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Nos déchets alimentaires créent des emplois. Vos déchets alimentaires permettent de produire de l'énergie !

Nos déchets alimentaires créent des emplois

Depuis l'an dernier, c'est la voie suivie par les matières organiques jetées quotidiennement par les habitants de plusieurs communes alsaciennes. Épluchures, restes de repas, marc de café ou os de poulet : leurs biodéchets prennent la direction de l'unité de méthanisation de la société Agrivalor, à Ribeauvillé (Haut-Rhin).

Là, au cœur d'un digesteur, des micro-organismes vont les dégrader afin de produire du biogaz. Lequel sera dans un second temps transformé en électricité et en chaleur. Agrivalor ne collecte pas seulement les déchets des particuliers. Positive pour l'environnement, la démarche l'est tout autant sur un plan économique. « Notre activité de méthanisation regroupe aujourd'hui vingt salariés, explique-t-il. La méthanisation face au défi du recrutement Le cas d'Agrivalor n'a rien d'une exception. . « Un gisement d'emplois non délocalisables » Une « soupe alimentaire » transformée en gaz et en électricité.

L'avocate Nathalie Roret devient la première femme et la première non-magistrate proposée pour diriger l'Ecole nationale de la magistrature. Le ministre de la Justice Eric Dupond-Moretti a suggéré ce nom au président de la République, après avoir dénoncé le "corporatisme" de l'institution qui forme les magistrats.

L'avocate Nathalie Roret devient la première femme et la première non-magistrate proposée pour diriger l'Ecole nationale de la magistrature

La pénaliste Nathalie Roret, vice-bâtonnière du barreau de Paris, a été choisie par le ministre de la Justice Eric Dupond-Moretti, lundi 21 septembre, pour diriger l'Ecole nationale de la magistrature (ENM). Ce nom doit encore être validé par le président de la République, mais l'avocate devrait donc devenir la première femme et la première non-magistrate à prendre les rênes de la prestigieuse école. "Je préfère les états de service aux états d'âme", a-t-il justifié. J'ai décidé de proposer à la signature de monsieur le président de la République le nom du 17e directeur, et pour la première fois dans l'histoire de l'école, ce directeur sera une directrice.Eric Dupond-Moretti Nathalie Roret a prêté serment en 1989 et est membre du comité d'éthique du barreau de Paris depuis 2015 et vice-bâtonnière depuis 2020. Covid-19 en France : le protocole sanitaire allégé dans les écoles dès mardi.

Publié le : 21/09/2020 - 10:10 Le ministère français de l'Éducation a annoncé, dimanche, l'assouplissement des règles concernant les cas contacts de Covid-19.

Covid-19 en France : le protocole sanitaire allégé dans les écoles dès mardi

Il en faudra désormais au moins trois pour décider de la fermeture d'une classe, voire une école maternelle ou élémentaire à partir de mardi. Les règles du Covid-19 dans les écoles françaises changent. À partir de mardi, il faudra au moins trois cas contacts dans une classe de maternelle ou de primaire pour faire fermer la classe, voire l’école. Lorsqu'un enfant sera testé positif, sa classe pourra "continuer de se tenir normalement pour les autres élèves, qui ne sont plus considérés comme cas contacts", a annoncé, dimanche 20 septembre, le ministère de l'Éducation dans un communiqué. Des enfants peu actifs dans la transmission Jusqu'à présent, si un élève était considéré comme "cas contact", il ne pouvait revenir à l'école que si un test, réalisé sept jours après le dernier contact avec le cas confirmé, était négatif.

Avec AFP. Indépendance du Sénégal : 60 ans après, quel bilan ? - Le débat. La cohésion d’équipe dans les entreprises à l’épreuve du coronavirus. Depuis quelques semaines, Jean-Claude (qui témoigne sous le couvert de l’anonymat), directeur financier dans une grande entreprise, reçoit des messages de salariés impatients. « Nous faisons revenir très progressivement nos équipes sur site et beaucoup aimeraient que les choses s’accélèrent, constate-t-il.

La cohésion d’équipe dans les entreprises à l’épreuve du coronavirus

Ils voudraient quitter le 100 % télétravail et retrouver pour au moins quelques jours la vie de bureau, comme avant. » Problème, à ses yeux : « Tout a changé. Un grand nombre de collègues ne sont plus là en même temps que vous, les mails ont remplacé les discussions autour d’un café… Les collaborateurs n’ont pas forcément conscience que, protocole sanitaire allégé ou pas, une partie de la convivialité a disparu. » Article réservé à nos abonnés Lire aussi La collaboration à distance recrée les rites de l’entreprise A l’heure du déconfinement, le vivre-ensemble est fragilisé.