateurs à l'intérieur même du magasin, les caméras ou le Kinect peuvent être la solution. Apparemment, le mobile aussi ! En entrant dans un magasin ou en regardant simplement par la vitrine de celui-ci, les consommateurs sont loin de se douter qu'un logiciel est en train d'analyser leur comportement. Le temps qu'ils ont passé dans ce magasin, ce qu'ils y ont acheté, s'ils sont allés dans une autre boutique de la même enseigne... autant d'informations que Nomi analyse et transmet aux vendeurs possédant l'application. Cette application n'est pas la première du genre, la startup française Anaxa Vida, ou encore Shopperception travaillent elles aussi à l'élaboration d'outils permettant de mieux analyser le comportement des consommateurs.

Mais à l'inverse de ces deux technologies, Nomi ne s'appuie ni sur les caméras vidéo ou les capteurs de Kinect, mais sur les signaux produits par les téléphones de consommateur. Le comportement d'achat du client.