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Psychiatrie

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Alzheimer : La découverte qui change tout ! Auteur : Santé magazine | Editeur : Walt | Mardi, 11 Nov. 2014 - 07h56 Pendant que des millions d’euros sont dépensés afin de trouver des médicaments pour traiter les symptômes de la maladie d’Alzheimer, des recherches qui dévoilent les véritables causes de la maladie sont totalement passées sous silence… Une véritable pandémie Alors que l’incidence de la maladie d’Alzheimer ne cesse d’augmenter dans la population mondiale, ses causes restent encore inconnues. Pire, les traitements jusqu’alors prescrits sont désormais critiqués par les Hautes Autorités de Santé.

Quant aux derniers essais cliniques sur de nouvelles molécules, ils ne sont guère encourageants. Les chiffres sont implacables : 35,6 millions d’individus dans le monde souffrent de démence, selon l’Organisation mondiale de la santé. Ils seront deux fois plus nombreux en 2030. Malgré cela, certaines études mettent en évidence des faits très surprenants. La découverte qui change tout Mesures hygiéno-diététiques. Liste des principaux médicaments psychiatriques à éviter et à retirer selon Prescrire. Notre vécu change l'anatomie du cerveau | Yves Dalpé | Coin du psy. On découvre de plus en plus de liens entre la souffrance morale et le fonctionnement du cerveau. On sait maintenant que des manifestations purement biologiques au cerveau peuvent être modifiées par des expériences exclusivement humaines comme la psychothérapie, par exemple, sans aucune intervention chimique.

Ainsi, la psychothérapie à elle seule peut modifier le fonctionnement du cerveau de façon permanente. Le psychiatre Kandel (Prix Nobel 1998) a démontré la plasticité du cerveau. Par exemple, des images scannées du cerveau de musiciens témoignent de différences faisant suite à leur pratique d'instruments de musique. Leur cerveau «musical» s'est développé à la suite de leurs répétitions avec leurs instruments de musique et non à cause de gènes précis. Autres exemples : les neurones de rats élevés dans des environnements plus stimulants sont beaucoup plus branchés. Ces environnements rehaussés stimulent les rats au point que leur cerveau s'en trouve amélioré.

La procrastination: un échec de contrôle de soi dû à une régulation de l'humeur à court terme. La procrastination représente un échec de régulation de soi-même qui se produit en raison d'une priorité accordée à la gestion de l'humeur à court terme, font valoir les psychologues Fuschia Sirois de l'Université Bishop (Sherbrooke, Québec) et Timothy Pychyl de l'Université Carleton (Ottawa, Canada). Comme le souligne le psychologue Joseph Ferrari, auteur de Still Procrastinating: The No Regret Guide to Getting It Done, "tout le monde qui procrastine n'est pas procrastinateur".

Alors qu'il arrive à chacun de repousser indûment une tâche, environ 20% des gens seraient des procrastinateurs chroniques pour qui retarder l'accomplissement de ce qu'ils ont à faire à la maison, au travail (ou dans leurs études) ainsi que dans leurs relations est un mode de vie. La procrastination , définissent Sirois et Pychyl, consiste à retarder intentionnellement l'accomplissement d'une tâche prévue malgré l'attente de conséquences négatives dans un futur plus ou moins rapproché.

Leur feraient défaut. Un modèle de régulation des émotions pour expliquer la dépression et l'anxiété. Dans les récentes années, il y a eu un intérêt croissant en thérapie cognitivo-comportementale pour le rôle que joue la régulation des émotions dans la vulnérabilité à une grande diversité de troubles psychologiques, rapporte le psychologue américain Robert L. Leheay dans Cognitive and Behavioral Practice (2012). Il propose un modèle décrivant les processus par lesquels des stratégies mal adaptées de régulation des émotions seraient liées au développement de troubles psychologiques.

Ces stratégies mal adaptées incluent par exemple, la rumination, l'inquiétude excessive, la boulimie, la suppression des émotions, l'abus de substances et d'autres formes d'évitement de l'expérience intérieure. Son modèle (1) repose sur le modèle métacognitif d'Adrian Wells présenté dans la figure suivante : Imaginons, par exemple, qu'une émotion telle que la colère est "activée". Si la personne normalise son émotion, elle peut rapidement l'accepter, l'exprimer, s'adapter et apprendre. Schémas émotionnels.