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Arts martiaux

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Chitta. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Chitta (prononciation chitta) (sanskrit, IAST: citta; devanāgarī : चित्त ; pali)[1] désigne, selon le contexte, la conscience, la pensée, l'esprit, l'intelligence, le cœur. Dans le Vedanta, citta est l'essence de la conscience, son siège en est symboliquement le cœur, où il est associé à l'âme (jivatman)[2]. Il a également le sens de mémoire, de pensée[3] ou de conscience.

Dans le bouddhisme, il désigne l'esprit au sens le plus large. Hindouisme[modifier | modifier le code] Sāṃkhya Yoga[modifier | modifier le code] Ce terme désigne en yoga non seulement le réceptacle des perceptions et fonctions vitales, mais encore les impressions (saṃskāra) et tendances de vies antérieures (vāsanā)[5]. Ce terme associé à vṛtti pour former le vocable cittavṛtti désigne les modifications dans le citta qui sont de cinq sortes selon les Yoga Sūtra. Advaita Vedānta[modifier | modifier le code] Bouddhisme[modifier | modifier le code] Bushidō, l'âme du Japon. Bushidō, l'âme du Japon (武士道, Bushidō? , ou encore Bushidō, the Soul of Japan en anglais) est un ouvrage de Inazō Nitobe (1862-1933), paru en 1900 et qui présente le bushido, présenté comme le mode de vie et les valeurs des samourais.

Présentation générale[modifier | modifier le code] Contexte et intentions[modifier | modifier le code] L'ouvrage est publié en 1899 à New York, en langue anglaise[1] et à l'attention directe de l'Occident. Lors de la reprise des contacts avec les puissances occidentales, le Japon souffrait d'un déficit d'image que Nitobe souhaitait combler.

Le livre fut traduit en japonais pour la première fois en 1908, mais c'est la traduction faite par Tadao Yanaihara (en) en 1938 qui deviendra la référence en japonais[1],[2]. Critiques[modifier | modifier le code] Enfin, les samourais représentant environ 7-8 % de la population, il est trompeur de dire que le bushido est représentatif de l'ensemble de la population. Remarques préliminaires[modifier | modifier le code] L’iaido. Aikido. L’Aïkido L'aïkido (合気道, aikidō) est un art martial japonais (budo), fondé par Morihei Ueshiba entre 1930 et 1969. L'aïkido a été officiellement reconnu par le gouvernement japonais en 1940 sous le nom d’aikibudo Il est basé sur des écoles d'arts martiaux anciennes, essentiellement le ju-jitsu de l'école daitō ryū, l'escrime ou kenjutsu et l'aikijutsu. L'aïkido est né de la rencontre entre ces techniques de combat et une réflexion métaphysique de Morihei Ueshiba sur le sens de la pratique martiale à l'ère moderne.

L'aïkido se compose de techniques avec armes et à mains nues utilisant la force de l'adversaire, ou plutôt son agressivité et sa volonté de nuire. Ces techniques visent non pas à vaincre l'adversaire, mais à réduire sa tentative d'agression à néant. L'aïkido peut être considéré comme la concrétisation du concept de légitime défense : une réaction proportionnée et immédiate à une agression. Aïkido peut donc se traduire par « la voie de la concordance des énergies ». Aïkibudo. L'aïkibudo (合気武道, aikibudō?) Est un art martial traditionnel d'origine japonaise (budō) essentiellement basé sur des techniques de défense et d’attaque. Il a pour origine l'Aïkido-Yoseikan selon le Centre International de l'Aïkibudo[1]. Histoire[modifier | modifier le code] Morihei Ueshiba, fondateur de l'Aïkidō, a fait évoluer sa vision de l'art martial tout au long de sa vie.

L’aïkido moderne correspond à la forme la plus récente de son enseignement. Avant d'arriver à cette forme épurée, la forme de sa pratique et le nom de son école ont connu des changements. Ueshiba avait ainsi nommé son école Daitōryū aikijūjutsu, en référence au koryu (école traditionnelle ancienne) d'où il tirait ses techniques, puis aiki budō (1930), qui deviendra ultérieurement aikidō (1942). Certains de ses élèves créeront à leur tour leur propre style; l'un d'eux, Minoru Mochizuki viendra en France promouvoir l'aïkido d'alors. . — Pensée en mouvement, Alain Floquet, édition Budo Seiza : Mettez-vous à genoux ! Les arts martiaux japonais et l’esprit français | Aikido Kobayashi. Conférence à Misasa (Japon) Je souhaite remercier les personnalités qui ont permis que cette rencontre ait lieu (énumération éventuelle des noms ou des titres des hommes politiques, des représentants de l’autorité, mairie, département etc.) Permettez-moi aussi de remercier Monsieur Takata de me donner ainsi la parole et de vous remercier pour votre présence et votre écoute.

Je veux brièvement dire quels sont les liens qui font que je me trouve aujourd’hui devant vous. Mon maitre d’aikido Kobayashi Hirokazu, disciple de Ueshiba Morihei, fondateur de l’aikido moderne, vivait généralement à Takarazuka. Il était né à Osaka. Mais il avait à Togo une maison qu’il affectionnait particulièrement et il y venait chaque fois que son travail lui laissait ce loisir. Mon histoire de disciple J’ai entendu l’appel du Japon alors que je n’étais qu’un enfant. Militarisme et budo : Le militarisme dépersonnalise les conflits quand le budo met en exergue ses causes profondes. A quoi sert la violence ? Nobunaga. Utiliser la force de l’adversaire… – Aïkido Valence. « En Aïkido, on utilise la force de l’adversaire » : cette expression, employée à outrance pour présenter notre discipline aux néophytes, est devenue galvaudée. Si l’idée, derrière cette sentence, n’est pas tout à fait fausse, il faut néanmoins préciser quelques éléments… Qu’est-ce que la force ?

Détaillons tout d’abord la notion de force. S’agit-il de force pure ? La définition stricte de la force est : la capacité à effectuer un travail. La puissance est la capacité à exercer de la force dans un laps de temps court. Posséder une force-endurance plus élevée, c’est soulever aussi lourd qu’un autre, mais plus longtemps. Cela est relativement simple à comprendre. Pavel Tsatsouline, une référence mondiale concernant le développement de la force, le dit simplement : la force est une compétence. En Aïkido Certes, il ne s’agit pas du même type de force que celui développé dans les salles de musculation. C’est un travail envisageable et l’Aïkido est pratiqué ainsi dans beaucoup de Dojos. La vitesse. Shinbukan Kuroda Dojo Europe - Shinbukan Europe. Kuroda clan. From Wikipedia, the free encyclopedia Samurai clan prominent during the Sengoku period The Kuroda clan (Japanese: 黒田氏, Hepburn: Kuroda-shi) was a Japanese samurai clan which came to prominence during the Sengoku period.

Origins[edit] Corner tower of Fukuoka castle, residence of the Kuroda main clan during the Edo period The Kuroda clan claimed its origins in Tōtōmi Province. Sengoku period[edit] In the 16th century, the Kuroda clan was located in Harima Province. Edo period[edit] Kuroda Nagamasa on horseback At the Battle of Sekigahara in 1600, Tokugawa Ieyasu's Eastern Army defeated Ishida Mitsunari's Western Army, and Ieyasu emerged as the dominant power figure in Japan. Two branches of the family were founded in 1623. The forces of the Kuroda clan of Fukuoka took part in the Shimabara Rebellion in 1638. 18,000 men under Kuroda Tadayuki assisted in laying siege to Hara Castle. In 1784, two schools were founded for the Fukuoka domain's samurai sons, Shūyū-kan and Kantō-kan. Boshin war[edit] Tetsuzan Kuroda. From Wikipedia, the free encyclopedia Japanese martial artist Tetsuzan Kuroda (born 1950 in Japan) is a martial artist.[1] He was a featured participant in the Aiki Expo (2003), and is regarded as one of Japan's greatest swordsmen.[2] Kuroda Tetsuzan, sensei of the Shinbukan Kuroda Dojo, is the Soke of several ancient Samurai military disciplines.

Kuroda sensei inherited this knowledge through his family line, and is the headmaster of the Kuroda family martial legacy. The arts that he has inherited include: Kishinkai International. Kishinkai Aikido - Aikido et armes de l'école Kishinkai dans le Dauphiné et à Grenoble. L'aikido - la voie (ai) de l'union/harmonie (ai) des énergies (ki) - est un art martial (budo) japonais du XXème siècle, créée par O-sensei Morihei Ueshiba à partir principalement du Daito Ryu de Sokaku Takeda, de l'école de lance Hozoin-ryu et de celle de sabre Shinkage-ryu. L'aikido se pratique généralement à deux partenaires : l'un joue le rôle d'attaquant et l'autre réalise les techniques d'immobilisations ou de projections. L'entrainement se déroule sous formes de katas à deux et d'exercices plus libres.

Une partie de la pratique est également consacrée au travail des armes en bois : bâton, sabre ou couteau. Cet art martial se distingue notamment par l'absence de compétition. L'aikido s'est développé au travers le monde grâce aux élèves du fondateur partis pour répandre l'enseignement de leur maître, à l'image de Tamura-sensei arrivé en France en 1964. Mikinosuke Kawaishi. Mikinosuke Kawaishi (au centre) en présence du Champion d'Europe 1951, Jean de Herdt.

Vue de la sépulture. Mikinosuke Kawaishi (né le 13 août 1899 à Himeji et mort le 30 janvier 1969 en France), est un judoka japonais (10e dan) pionnier du judo en France. Biographie[modifier | modifier le code] Né à Himeji en août 1899[1],[2], Mikinosuke Kawaishi étudie le jiu-jitsu à l’école du Dai Nippon Butokukai au Japon. Dans les années 1920, sa formation achevée, il quitte son pays pour aller enseigner les arts martiaux, d'abord aux États-Unis (notamment à San Diego et à New York), puis à partir de 1931 en Grande-Bretagne.

À l'invitation de Moshe Feldenkrais, Mikinosuke Kawaishi arrive en France en octobre 1935[3], il vient de recevoir son 4e dan, et commence à y enseigner le judo qui avait eu beaucoup de mal jusqu'alors à s'imposer malgré plusieurs séjours de son fondateur Jigorō Kanō. Mikinosuke Kawaishi ouvre son premier dojo à Paris 13e, au 109 Boulevard Auguste-Blanqui, dans un ancien atelier. Mikinosuke Kawaishi. Kōdōkan. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Kōdōkan (講道館? , littéralement « école pour étude de la voie ») est un dojo fondé en 1882 par Jigorō Kanō, le créateur du judo. Son président actuel est Haruki Uemura. Histoire[modifier | modifier le code] Entrée principale du Kōdōkan. Le premier élève s'inscrivit le 5 juin 1882.

Ces premiers élèves étaient âgés de 15 à 18 ans. Deux ans plus tard, Jigorō Kanō fit construire un dojo dont le tapis mesurait près de 80 m2. Lorsque Jigorō Kanō entreprit ses premiers voyages autour du monde, il confia à ses meilleurs élèves la direction du Kōdōkan. En 1887, une école nationale de tous les arts martiaux fut créée par le gouvernement japonais, c'est le Butokukai. Malgré la concurrence, le Kōdōkan continua son ascension, son dernier dojo devint le plus grand du Japon : 185 m2 ; peu de temps après, cette surface fut portée au double.

C'est en 1934 que le Kōdōkan fut installé dans un nouveau bâtiment de trois étages. Karaté. En 2021, le karaté est un sport olympique provisoire lors des Jeux de Tokyo. Il existe plusieurs styles de karaté dont le Shotokan-ryu, le Wado-ryu, le Shito-ryu, le Shorin-ryu ou encore le Goju-ryu. Étymologie[modifier | modifier le code] En japonais, le kanji kara (空?) Signifie le « vide », plus précisément la « vacuité » au sens bouddhique du terme ; té (手?) Est la main et, par extension, la technique avec laquelle on la réalise. À l'origine, « karaté » était écrit avec les kanjis 唐手 (tō-de : « main Tang » ou « main de Chine »). Présentation générale[modifier | modifier le code] Le karaté est une discipline martiale dont les techniques visent à se défendre uke (受け?) Des nuances de contenus techniques et philosophiques sont relativement marquées en fonction du style (Shōrin-Ryu, Shōtōkan, Shōtōkai, Wadō-ryū, Shitō-ryū, Gōjū-ryū, etc.). Les origines de l'art[modifier | modifier le code] Bodhidharma et le temple de Shaolin (l'origine mythique)[modifier | modifier le code] L’honneur (meiyo)

Grue blanche. Grus americana Espèce Répartition géographique Répartition de la Grue blanche (1995) bleu: aire d'hivernage, orange: aire d'hivernage, vert: résident à l'année, gris: résident à l'année (expérimental) Statut de conservation UICN EN D : En danger Statut CITES Description morphologique[modifier | modifier le code] Les rémiges primaires noires ne sont visibles qu'en vol. Plumage[modifier | modifier le code] L’ensemble du plumage de l’adulte est blanc immaculé sauf les primaires qui sont noires, le dessus de la tête qui est rouge et la face qui comporte du rouge et du noir.

Mensurations[modifier | modifier le code] La Grue blanche est le plus grand des oiseaux nord-américains, mesurant presque 1,5 m de haut posé au sol. Écologie et comportement[modifier | modifier le code] Alimentation[modifier | modifier le code] La Grue blanche est omnivore. Pendant la migration, elle se nourrit de grenouilles, de poissons, de tubercules de plantes, d’écrevisses, d’insectes et de grains dans les champs cultivés. Toshitsugu Takamatsu. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Toshitsugu Takamatsu (高松寿嗣, Takamatsu Toshitsugu?) Est un célèbre artiste martial, né le 10 mars 1889 (la 23e année de l'ère Meiji) à Akashi, province de Hyogo, Japon et mort le 2 avril 1972[1].

Il a enseigné et formé de nombreux grands maîtres de la génération qui lui succéda à diverses traditions d'arts martiaux. Nom martial[modifier | modifier le code] 高松寿嗣 Takamatsu Toshitsugu de son vrai prénom Hisatsugu. Il a changé par la suite Hisatsugu en Toshitsugu en utilisant le même kanji, mais avec une prononciation différente. Son nom posthume est Junshokakuju Zenjomon. Vie personnelle[modifier | modifier le code] Il était marié à Uno Tane, née le 28 juin 1897 et décédée le 4 février 1991. Au cours de la Seconde Guerre mondiale (1945) les parchemins originaux ont été détruits et perdus ((Fact | date = Mars 2008)). À l'âge de 15 ans, il est devenu sourd d'une oreille lors d'un de ses combats, face à un Bugeisha du Mushashi-ryu.

Shinden Fudo-ryū. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Shinden fudo-ryū est une école de daken-taijutsu et ju-taijutsu. Shinden fudo signifie « les enseignements immuables transmis par les dieux ». On trouve au sein de Shinden fudo-ryū de nombreux exercices de renforcement corporel à faire dans la nature. Il est dit que les enchainements et les mouvements doivent être naturels et relaxés. Histoire et légende[modifier | modifier le code] Il est dit au sein du Bujinkan que l'école a été fondée au XIIe siècle par Genpachiro Temeyoshi.

En 1895, un ingénieur britannique nommé Edward William Barton-Wright, et un anthropologue hollandais nommé Herman Ten Kate, furent acceptés au dojo Shinden fudo-ryū de Kōbe. Shōtō Tanemura est à la tête d'une branche de cette école, après avoir reçu le menkyo kaiden de Seishiro Saito. Masaaki Hatsumi est cité dans le Bugei Ryuha Daijiten comme l'un des détenteurs du titre de sōke, ou d'un menkyo kaiden de cette école. Techniques[modifier | modifier le code] Kamae mental. Bouddhisme mahāyāna. Le Kamae. Les tech. fondamentales – Judo o Miru – 柔道を見る.