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Numérique

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RGPD encore et toujours même sur Youtube. Les députés abaissent de 16 à 15 ans la majorité numérique. Adaptant la législation aux dernières décisions européennes en la matière, les députés ont voté pour abaisser à 15 ans la "majorité numérique", âge auquel les mineurs seront autorisés à donner seuls leur consentement pour la manipulation de leurs données personnelles. La majorité numérique est l'âge légal à partir duquel les mineurs peuvent "consentir seuls au traitement de leurs données personnelles". En d'autres termes, c'est l'âge à partir duquel une personne peut donner sans autorisation parentale préalable l'accès à un tiers à des données personnelles la concernant.

Par extension, c'est donc l'âge à partir duquel il est logiquement possible de s'inscrire seul sur un réseau social. Eh bien sachez que cette majorité numérique, qui avait été fixée à 16 ans en France, vient d'être abaissée en commission par les députés à 15 ans. Les lunettes du futur (de l’horreur), c’est aujourd’hui pour la police chinoise. Depuis déjà une semaine, la Chine fête le Nouvel an du chien… avec des lunettes dignes de Cerbère. Autour du 16 février 2018, selon la presse locale, la migration humaine et massive provoquée par cette fête familiale et nationale sera dûment surveillée par la police chinoise portant des lunettes AR reliées à un logiciel de reconnaissance faciale. Oublions l’échec techno-élitiste de Google Glass, cette année, place aux lunettes de réalité augmentée (AR) chinoises Glxss, fabriquées par l’entreprise pékinoise LLVision Technology.

Ces lunettes (de soleil) équipées d’une caméra vidéo sont déjà mises en pratique dans les provinces de Henan, Shandong et Xinjiang, dont les départements de police ont collaboré à leur développement, pour surveiller les individus passant par les points de transport durant cette période classée rouge vif. This is not Google Glass, but facial recognition glass connected to Chinese police database. « La Génération Z, ses rêves et ses questionnements » | Cultures de l'Information. Quel(s) regard(s) portent les jeunes dits de la “Génération Z” sur l’information, les médias et le monde qui les entoure ? Comment redessinent-ils les contours de l’intime, du privé, et du public, notamment via les réseaux sociaux ? Comment appréhendent-ils l’injonction à la réactivité et à la connexion permanentes ? Quels profils d’acteurs informationnels dévoilent-ils à travers des pratiques bien plus complexes et originales qu’on ne le dit communément ?

Ce sont ces questions que l’article de Estelle Cotto, journaliste à Le Vif / L’Express, premier hebdomadaire national d’information belge, traite, à partir du spectacle de Salvatore Calcagno. J’ai eu le plaisir de répondre à ces questions. L’article a été publié ce 16 février 2008. Le-Vif-2018-GénérationZ. Comprendre le moteur de recherche avec une simulation. L’utilisation pédagogique de l’outil présenté dans cet article est intégrée dans une séquence de niveau Cinquième, intitulée Du document au média.

Dans cette séquence, les élèves sont amenés à découvrir la chaîne éditoriale du livre, les étapes de conception d’une page web, puis le fonctionnement d’un moteur de recherche pour trouver les pages web. Initialement développée pour le niveau de Cinquième, cette simulation a évolué pour être utilisé selon trois niveaux, ainsi en fin de cycle 3 ou début de cycle 4 (10-12 ans), en fin de cycle 4 (13-15 ans) et au lycée (16-18 ans).

De même, d’abord prévue pour une séance d’une heure, elle est maintenant déclinable pour 2 heures ou pour un travail en autonomie. La version 2.0 a été développée à partir des remarques rédigées par Julien Rousseau dans son article Webfinder : le nez dans le moteur, publié sur le site Les Trois Couronnes [1]. Utilisation pédagogique Niveaux et modes Aspects techniques Téléchargement de Webfinder 2.6 id language charset. Apprendre le moteur de recherche aux �l�ve. Everipedia, l'encyclopédie en ligne basée sur la blockchain qui veut détrôner Wikipédia. Nous vous proposons depuis quelques jours déjà un tour d’horizon des applications possibles de la blockchain.

De l’agriculture à l’édition en passant par les jeux à base des chats et l’industrie musicale, elles sont très nombreuses. L’actualité est là pour le rappeler, avec une nouvelle qui fait beaucoup parler : le co-fondateur de Wikipedia, Larry Sanger, vient de rejoindre un concurrent, Everipedia. Et signe des temps, ce dernier se base sur la blockchain… Larry Sanger était critique depuis déjà quelques années avec Wikipedia, estimant que le projet avait été détourné de son but originel par certains utilisateurs trop zélés.

Son choix de rejoindre Everipedia n’est donc pas étonnant et nous donne l’opportunité de nous pencher sur ce projet prometteur. Everipedia souhaite utiliser les smart contracts et la blockchain pour enregistrer les éditions d’articles, assurant ainsi un système anti-censure. Recevez nos meilleurs articles. Innover avec Gilbert Simondon, ou comment réapprendre à faire aimer les machines - Mais où va le Web. Nous n’aimons plus nos objets technologiques. La modernité a siphonné ce qui restait de respect entre nos machines et nous-mêmes. Chaque année, ce sont des millions de téléphones, de téléviseurs, de réfrigérateurs que nous jetons, faute de les avoir conçus ou entretenus pour durer. A mesure que nos appareils « progressent », il semblerait que nous ayons abandonné l’idée même d’apprendre à les connaître et à les apprécier pour ce qu’ils sont : des créatures humaines à même de nous faciliter la vie.

Ces quelques lignes font suite à mes lectures estivales de Gilbert Simondon, philosophe « de la technique », si l’on peut dire. Nous devons réapprendre à aimer nos objets techniques. Souvent dépréciée par la philosophie, la technique, et ce qu’on appelle par extension la technologie, est pourtant au centre de nos préoccupations. Gilbert Simondon a ouvert de nouveaux chemins à la pensée de la technique. . « Un objet technique est d’autant plus évolué qu’il n’est pas en lutte avec lui-même. Nicolas Carr : « Est-ce que Google nous rend idiot ? » En introduction à un dossier à paraître sur le papier contre l’électronique, il nous a semblé important de vous proposer à la lecture Is Google Making Us Stupid ? , l’article de Nicolas Carr, publié en juin 2008 dans la revue The Atlantic, et dont la traduction, réalisée par Penguin, Olivier et Don Rico, a été postée sur le FramaBlog en décembre.

Dans cet article, Nicolas Carr (blog), l’auteur de Big Switch et de Does IT matter ? , que l’on qualifie de Cassandre des nouvelles technologies, parce qu’il a souvent contribué à un discours critique sur leur impact, part d’un constat personnel sur l’impact qu’à l’internet sur sa capacité de concentration pour nous inviter à réfléchir à l’influence des technologies sur notre manière de penser et de percevoir le monde. Rien de moins. « Dave, arrête. Arrête, s’il te plaît. Moi aussi, je le sens. Je crois savoir ce qui se passe. Je ne suis pas le seul. Les anecdotes par elles-mêmes ne prouvent pas grand chose. Où cela s’arrêtera-t-il ?

Nicolas Carr. Savoirs CDI: Les fonctions documentaires dans le contexte numérique. Introduction Le développement rapide du numérique conduit à une restructuration profonde des modes d’accès aux informations et aux documents. Numérisation des contenus, généralisation d’Internet et des réseaux, «webisation» des services, développement de téléprocédures pour les démarches administratives… Tous les domaines informationnels, privés et publics, éditoriaux ou non, sont progressivement touchés.

Le domaine de l’information et de la documentation scolaire n’échappe pas à cette évolution, qui se présente quelquefois comme un bouleversement des modes antérieurs. Les modes instrumentaux en sont les plus directement touchés, et les débats sont vifs à propos des choix des outils et de leurs modes d’usage. Mais on peut se demander si ces débats ne cachent pas des interrogations et des évolutions plus profondes, notamment à propos de la nécessité de remettre en perspective les objectifs génériques et spécifiques de la documentation et de l’information scolaire. 1.1. 1.2. 1.3. 1.4. 2.1.

De quoi une plateforme (numérique) est-elle le nom ? Est-ce que le mot “plateforme” est adapté pour décrire ce qui se passe dans l’économie numérique des dernières années ? Point de départ : les travaux de Tarleton Gillespie, qui s’est penché (avant et mieux que d’autres) sur l’utilisation de la notion de plateforme pour qualifier les services contemporains d’appariement algorithmique d’informations, relations, biens et services.

Sa théorie peut être ainsi résumée : le mot plateforme est avant tout une métaphore qui désigne une structure technique, voire une “architecture” (c’est par ailleurs de ce dernier domaine que l’emprunt linguistique s’est fait). Le choix de ce terme pour désigner une entité technologique relève d’une volonté de concepteurs, innovateurs et investisseurs de se présenter comme des simples intermédiaires, et non pas comme des moteurs d’interaction sociale et de décision stratégique dans le domaine économique. C’est là que la transition de simple métaphore à notion de théologie religieuse à part entière s’achève. ). France : Baromètre du livre numérique 2017 - IDBOOX : IDBOOX Tout savoir sur les ebooks, les tablettes et les smartphones.

KPMG a publié son baromètre 2017 de l’offre de livres numériques en France. 7 éditeurs sur 10 ont déclaré proposer un catalogue d’ebooks cette année. Selon KPMG, le livre numérique progresse en France puisque 70% des éditeurs en proposent. Cela représente une progression de 7 points par rapport à 2014. Par un effet de boule de neige, le cabinet constate que 80% des nouveautés sont disponibles au format ebook.

A contrario, les éditeurs qui ne possèdent pas de catalogue de livres numériques restent timorés.En effet, ceux qui ne disposent pas encore d’offre numérique n’ont plus de projets à court terme, beaucoup moins à moyen terme (8 %) et restent pour une bonne part indécis (25 %). « Malgré une tendance à la hausse, le développement du livre numérique n’est pas celui auquel on pouvait s’attendre il y a quelques années, en particulier au moment du pic de 2012. Quid du livre numérique interactif ?

Quant aux autres, ils estiment que c’est un gadget sans rentabilité réelle. Un CA stable. ePrivacy - LQDN. Les communs : levier pour l’enseignement (du) numérique à l’école. De la conversation à l’espace public Aider les élèves à percevoir un environnement et s’y situer, c’est leur permettre de comprendre comment s’élaborent les connaissances et les opinions au sein d’un espace public. Quand bien même le numérique rendrait le savoir « disponible », son assimilation et son élaboration ne sont pas pour autant immédiates, et c’est à l’institution scolaire d’enseigner ses cheminements par un travail sur les sources.

Confronter les flux d’information, identifier des autorités, visualiser les éléments constitutifs d’une controverse : la compréhension de ces mécanismes est essentielle pour se prémunir des préjugés, mais aussi pour reconnaître que derrière toute donnée, il y a des logiques d’acteurs, des stratégies, des luttes d’influence ou d’intérêt [3][3] On peut s’appuyer par exemple sur la cartographie des.... La connaissance en commun Leur application au contexte scolaire peut passer par la méthode du « document de collecte » (Boubée, 2007). Faire société. Expérimenter les humanités numériques.

(dit comme ça, ça me semble incroyablement long, et pourtant je n’ai pas eu l’impression qu’il y ait eu des temps morts : seulement une succession de phases). J’en profite tout de suite pour remercier très solennellement les trois autres coordinateurs pour m’avoir invité à contribuer à cette naissance, et les auteurs qui ont produit ce résultat. Ce livre est un recueil de chapitres qui présentent une succession de retours d’expérience, que nous nous sommes efforcés d’organiser pour leur donner une cohérence dans le discours global que nous voulions tenir. Quelles « humanités numériques » ? Au moment où ce projet commençait, il y avait pas mal de débats sur le sens à donner à cette expression. On voit moins souvent ces échanges à présent. C’est un débat que nous n’avons pas cherché à résoudre avec ce livre, estimant que notre rôle était ailleurs, sur les enjeux d’appropriation des outils numériques et des possibilités ouvertes, ou pour l’instant juste entrouvertes.

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