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Culture

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Appel urgent : Plus aucun mineur dans les rues de Paris ! La seule option qui nous est proposée est de faire la queue à la Permanence d’accueil et d’orientation des mineurs isolés étrangers (Paomie) pour espérer obtenir une improbable place d’hôtel réservée pour 25 personnes alors que nous sommes plus de 100 à être confrontées à cette situation d’extrême précarité.. Dans ce calvaire, nous avons rencontré des personnes et des associations qui nous soutiennent ( en nous apportant de la nourriture, des vêtements chauds…). Ensemble, nous avons convenu d’une chose : cette situation ne peut plus durer ! En l’absence d’une autre solution, nous avons décidé de trouver par nous-mêmes un refuge en investissant un gymnase, ce dimanche 21 décembre, au 116, quai de Jemmapes – 75010 Paris (Métro Jaurès, Louis Blanc).

Par cette action, nous exigeons que l’État assume ses responsabilités et revendiquons notre droit d’être pris en charge, comme la loi l’impose dans le cadre de la protection des mineurs. Nous avons besoin de votre aide à tous. Potager d'un curieux. L'agriculture biologique, plus productive qu'on ne le pense. Une vaste étude montre que le rendement des exploitations bio peut se rapprocher de celui de l'agriculture conventionnelle. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Pierre Le Hir En dépit de ses vertus en matière de respect de l'environnement et de préservation de la biodiversité, l'agriculture biologique est souvent reléguée au rang d'alternative marginale, définitivement incapable de nourrir les plus de neuf milliards d'humains que comptera la planète en 2050, dont un quart sur le continent africain. Il est vrai que, fin 2011, elle n'occupait que 37,2 millions d'hectares dans le monde, soit seulement 0,9 % de la surface agricole totale, même si, entre 2000 et 2010, son emprise territoriale a été multipliée par 2,4.

Mais ses détracteurs lui reprochent surtout ses piètres rendements, comparés à ceux de l'agriculture conventionnelle. Résultat de cette analyse panoramique : la différence de productivité entre bio et traditionnel est ramenée à 19,2 %. Grenoble dit non la publicité. A paraitre dans leJDD Le maire de Grenoble, Eric Piolle. (Sipa) C’est une première en France. La municipalité grenobloise n’a pas renouvelé le contrat avec le groupe JCDecaux. Pour lire cet article en intégralité, cliquez ici. Vous pouvez aussi acheter le JDD sur iPad ou sur Internet. Le Marginal. Le Monde.fr - Actualité à la Une. Prisée des Anglais, cette baie translucide avait déserté les tables hexagonales. Elle revient dans la cuisine contemporaine où son goût acide fait merveille dans les ceviches, cocktails ou crumbles.

Qu'est-il arrivé à la groseille à maquereau ? Il fut un temps où le Ribes uva-crispa produisait un fruit des plus courants. Cette grosse baie charnue et translucide, tantôt lisse tantôt velue, au goût de raisin vert et de prune sauvage, se développait en abondance dans les jardins. Son évocation éveille nombre de souvenirs émus. Enfants, en vacances chez nos grands-parents, on se cachait derrière les buissons pour les cueillir sous un soleil oblique, au risque de se piquer les doigts sur les épines de l'arbuste et on s'en goinfrait au point d'en avoir la langue toute âpre. Originaire du Caucase et du nord de la mer Noire, ce petit arbuste fruitier robuste a été apporté sur le territoire français, au Moyen Age, par les peuples scandinaves. Quand l’écologie sert à financer l’armée. 250 millions d’euros vont être réaffectés du budget du ministère de l’Ecologie vers celui de la Défense.

C’est ce que prévoit le projet de loi des finances rectificative pour 2014. 170 millions d’euros seront piochés dans l’enveloppe prévue pour la transition écologique et énergétique, 50 millions dans le programme « villes et territoires durables » et 30 millions dans le programme « innovation », détaille un article des Echos. Doté de 39 milliards d’euros, le budget de la Défense est quatre fois plus important que celui de l’Écologie (9,7 milliards d’euros). Et du vert au vert kaki, il n’y a qu’un pas pour le gouvernement Valls. Illustration : Rodho (voir son blog) Pour interdire un OGM, les Etats devront demander la permission aux entreprises. Voilà plus de quatre ans qu’une nouvelle procédure pour interdire nationalement la culture d’OGM était en discussion. Le 12 juin, un « accord politique » a finalement été trouvé entre les ministres de l’Environnement des 28 États membres de l’Union européenne [1]. « Ce nouveau système garantit aux États la possibilité de choix, s’ils souhaitent cultiver ou non » s’est réjouie la ministre française Ségolène Royal au cours du Conseil.

Mais tous les gouvernements ne partagent pas cet enthousiasme. La représentante luxembourgeoise Carole Dieschbourg, émet de sérieuses réserves sur la solution retenue en raison du « rôle important laissé aux entreprises de biotechnologies » et redoute « une vague d’autorisation de cultures » dans l’UE. Olivier Belle, ministre de l’Environnement belge, s’est également abstenu sur ce compromis craignant des disséminations transfrontalières. L’OMC en embuscade « Droits sans précédent » pour les multinationales. Cliquez ici pour sauver le dernier théâtre de la Goutte d'Or. Mise à jour: Le Lavoir Moderne Parisien va être expulsé par un promoteur immobilier Luxembourgeois. Il est encore temps de signer la pétition! Suite à une décision du Tribunal de Grande Instance de Paris, l'expulsion est reportée. Il faut stopper l'augmentation des loyers à Paris, qui détruit le tissus social, la culture et l'éducation populaire.

Nous pouvons encore sauver le dernier théâtre de la Goutte d’Or. Ce lieu de vie et de diversité s’était déjà vu priver d'aides en 2004. Or une mobilisation massive peut convaincre Madame Fleur Pellerin Ministre de la Culture et de la Communication de sauver le lavoir moderne parisien. Les Parisiens ne veulent pas vivre dans un musée, et aspirent à une création culturelle dynamique dans tous ses quartiers. Le Festival de l'agriculture urbaine fait son joli mois de mai. Mai est le mois de l’imagination au pouvoir, alors rêvons un peu, beaucoup, passionnément, à la folie avec le Festival de l’Agriculture urbaine.

Du 1er au 4 mai puis un peu plus tard, du 28 juin au 4 juillet, c’est un feu d’artifice fruitier et potager qui va illuminer nos rues et nos quartiers à Paris et en Ile-de-France. Pierre angulaire des alternatives, l’agriculture urbaine ou périurbaine est un concentré d’utopies concrètes pour réinventer la ville, retrouver un savoir-faire agricole, recréer du lien, reconnecter le citadin à la nature, favoriser la biodiversité et surtout, imaginer d’autres mondes. En l’espace de quelques mois, ce mouvement a pris son envol : de la réappropriation potagère et fruitière de délaissés urbains au développement des potagers sur les toits parisiens, c’est un nouveau récit qui s’invente quotidiennement. Le programme du Festival Plusieurs rendez vous sont d’ores et déjà programmés et permettront de découvrir et mettre en pratique: J'aime : J'aime chargement…

« Les biens communs nous offrent davantage de liberté et de pouvoir que ne le font l’État et le... La notion de « biens communs » attire de plus en plus l’attention et l’intérêt de divers acteurs du changement social. Qu’il s’agisse d’écologie, de défense des services publics, de culture ou de technologie, les biens communs – ou, plus simplement, les « communs » – ont pour principal attrait de dessiner une alternative pratique aux logiques de commerce et de contrôle, mettant l’accent sur la coopération et le partage, et redonnant du pouvoir et de l’autonomie aux simples citoyens. La notion de « biens communs » est invoquée à propos de choses très différentes entre elles, depuis la gestion collective des ressources naturelles jusqu’à Linux et Wikipedia, en passant par la préservation des traditions indigènes, les services et infrastructures publics, les coopératives et l’économie solidaire, les jardins partagés et les AMAP… Difficile parfois de trouver un fil conducteur.

Basta ! Pourquoi est-il utile de réfléchir à ce qu’il y a de commun entre les communs ? Photo : CC Bindalfrodo. La France continue de soutenir la pêche profonde. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Martine Valo Paris continue de soutenir la pêche profonde contre vents et marées ! Ce mode de chalutage qui racle les fonds, jusqu'à plus de 1 000 mètres sous la surface parfois, puise dans des espèces vulnérables et détruit leurs habitats, détériorant un écosystème que l’on connaît mal. Les ONG de défense de l’environnement marin reprochent à la France de peser de tout son poids pour retarder depuis deux ans l’ouverture de discussions sur ce sujet au conseil des ministres européens de la pêche.

C’est à présent à ces derniers de se prononcer sur ce dossier après les atermoiements du Parlement européen, qui a eu bien du mal à trancher. Le 10 décembre 2013, à seize voix près, l’interdiction du chalutage profond n’avait pu être adoptée par l’assemblée plénière. Quelques jours plus tard, plusieurs députés avaient fait savoir, en vain, qu’ils s’étaient trompés dans leur vote… Pourtant cette pêche destructrice a été bannie de plusieurs régions européennes. Produire des connaissances, partager des connaissances : chiche ? Télécharger le texte en format pdf L’empressement de certains acteurs de l’économie solidaire à répondre au rapport Vercamer sur l’enjeu de la labellisation comme question clé du développement de l’économie solidaire nous préoccupe.

Cela traduit la gravité de l’état de dépolitisation à laquelle en est rendue l’ESS. Quel contraste avec l’époque où nombre d’initiatives de citoyenneté économique s’en réclamant ont vu le jour par refus du traitement social du chômage ! À travers ce projet de labellisation de l’économie solidaire, il ne s’agit rien moins que de gérer les exclusions, à défaut de les combattre. Le débat sur l’éthique et l’utilité sociale doit être permanent là où des acteurs se rencontrent, débattent y compris hors du champ de l’économie sociale et solidaire. Notre souci de faire avec, et non à la place de, indique que c’est bien la démocratie, son approfondissement, qui est au cœur du projet qui nous anime dans l’économie solidaire. Cliquez ici pour sauver le dernier théâtre de la Goutte d'Or. Cliquez ici pour sauver le dernier théâtre de la Goutte d'Or. L'Europe en grave déficit d'abeilles pour polliniser ses cultures. L'Europe affiche un déficit de 13,4 millions de colonies d'abeilles, soit 7 milliards d'individus, pour correctement polliniser ses cultures.

Ce sont les conclusions de chercheurs de l'université de Reading (Royaume-Uni), publiées mercredi 8 janvier dans la revue Plos One. La cause ? En raison du développement des cultures oléagineuses notamment utilisées dans les agrocarburants, les besoins de pollinisation ont crû cinq fois plus vite que le nombre de colonies d'abeilles entre 2005 et 2010. D'où, aujourd'hui, une situation de déficit : « L'Europe a seulement deux tiers des colonies d'abeilles dont elle a besoin », indiquent les auteurs. Dans la moitié des 41 pays étudiés, « il n'y a pas assez d'abeilles pour polliniser correctement les cultures, notamment en France, en Allemagne, au Royaume-Uni et en Italie », précisent-ils. Le cas de la Grande-Bretagne est particulièrement préoccupant avec moins d'un quart des abeilles nécessaires à la pollinisation.