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Peinture de la Renaissance

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Le Tintoret. Signature Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] Le Tintoret, de son vrai nom Jacopo Comin[1],[2] est né en septembre-octobre 1518 ou en 1519[3] à Venise et doit son surnom (« le petit teinturier », tintore signifiant « teinturier » adjoint du suffixe -etto, « petit ») à son père, Battista Robusti, qui travaillait dans une teinturerie[4], qui fut probablement le premier contact du jeune peintre avec le monde de la peinture via les pigments[5].

Le Tintoret

Carlo Ridolfi, son premier biographe qui le fait naître en 1512, rapporte qu'il a été élève de Titien, le plus célèbre peintre vénitien du temps. Titien. — Ludovico Dolce.

Titien

Biographie[modifier | modifier le code] Il est né à Pieve di Cadore, une petite ville des Dolomites en Vénétie entre 1488 et 1490[4], dans une riche famille locale. Son père, Gregorio Vecellio, occupait diverses charges, dont celles de capitaine de la milice et d'inspecteur des mines. Paul Véronèse. Signature Paolo Caliari, dit Véronèse, né en 1528 à Vérone et mort le 19 avril 1588 à Venise, est un peintre vénitien.

Paul Véronèse

Son véritable patronyme reste inconnu : le peintre a signé successivement Paolo Spezapedra (surnom paternel), Paolo di Gabriele, Paolo da Verona ou Paolo Caliaro (probable nom d’emprunt). La tradition de l’histoire de l'art parle de Paolo Caliari. Virgen de la Humildad. Sacra conversazione. Sacra conversazione ("sagrada conversación" en idioma italiano) es un género pictórico dentro de la pintura religiosa y muy habitual a partir del Renacimiento, con el quattrocento italiano y los primitivos flamencos.

Sacra conversazione

La Sacra conversazione en pintura[editar] También suele representarse al comitente (el que encarga y paga la pieza) o donante (cuando el encargo es una donación a una institución religiosa), habitualmente en una posición subordinada y arrodillado, como orante. Es característica la ubicación de la escena en un entorno arquitectónico o bajo un dosel, que cubre al trono en el que se encuentran la Virgen y el Niño. Ya en el Cinquecento, el género continuó siendo utilizado por los principales artistas, tanto del Alto Renacimiento como del manierismo. Madonna con santos y el donante Jean Carandollet, de Fra Bartolomeo, 1511-1512. Primitifs flamands. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Primitifs flamands

Les primitifs flamands[a] sont, selon une expression apparue au XIXe siècle, les peintres actifs dans les anciens Pays-Bas méridionaux aux XVe et XVIe siècles, dans les villes florissantes de Flandres, de Brabant, du Hainaut et une partie de la Principauté de Liège Dinant et Bouvignes): Bruges, Gand, Tournai, Bruxelles et Anvers, bénéficiant d'une importante prospérité économique durant la période bourguignonne. L’Exposition des primitifs flamands et d'Art ancien qui s'est tenue à Bruges en 1902 a fait le succès de ce groupe de peintres à l'origine de la Renaissance nordique. Cette période d'intense activité artistique débute approximativement avec les carrières de Robert Campin (Tournai) et de Jan Van Eyck[b] et se poursuit au moins jusqu'à la mort de Gérard David en 1523[2].

Art grotesque. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Art grotesque

Palazzo Vecchio à Florence Motifs d'ornementation grotesque L'Art grotesque comprend des motifs d’ornementation peints, dessinés ou sculptés reproduisant des sujets de caractères bizarres ou formant des enroulements de feuillages en guise de colonnes dans l’entrelacement desquels apparaissent des figures extravagantes comme les mascarons, des personnages ou des animaux fantastiques ; cet ensemble porte le nom d'architecture illusionniste. Histoire[modifier | modifier le code] On rattache son origine d'inspiration et l'étymologie du mot grotesque à la découverte à Rome (et dans sa campagne) vers la fin du XVe siècle, de décors peints sur les murs de maisons romaines ensevelies depuis des siècles et redécouvertes enterrées (donc semblables à des grottes) : les ruines de l'antique palais de Néron, la Domus aurea (Maison dorée) en sont un exemple.

Ces décors ont été diffusés par des estampes dans toute l'Europe. École de Fontainebleau. L'École de Fontainebleau est le nom donné à deux périodes de l'histoire de l'art français, qui dominèrent la création artistique française au XVIe et au XVIIe siècle, et qui figurent parmi les exemples les plus aboutis de l'art renaissant en France.

École de Fontainebleau

Centré autour des peintres travaillant principalement à la décoration du château de Fontainebleau[1], cette école se caractérise par une interprétation française mesurée du maniérisme[2]. L’appellation donnée à ce mouvement artistique ne date pourtant que du XIXe siècle, employée la première fois en 1818 par l’historien Adam Bartsch (1757-1821), dans ses travaux sur la gravure (1803-1821), afin de désigner les estampes réalisées par un groupe d’artistes dans les années 1540, sous l’influence de deux maîtres italiens œuvrant au château de Fontainebleau : le Rosso et Primatice[2].

Par extension, ce terme s’est appliqué à toutes les formes d’art qui se sont épanouies à Fontainebleau, et un peu plus tard, dans le même esprit, à Paris[2]. Mystères païens de la Renaissance - Edgar Wind - Editions Gallimard.