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Euroscepticisme dans UE

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Je ne veux pas casser, je veux réorganiser l'euro pour la création d'emplois en France. Faut-il faire sauter Bruxelles ? L'Union européenne va s’effondrer parce qu’elle nie les peuples. La machine à punir, par Serge Halimi. Qu’est devenu le rêve européen ? Une machine à punir. A mesure que le fonctionnement de celle-ci se perfectionne, le sentiment s’installe que des élites interchangeables profitent de chaque crise pour durcir leurs politiques d’austérité et imposer leur chimère fédérale (1). Ce double objectif suscite l’adhésion des conseils d’administration et des salles de rédaction. Mais, même en ajoutant à ce maigre lot les rentiers allemands, quelques prête-noms luxembourgeois et bon nombre de dirigeants socialistes français, on n’élargit pas démesurément l’assise populaire de l’actuel « projet européen ». L’Union ne cesse de rabrouer les Etats qui n’ont pas pour souci prioritaire de réduire leur déficit budgétaire, y compris quand le chômage s’envole.

Comme ils obtempèrent en général sans se faire prier, elle leur impose aussitôt un programme de rectification comportant des objectifs chiffrés à la décimale près, assorti d’un calendrier d’exécution. L'illusion de la sortie de l’UE par l'article 50 du traité de Lisbonne. « Il faut que tout change pour que rien ne change » Giuseppe Tomasi prince de Lampedusa. Le Guépard Certains partis à prétention hégémonique fondés par des politiciens venus de l’UMP cherchent à faire croire que le seul moyen viable de sortir de l’union européenne est l’article 50. Examinons ce que dit le traité et donc les conditions de sortie de l’UE par l’article 50. Voici ce fameux article 50: Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union.L’État membre qui décide de se retirer notifie son intention au Conseil européen. À la lumière des orientations du Conseil européen, l’Union négocie et conclut avec cet État un accord fixant les modalités de son retrait, en tenant compte du cadre de ses relations futures avec l’Union.

Cet accord est négocié conformément à l’article 218, paragraphe 3, du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. L’Union Européenne ou le déni de démocratie. Chaque état membre de l’UE dispose d’un représentant à la commission européenne. Cette répartition indépendante du poids relatif de chaque pays est encore pire. Cela revient à donner à un pays comme la Lettonie le poids de la Chine, de la Russie et des USA réunis. Pour la France, c’est Michel Barnier (UMP) qui a reçu ce mandat. Il est en charge du marché intérieur et il est le père de la disposition européenne permettant aux banques de se renflouer en saisissant directement le contenu des comptes de leurs clients, c’est à dire les nôtres.

Les 65 millions de français dont il devrait défendre les intérêts, ne serait-ce que par patriotisme reconnaissant pour le pays qui l’a éduqué et nourri avant même la naissance de l’Europe, ne valent pas mieux que les 800 000 chypriotes déjà ruinés. Il est vrai que les européistes forcenés plaideront que c’est faire preuve d’ignorance que de décrire la commission sous cet angle.

Que faire ? Il y a urgence. La mauvaise foi des partisans de l’euro. Lettre ouverte à Henri Weber. …membre du parti socialiste Directeur des études auprès du Premier secrétaire, chargé des études européennes, Député européen… Mon cher Henri, Tu viens d’envoyer une lettre à Marine le Pen sur l’Euro[1]. Laisse-moi te dire que tu te trompes, et sur de très nombreux points.

Nous nous sommes connus, et combattus, appartenant à deux organisations différentes, il y a 40 ans de cela. À l’époque, tu prenais un mirador pour le phare du mouvement ouvrier, certes dégénéré. J’avais combattu à l’époque ta myopie et celle de tes camarades. Tu écris : «La disparition de lʼEuro est un scénario catastrophe que nous devons conjurer et non pas provoquer.. Ceci est faux, et tu ne peux pas ne pas le savoir. (1) Il n’y a aucune raison logique pour qu’une dissolution de la zone Euro rallumes la guerre des monnaies européennes. Mais tu ne t’arrêtes pas en si bon chemin. Là, vois-tu, tu n’es pas à la page. Alors, cher Henri, reconnais que tu dis beaucoup de mensonges, de contre-vérités, dans cette lettre. L'Européisme a-t-il eu raison de l'Europe ? - Idées. Poursuivant sa série sur l'Europe et dans l'attente des élections européennes, La Grande Table reçoit aujourd'hui Frédéric Lordon, philosophe et économiste, à l'occasion de la parution, aux Editions Les Liens qui Libèrent, de son dernier essai, La Malfaçon.

Monnaie européenne et souveraineté démocratique. Lordon y développe comment il a choisi de traiter de la sortie de l'euro, cela non pas d'un point de vue de stratégie économique (dévaluation) mais plutôt sous l'angle de la nécessaire restauration de la souveraineté démocratique. Marc-Olivier Padis, rédacteur en chef de la revue Esprit, qui propose d'ailleurs dans son dernier numéro (mars-avril) un article d'Anne-Laure Delatte sur la question de la sortie ou non de l'euro, joindra ses questions et réflexions à celles de Caroline Broué et d'Antoine Mercier. Marc-Olivier Padis et Frédéric Lordon TM © Radio France. « Aucun économiste n’est pour la fin de l’euro ». Ah bon ? Petite liste d’économistes envisageant la dissolution de l’euro.

EURO : Questions fréquemment posées. Le débat sur une sortie, ou sur dissolution, de l’Euro suscite un certain nombre de questions qui reviennent de manière récurrente. On en aborde dans la note qui suit quelques unes de ces dernières afin de clarifier ce débat. 1-Différence entre dépréciation et dévaluation de la monnaie. Ces deux termes sont aujourd’hui employés de manière synonyme. Ils renvoient pourtant à des réalités un peu différentes. Une dévaluation est un terme employé quand la monnaie à un cours fixe, que ce soit par rapport à un métal (l’or, l’argent, voire les deux) ou par rapport à une monnaie (la Livre Sterling, le Dollar, etc.).

La parité est garantie par l’État, qui s’engage à échanger une certaine quantité de sa monnaie contre une certaine quantité de la référence, soit métallique soit d’une autre monnaie, à un taux de change donné. On dit qu’il y a dévaluation quand ce taux est administrativement baissé. Cette question est régulièrement posée à chaque fois que les tensions s’accumulent dans la zone Euro. Liste non-exhaustive d’économistes envisageant la dissolution de l’euro comme une possibilité | Altereconomie. Déficit démocratique de la zone euro : la liste de lecture des égarés. Ce billet propose une liste de lecture avec des résumés des grands auteurs sur les origines et la nature de l’absence de démocratie dans la zone euro. Il s’agit d’une traduction de l’article (The Eurozone’s “Democratic Deficit”: A Reading List for the Perplexed) écrit par Craig Willy et publié sur son blog. Je le remercie vivement pour cet excellent papier – sa publication sur ContreLaCour – et son aide pour la longue traduction.

L’article permettra aux lecteurs français de prendre connaissance de nombreuses sources étrangères assez méconnues. Presque tout le monde reconnaît aujourd’hui que l’Union européenne est de plus en plus, comme le soutient le philosophe europhile allemand Jürgen Habermas, un régime « post-démocratique ». Il en va de même, à sa manière, pour l’euro-fédéraliste français Jean Quatremer.

Philippe Séguin Philippe Séguin a mené la charge en France contre le traité de Maastricht de 1992 qui permit la création de la zone euro. Paul Krugman Paul de Grauwe Vítor Constâncio. Frédéric Lordon: le véritable clivage gauche / droite. Nigel Farage, Le Projet Européen fondé sur un dangereux mensonge (16/04/14 ,vostfr)

Sortie de l'euro : Bernard Maris vire sa cuti (3) ********************************************************La deuxième guerre civile Par Bernard Maris En 1992, François Mitterrand a ouvert une deuxième guerre de 30 ans en croyant par la monnaie unique arrimer l’Allemagne à l’Europe. L’Allemagne réalise sans le vouloir par l’économie ce qu’un chancelier fou avait déjà réalisé par la guerre : elle détruit à petit feu l’économie française. Certes, elle n’est pas responsable de cette situation, au contraire ; elle n’est jamais intervenue dans la politique intérieure de la France, elle a tendu la main aux Français du temps de Balladur pour réaliser un début d’unité fiscale et budgétaire (qui lui fut refusée).

Plus de vingt ans de guerre économique ont passé, et l’industrie Allemande a laminé les industries italienne et surtout française. Aujourd’hui la guerre est terminée et gagnée. La part des exportations de l’Allemagne en zone euro représente 10% du total. Le reste est hors zone euro, aux Etats-Unis et en Asie. (A suivre) Bernard Maris. Sortie de l'euro : Bernard Maris vire sa cuti (3) Quand des journalistes de l’Express et de l’Expansion décryptent le démontage de l’euro. Faut-il faire sauter Bruxelles ? France Info ou Europe Propagande ? Gilles Ardinat sur la notion de taille en géopolitique, réponse à la propagande européiste. Pourquoi la solution fédéraliste à la sortie de crise de l’euro est politiquement irréalisable.

Dans le monde idéalisé de l'européiste de base, le fédéralisme est une impérieuse nécessité pour satisfaire cette nouvelle religion qu'est l'Union Européenne, incarnée par un dieu jaloux : l'euro, qu'il faut sauver par des rituels et sacrifices des économies des pays fidèles. Cependant, cette douce utopie ne résiste pas à la réalité.

La théorie économique démontre pourquoi la zone euro n'est pas une zone monétaire optimale. Les travaux de R.Mundell (pourtant partisan de l'Union Economique Monétaire) montrent qu'une ZMO (zone monétaire optimale) nécessite que les chocs asymétriques (un pays en crise …) soient compensés notamment par des transferts budgétaires, une fluidité du marché du travail (mobilité des facteurs de production) permettant une circulation des travailleurs. Or, une analyse empirique simple démontre que ces mécanismes d'ajustement n'existent pas. La zone euro se caractérise par son hétérogénéité, qui constitue son vice originel1 Le Coût du fédéralisme. L’Union Européenne finance de «trolls» pour contrer les eurosceptiques sur les réseaux sociaux.

Une découverte significative de l’Université de l’État de Washington montre que l’ail est 100 fois plus efficace que deux antibiotiques populaires pour combattre des maladies causées par des bactéries responsables de toxi-infections alimentaires. Leur travail a été publié récemment dans le Journal de Chimiothérapie Antimicrobienne, une suite des précédentes recherches de l’auteur dans Microbiologie Appliquée à l’Environnement qui a démontré de manière concluante qu’un concentré d’ail était efficace pour inhiber la croissance de la bactérie Campylobacter jejuni. L’ail est probablement l’un des plus puissants aliments naturels. C’est l’une des raisons pour laquelle les gens qui suivent un régime méditerranéen ont des vies aussi saines et longues. L’ail est aussi très performant en laboratoire de recherche. L’une des découvertes les plus intéressantes est que l’ail augmente le niveau global d’antioxydants dans le corps.

Source Traduit par Bistro Bar blog relayé par wikistrike Comments comments. Quand l'Union européenne finance l'information | Jean-François Gérard. Médiapart a jeté un pavé dans la marre en dévoilant le système de subvention aux médias de la part de la Commission et du Parlement européen aux médias à vocation européenne. On peut se demander si ce mode de fonctionnement est plus néfaste pour l'image des journalistes ou pour celle des institutions européennes. La fermeture du site d'information en dix langues Presseurop, et ses répercussions pour la rédaction de son hébergeur, Courrier international, (26 postes permanents et 25 pigistes réguliers supprimés) avait attiré l'attention sur cette étrangeté.

Les institutions européennes subventionnent différents médias à vocation européenne. La dotation annuelle de 3,2 millions d'euros Presseurop n'étant pas renouvelée, sur fond de restrictions budgétaires et de critiques pour concurrence déloyale, le site doit mettre la clé sous la porte, ou plutôt débrancher son modem. Opacité sur les méthodes d'attribution A quoi jouent les journalistes européens? L'Union européenne est morte, vive l'Europe des nations ! Restez débranchés ! - Épisode 2 - L'Union européenne. De Gaulle, Mitterrand et l'Europe. "L'Union est devenue une entreprise de liquidation de l'Europe comme civilisation et comme projet" "Notre régime européen marque l’achèvement, au double sens du terme – accomplissement et terminaison - du cycle démocratique, un achèvement annoncé de Platon à Tocqueville" Entretien avec Christophe Beaudouin, auteur de "La démocratie à l'épreuve de l'intégration européenne", pour le mensuel Nouvelles de France (numéro d'Octobre 2013) Dans votre ouvrage analysant le sort de "la démocratie à l'épreuve de l'intégration européenne" (Editions LDGJ, 556 p.), vous affirmez que nous sommes en train de vivre un changement "discret" de régime.

Qu'est-ce-qui vous permet d'affirmer cela ? Oui, tout s’est accéléré depuis vingt ans. Dans le grand tournant de la fin du XXème siècle, sans bruit, sans violence, sans proclamation solennelle, les Européens ont changé de régime politique. Pouvez-vous nous expliquer en quoi ce changement de régime consiste concrètement ? Christophe Beaudouin, docteur en droit, auteur de "La démocratie à l'épreuve de l'intégration européenne" (LGDJ, 2013) Boriko59 - "L'UE expliquée aux enfants" - démocratie. Sortir de l’Union Européenne ? Il faut la poser cette question. La sortie de l’UE n’est pas du tout une idée extrémiste comme veulent le faire croire les médias. C’est au contraire indispensable pour redonner aux Français la faculté de choisir eux-mêmes les politiques économiques, sociales, budgétaires, agricoles, industrielles, environnementales, diplomatiques et militaires qu’ils veulent.

D’ailleurs, on ne pourra jamais redresser la France si ce sont les instances de Bruxelles et de Francfort qui la gouvernent sans préavis du peuple de l’hexagone. Vous constaterez par ailleurs qu’aucun débat sur le sujet n’a lieu sur aucune chaine. Pourquoi ce parti pris ? Pourquoi cette pensée unique ? Pourquoi devoir s’essouffler à chercher des vidéos malheureusement quasi-inconnues sur Youtube ? Pourquoi continuer à écouter les promesses des européistes JAMAIS tenues en 21 ans de construction européenne ?

L’Union européenne est une farce à tous les points de vue. Pourquoi critiquer l’Europe ? -1er acte : Création monétaire 1. . « 2. « La souveraineté, cela ne se divise pas ni ne se partage et, bien sûr, cela ne se limite pas. » Ce n’est une nouvelle pour personne : dans leur immense majorité, les médias soutiennent aveuglément l’Union Européenne et les décisions qu’elle prend, y compris lorsqu’elles sont catastrophiques pour les peuples du continent. Il est en revanche un peu plus surprenant de constater qu’il n’apparaît désormais même plus nécessaire de prendre des précautions de langage pour exprimer son mépris des peuples et de la démocratie.

Dans un débat organisé sur Europe 1 le 5 Juin , Axel de Tarlé, chroniqueur économique, s’est ainsi exclamé : « moi je suis pour le diktat de Bruxelles, j’annonce la couleur » puis « si on veut un gouvernement européen, il faut accepter que ce gouvernement nous dise ce qu’il faut faire ». L’européisme béat, une longue tradition La haine de la démocratie Mais revenons-en à Axel de Tarlé. « Heureusement qu’il y a des gens à Bruxelles.

Cette citation ne s’invente pas. Un déni de réalité Selon lui, le diktat de Bruxelles est inefficace en plus d’être anti-démocratique. Petit répertoire de l'eurodéfiance. Les conservateurs avaient remporté les élections européennes de 2009, huit mois après la faillite de Lehman Brothers mais avant le déclenchement de la crise des dettes souveraines en Europe. Les extrêmes (gauche et droite) et les eurosceptiques n'avaient pas profité de ce contexte. Quatre ans après, la crise économique s'est muée en crise politique dans de nombreux pays de l'Union. ITALIE "Objectif Strasbourg" pour Beppe Grillo Le mot "Europe" apparaît rarement sur le blog de Beppe Grillo.

Inutile aussi de chercher dans le programme du Mouvement 5 étoiles (M5S) une référence à un référendum sur l'euro, proposé par l'ancien comique. Pourtant, les élections européennes de 2014 sont sûrement le prochain objectif du dernier-né des partis politiques italiens. "Nous ne pouvons pas penser que nous avons fait tout ça pour nous arrêter ici, à Rome.