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Idées philo etc.

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De l’universel, de l’uniforme, du commun et du dialogue entre les cultures | Le magazine : Essai. François Jullien, éditions Fayard, 2008. Il a été reproché à François Jullien, d’enfermer la culture chinoise dans une altérité rédhibitoire, indépassable, fermée en particulier aux droits de l’homme. Il a répondu en son temps à ces détracteurs. Ici, abordant des thèmes voisins, il poursuit sa réflexion, offrant aux lecteurs des perspectives utiles - en ces temps de mondialisation, de brassage et de métissage - et fécondes... Il a été reproché à François Jullien, d’enfermer la culture chinoise dans une altérité rédhibitoire, indépassable, fermée en particulier aux droits de l’homme. Il a répondu en son temps à ces détracteurs (1). Ici, abordant des thèmes voisins, il poursuit sa réflexion, offrant aux lecteurs des perspectives utiles - en ces temps de mondialisation, de brassage et de métissage - et fécondes. Mustapha Harzoune 1- Chemin faisant, Seuil, 2007.

Pierre Macherey : “Littérature et/ou Philosophie”. | La philosophie au sens large. 26 mai 2011 Au fil d’un article sur Lautréamont, André Breton écrit : « Je crois que la littérature tend à devenir pour les modernes une machine puissante qui remplace avantageusement les anciennes manières de penser. ») Ceci paraît signifier que, à l’époque de la modernité, la littérature a vocation à prendre la relève, entre autres, de la philosophie, c’est-à-dire, en clair, de penser à sa place. Si, à suivre Breton, dont la démarche pourrait être rangée sous la devise « la littérature comme philosophie », la littérature assume à plein titre un droit à penser repris à la philosophie qui l’avait usurpé, c’est donc parce que, grâce à la puissante machinerie dont elle dispose, elle est mieux préparée pour l’exercer.

Mais ce droit à penser, quel est-il au juste ? Quelle forme prend-il lorsque c’est la littérature qui s’en empare ? Rabelais en fournit le témoignage éclatant, ce qui n’a pas échappé à la perspicacité de Bakhtine. "Des femmes" (1/5): Que dit "la femme" ? Barbara Cassin © Rf Première étape d’une semaine entièrement consacrée à la femme. Commençons par discuter de la formulation de cette thématique avec la philosophe Barbara Cassin. Première étape de cette semaine entièrement consacrée à " la femme". Une fois n’est pas coutume, nous commençons par discuter la formulation de notre thématique. Après avoir écrit le mot au tableau, il nous a paru trop grand, ou pas assez...quelque chose. En tous cas il nous a donné du fil à retorde. Auparavant, nous accueillons les choix littéraires de Vladislav Galard. Le Polaroid du jour développe lentement…. un souvenir de leçon de violon.

Vers 16h50, un poème de Marianne Moore vous sera lu par Jennifer Decker de la Comédie Française. Programmation musicale : - The Dead weather, The difference between us- San Fermin, Methuselah- Scout Niblett, Kiss- Jacques Offenbach, L'air de Pâris in "La belle Hélène" Barbara Cassin. Biographie de Barbara Cassin, [node:field-occupation] • [node:field-section], Études Ricoeuriennes / Ricoeur Studies.

Liste des cours de philosophie. Alexandre Jollien / Homme, écrivain et philosophe || Un site utilisant WordPress. Frédéric Worms, La vie qui unit et qui sépare, lu par Pascal Chantier - oeil de minerve ISSN 2267-9243. Frédéric Worms, La vie qui unit et qui sépare, éd. Payot & Rivages, 2013, lu par Pascal Chantier. L’ouvrage relativement court (90 pages), présente un texte revu et enrichi d’abord publié en 2004 dans la revue Kairos de l’université de Toulouse sous le titre « La vie qui unit et qui sépare ?

La question philosophique du sens de la vie aujourd’hui ». Il s’agit rétrospectivement, de l’aveu même de l’auteur, d’un texte inaugural, annonciateur des recherches ultérieures. Dans le premier chapitre, Worms distingue et oppose deux situations qui voient surgir cette question existentielle. Dans le chapitre deux, l’auteur s’enquiert des raisons pour lesquelles nous reléguons à l’arrière-plan les expériences relationnelles au profit de la question abstraite du « sens de la vie ».

Le chapitre trois est consacré à ces expériences relationnelles entre les vivants, « les expériences concrètes des décès et des deuils, comme aussi des rencontres et des séparations, des amitiés et des violences ». La voix de Gilles Deleuze. Philosophie comme mode de vie. Le professeur Pierre HADOT (Photo: P. Imbert / Collège de France) Je veux dire, donc, que le discours philosophique doit être compris dans la perspective du mode de vie dont il est à la fois le moyen et l'expression et, en conséquence, que la philosophie est bien avant tout une manière de vivre, mais qui est étroitement liée au discours philosophique.Hadot, Qu'est-ce que la philosophie antique?

19 On conçoit souvent la philosophie comme la discussion de textes savants, comme l'élaboration de systèmes ou de doctrines abstraites, bref comme une succession de conceptions théoriques. Pourtant, l’examen attentif des textes anciens par l’helléniste Pierre Hadot (1922-2010) a bien montré que la signification première de la philosophie antique réside dans un choix de vie formé d’exercices, c'est-à-dire dans la pratique d’un mode de vie propre. Qu'est-ce que la «philosophie comme mode de vie»? Ce dossier* présente la philosophie comme mode de vie en considérant: Patrick Charaudeau - Livres, articles, publications (Université Paris 13 - CNRS) Fabienne Brugère et Guillaume le Blanc (coord.) : Judith Butler, trouble dans le sujet, trouble dans les normes. AnthropoWeb. Conférences « Penser global » : Edgar Morin. Actu philosophia. Edouard Glissant. Ce que nous apprend l'anthropologie.