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Peinture

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Lettres d'Archipel: LA FICA, LE GESTE DE LA FIGUE. Actionreporter.comDe magnifiques images sous mille soleils : trek dans le désert, montagnes du Pérou, alpes enneigées... Les Editions ImagoLes Editions Imago proposent des essais, romans, témoignages, faits de société, enquête. Une équipe dynamique et humaine. Despatin, Gobeli, photographesFrançois Despatin, Christian Gobeli, deux photographes, artistes du portrait et témoins de leur temps.

Ernest Pignon-ErnestLe site officiel de l'artiste plasticien, ami et complice en méléagriculture... Le Monde DiplomatiqueLa pintade, oiseau-nègre, vue par le Monde Diplomatique Compagnie Emilie ValantinVéritable centre de création animé par Émilie Valantin. La compagnie est depuis vingt ans la meilleure troupe de marionnettes tous publics de France. Leur base d'activités est située en Ardèche, 15, rue du Travail, 07400 Le Teil. 04 75 01 17 61 Ligue des Droits de l'Homme, LDH.Le site de la LDH de Toulon, animé par FRANCOIS, est prioritairement le reflet des activités de la section régionale. Autres composants des références picassiennes : l’ésotérisme, le mouvement rosicrucien et l’opium. | Picasso. Freedom In Discipline – Tori Swanson. Symboliste belge promethee. La Folie de Titania.

Historique et restauration de l’œuvre[modifier | modifier le code] Paul Gervais réalise cette huile sur toile en 1897 : elle est exposée au Salon des artistes français, à Paris, la même année. La Folie de Titania est payée 4 000 francs par l'État[2]. En 1905, l'État dépose l'œuvre au musée de Toulouse[3]. En 1911, un document indique que le tableau est « placé salle toulousaine au fond ». Il est définitivement transféré à la Ville de Toulouse en application de l'article 13 de la loi du 4 janvier 2002 relative aux musées de France, disposant que les collections appartenant à l'État mises en dépôt avant le 7 octobre 1910 dans les musées de France appartenant aux collectivités territoriales, font l'objet d'un transfert de propriété. Actuellement, l'œuvre est donc propriété du musée, sous le numéro d'inventaire 2004 1 188. Description de l’œuvre[modifier | modifier le code] Détail : jeune femme accroupie.

Analyse[modifier | modifier le code] Le sujet[modifier | modifier le code] Paul Sérusier. Paul Sérusier (vers 1890). Biographie[modifier | modifier le code] Paul Sérusier naît dans une famille de classe moyenne aisée. Son père, un homme d'affaires qui travaille dans l'industrie du parfum, lui assure une éducation classique. En 1875, Sérusier est admis au lycée Condorcet à Paris où il étudie la philosophie, le grec, le latin et les sciences. Il reçoit ses deux diplômes de philosophie et de mathématique en 1883. En 1885, après avoir travaillé dans la société d'un ami de son père pendant une courte période, il entre à l'Académie Julian.

D'un caractère agréable, il sympathise vite avec les étudiants et les professeurs. Il passe une courte partie de l'été 1888 à la pension Gloanec à Pont-Aven, en Bretagne, village qui attire alors beaucoup d'artistes français et étrangers. Sérusier revient à Paris avec un petit tableau peint sous les directives de Gauguin, et le montre avec enthousiasme à ses compagnons, partageant ainsi ses nouvelles idées apprises de Gauguin.

Allemagne Belgique. Les Ambassadeurs. Les Ambassadeurs est un double portrait de Jean de Dinteville (1504-1555 ou 1557), bailli de Troyes, seigneur de Polisy et ambassadeur français, et Georges de Selve (1509-1541), ecclésiastique, érudit et diplomate français, peint par Hans Holbein le Jeune en 1533, actuellement conservé à la National Gallery de Londres. Le tableau est signé et daté en bas à gauche, dans une zone d'ombre : IOANNES HOLBEIN PINGEBAT 1533. Historique[modifier | modifier le code] Identification des personnages et attribution du titre définitif[modifier | modifier le code] Propriétaires successifs[modifier | modifier le code] Description[modifier | modifier le code] Les Ambassadeurs, une huile sur panneau de chêne de 207 × 209,5 cm, représente, à gauche, Jean de Dinteville, ambassadeur de France en Angleterre de février à novembre 1533, à droite, son ami Georges de Selve, évêque de Lavaur, qui fut lui aussi occasionnellement ambassadeur.

Jean de Dinteville est richement habillé d'un manteau orné de fourrure. Paul Véronèse. Signature Paolo Caliari, dit Véronèse, né en 1528 à Vérone et mort le 19 avril 1588 à Venise, est un peintre vénitien. Son véritable patronyme reste inconnu : le peintre a signé successivement Paolo Spezapedra (surnom paternel), Paolo di Gabriele, Paolo da Verona ou Paolo Caliaro (probable nom d’emprunt). La tradition de l’histoire de l'art parle de Paolo Caliari. Finalement, il sera connu sous le nom de « Véronèse » en raison de sa naissance à Vérone. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et formation[modifier | modifier le code] Véronèse naît vraisemblablement en 1528.

Très jeune, il commence par travailler dans l'atelier de son père à Vérone. De cet apprentissage auprès de l'école véronaise et des peintres locaux, il acquiert beaucoup de connaissances en matière d'architecture et de perspective, mais aussi la vivacité et l'élégance dans les figures, la dignité et le naturel dans les expressions, l'éclat et l'harmonie dans le jeu des colorations. La Descente d'Orphée aux Enfers. La Descente d'Orphée aux Enfers Historique[modifier | modifier le code] Contexte[modifier | modifier le code] Genèse et création[modifier | modifier le code] Opéra de chambre probablement incomplet d'une heure environ et en deux actes pour neuf voix, La Descente d'Orphée aux Enfers est composé entre fin 1686 et début 1687 pour la Duchesse de Guise[2].

Description[modifier | modifier le code] Probablement incomplet, l'ouvrage est en deux actes, alors que les opéras ou tragédies lyriques de cette période en comptait d'ordinaire au moins trois ou cinq. Postérité[modifier | modifier le code] Les Arts florissants[modifier | modifier le code] « une œuvre de plus grande envergure que Les Arts Florissants ; c’est l’une des meilleures pièces dramatiques de la production de Charpentier. […] Charpentier crée un monde musical aussi profondément émouvant que celui des tragédies de Lully. » Autres productions[modifier | modifier le code] Rôles, voix et créateurs[modifier | modifier le code] Polyèdre de Dürer. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le polyèdre de Dürer (également appelé rhomboèdre tronqué ou solide de Dürer) est un polyèdre particulier à huit faces, représenté dans la taille-douce Melencolia I de Albrecht Dürer de 1514.

Description[modifier | modifier le code] Extrait de la gravure avec un pentagone mis en évidence. Le polyèdre de Dürer est un polyèdre convexe à huit faces. Dans la gravure de Dürer, le polyèdre repose sur une des faces triangulaires, les pentagones formant le pourtour de l'objet. Construction[modifier | modifier le code] Six sommets parmi les huit sommets du rhomboèdre appartiennent à une même sphère, les deux sommets restants dépassant à l'extérieur de la sphère. Après la découpe, les faces en forme de losange du rhomboèdre deviennent des pentagones. (en rouge sur l'illustration ci-dessus) continuent à former un angles de 72°. (en bleu sur l'illustration). (en vert sur l'illustration) est parallèle à la diagonale de longueur (voir le graphique à droite). Et. Parmigianino. Girolamo Francesco Maria Mazzola ou Mazzuoli, dit Parmigianino (en français Le Parmesan[1]), né à Parme le 11 janvier 1503 et mort à Casalmaggiore le 24 août 1540, est un peintre et graveur italien de la Renaissance et du début du maniérisme. « Pour explorer les subtilités de l’art, il entreprit un jour de faire son autoportrait, en se regardant dans un de ces miroirs de coiffeur, de ceux en boule convexe.

Ce faisant, voyant les effets bizarres que provoque la convexité du miroir… il lui prit l’envie de contrefaire toute chose selon son caprice. . — Giorgio Vasari, Les Vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes, Francesco Mazzuoli, peintre parmesan[2]. Biographie[modifier | modifier le code] La formation[modifier | modifier le code] D'après les archives du baptistère de Parme, Parmigianino est né le 11 janvier 1503.

Les vicissitudes de ce Baptême de Christ, daté à peu près de 1519, sont chaotiques. Les fresques de Fontanellato[modifier | modifier le code] Renaissance parmesane. Shitao. « Autoportrait : la plantation d'un pin (Shiao Hesang Zixie zhongsong tu xiaozhao) », 1674. Détail d'env. H 21 cm, ens. 40,3 × 170 cm, musée national du Palais, Taipei. Son œuvre, composée notamment de paysages (山水, shānshuǐ) et de motifs végétaux, exprime avec simplicité des thèmes complexes, comme l'immensité du monde ou la beauté de la vie. Son nom de naissance était Zhū Rùojí (朱若极), et son nom de moine Dàojì (道濟). Il est né en 1642 dans la province de Guangxi et est mort en 1707 à Yangzhou, dans le Jiangsu.

Parfois boudé dans les milieux lettrés en Chine, Shitao est célèbre en Occident pour son traité Citations sur la peinture (chinois simplifié : 画语录 ; chinois traditionnel : 畫語錄), généralement appelé en Chine « Citations du moine Courge amère » (chinois : 苦瓜和尚语录 ; pinyin : kǔguā héshang yǔlù) et souvent traduit en français par « Les propos sur la peinture du Moine Citrouille-Amère »[2]. Biographie[modifier | modifier le code] C'est là qu'il grandit jusque vers les dix ans. René Magritte : « L’art de peindre est un art de penser » – melcircle(s) En questionnant le lien entre peinture et réalité, image et texte, dialectique et vérité, l’exposition du Centre Pompidou choisit la relecture plutôt que la rétrospective.

L’oeuvre de René Magritte est abordée par le biais de sa passion pour la philosophie. « La trahison des images » (titre de l’expo) reflète la position du peintre pour qui l’image est nécessairement une vision tronquée de la réalité. Mais la peinture est une pensée en action et Magritte prend plaisir à mettre en scène ses problématiques dans ses tableaux. Texte et photos : Mélanie Holé REPORTAGE – Exposition « La trahison des images » Centre Pompidou, Paris, 21 septembre 2016 – 23 janvier 2017 L’une des spécificités de la peinture de René Magritte est de jouer sur le décalage entre un objet et sa représentation. Ci-dessus, nous avons une image de pipe et un texte qui nous dit que ce n’est pas une pipe. . « La fameuse pipe, me l’a-t-on assez reprochée ! Le surréalisme raisonné de Magritte Les affinités électives, 1933. Giorgio De Chirico. Signature Giorgio De Chirico[1], né le 10 juillet 1888 à Vólos en Thessalie (Grèce), et mort le 20 novembre 1978 à Rome (Italie), est un peintre, sculpteur et écrivain italien dont les œuvres, unanimement admirées des surréalistes jusqu'en 1925, ont ensuite été rejetées tout aussi unanimement[2].

Il est l'un des fondateurs du mouvement de la peinture métaphysique. Biographie[modifier | modifier le code] Son père, Evaristo[3], amateur d'art et de voile, ingénieur de Palerme chargé de la construction de lignes de chemin de fer, lui fait découvrir la Grèce antique. Sa mère, Gemma Cervetto, née à Smyrne, en Turquie, d'une famille italienne de la noblesse génoise, est chanteuse d'opéra[4]. Giorgio De Chirico a un frère cadet, Andrea Francesco Alberto De Chirico, connu comme l'écrivain, peintre et compositeur Alberto Savinio. À l'âge de 12 ans, De Chirico est inscrit à l'Institut polytechnique d'Athènes puis à l'académie des Beaux-arts, où il suit des cours de dessin et de peinture.

L'Énigme de l'oracle. Rene Magritte. Gabriel von Max. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Photographie de Gabriel von Max Gabriel Cornelius Ritter von Max et jusqu'en 1900 Gabriel Cornelius Max (né le 23 août 1840 à Prague - mort le 24 novembre 1915 à Munich) est un peintre autrichien né en Bohême, qui a été professeur d'histoire de la peinture à l'Akademie der Bildenden Künste de Munich. Ses thèmes picturaux sont l'anthropologie, la parapsychologie et le mysticisme. Il fait partie de l'école de Munich. Biographie[modifier | modifier le code] Œuvres[modifier | modifier le code] Galerie[modifier | modifier le code] Gabriel Cornelius von Max, 1840-1915, Les singes, juges de l'art, 1889 Saure Erfahrung (Expérience acide) (petit singe avec citron), vers 1890 Bibliographie[modifier | modifier le code] (de) Agathon Klemt, Gabriel Max und seine Werke, Gesellschaft für moderne Kunst, Wien 1886(de) Nicolaus Mann, Gabriel Max, eine kulturhistorische Skizze, Weber, Leipzig 1890(de) Franz H.

Source[modifier | modifier le code] Analyse symbolique d’un tableau de Poussin - Agora. Rosso Fiorentino. Giovanni Battista di Jacopo di Gaspare Giovanni Battista di Jacopo dit Rosso Fiorentino (soit « [Le Maître] roux de Florence » en français à cause de la couleur de ses cheveux), est un peintre, graveur et décorateur italien né à Florence le 8 mars 1494, selon le comput grégorien (1493 selon le style florentin qui débutait l'année le jour de la Fête de l'Annonciation, le 25 mars), et mort à Paris le 14 novembre 1540[1].

Il appartient selon les historiens d'art à l'école maniériste ou à la Renaissance tardive qui marquent l'école de Fontainebleau. Les théoriciens allemands du maniérisme ont pris les lieux de la carrière du Rosso Fiorentino, à savoir Florence, Rome, Arezzo, Venise, Fontainebleau comme emblématiques des premières périodes de ce vaste mouvement artistique européen englobant peinture, gravure, sculpture ainsi que de nombreux arts décoratifs. Biographie[modifier | modifier le code] Il exécute plusieurs œuvres importantes : La fin de l'artiste est obscure. École de Fontainebleau. L'École de Fontainebleau est le nom donné à deux périodes de l'histoire de l'art français, qui dominèrent la création artistique française au XVIe et XVIIe siècles, et qui figurent parmi les exemples les plus aboutis de l'art renaissant en France.

Centrée autour des peintres travaillant principalement à la décoration du château de Fontainebleau[1], cette école se caractérise par une interprétation française mesurée du maniérisme[2]. L’appellation donnée à ce mouvement artistique ne date pourtant que du XIXe siècle, employée la première fois en 1818 par l’historien Adam Bartsch (1757-1821), dans ses travaux sur la gravure (1803-1821), afin de désigner les estampes réalisées par un groupe d’artistes dans les années 1540, sous l’influence de deux maîtres italiens œuvrant au château de Fontainebleau : le Rosso et Primatice[2]. Par extension, ce terme s’est appliqué à toutes les formes d’art qui se sont épanouies à Fontainebleau, et un peu plus tard, dans le même esprit, à Paris[2].

Rosso Fiorentino. Vierge à l'Enfant. La Vierge à l'Enfant, ou Madone, est un thème récurrent en peinture et en sculpture religieuses, renvoyant à la Nativité du Christ et à la maternité de la Vierge Marie. Il s'agit d'un thème iconographique permettant d'évoquer la double nature du Christ, humaine et divine. Aperçu historique[modifier | modifier le code] Paradoxalement, alors que l'enfance de Jésus est presque totalement éludée par les évangélistes canoniques, le sujet de la Vierge à l'enfant est le thème le plus représenté de tout l'art chrétien devant la crucifixion, alors qu'il ne fait référence à aucun texte biblique[1], mais est probablement le fruit d'une réutilisation d'un thème archaïque (déjà présent dans la figure de la déesse égyptienne Isis allaitant Harpocrate, l'Horus enfant[2]). On trouve, ainsi, de nombreuses représentations de la « femme à l'enfant » (allaitante ou pas) dans la plupart des cultures du monde, y compris dans l'Europe pré-chrétienne[1].

Peinture[modifier | modifier le code] Quelques exemples : Conversation sacrée. Scène de genre. Deposition de croix rosso fiorentino.