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Nouveaux métiers

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Comments. Les banques de détail assiégées par les Fintech et les Gafa. XEnvoyer cet article par e-mail Les banques de détail assiégées par les Fintech et les Gafa XEnvoyer cet article par e-mailLes banques de détail assiégées par les Fintech et les Gafa L'Ubérisation des banques Le métier de banquier ? Le métier de banquier, bien rémunéré, est d’être un intermédiaire. Par Patrick Arnoux L’offensive, sur tous les fronts – moyens de paiement, crédit, gestion d’actifs, soit les activités les plus rentables –, vient d’assaillants de toutes sortes. Avec comme levier, une révolution copernicienne, une formidable “disrupture” [variante de l’anglais “disruption”] induite par le Net qui dynamite l’intermédiation. Le métier de banquier ? “Nous pourrions disparaître” Dans une récente réunion interne de l’association française des banques (AFB), rue Lafayette, l’un des hauts dirigeants de BNP Paribas se serait laissé aller à cet étonnant aveu. : “Eh oui, nous pourrions disparaître”.

Business model dépassé La stratégie globale des GAFA La tactique très ciblée des Fintech. Vers une Uberisation de l'intelligence? Innovation Le 25/08/2015 Jean Botti, CTO d’Airbus Group nous a confié en souriant qu’il rêvait d’«une application smartphone qui produise la synthèse et l’analyse de tout ce que savent les meilleurs experts d’un domaine ; la somme de toutes les connaissances dans un cerveau». A l’instar de Uber ou de Airbnb, qui rendent disponibles en réseau puis valorisent des actifs matériels sous-utilisés, peut-on imaginer valoriser un actif immatériel tel que le savoir, l’expertise ou encore le savoir-faire? Sommes-nous à l’aube d’une Uberisation de l’intelligence ? Nous avons interviewé plusieurs dizaines de patrons de l’innovation, de la R&D, de la stratégie, du marketing de grands groupes pour notre dernier livre « Innovation Intelligence ». L’intelligence constitue le fuel de l’innovation. 1- Une inflation et une fragmentation des connaissances : les connaissances nouvelles sont générées à un rythme qui va croissant (il y a, par exemple, cinq millions de publications scientifiques par an).

Après les Gafa, les nouveaux maîtres du monde sont les Natu. Les Gafa, c’est tellement 2014... Voici venir l’ère des Natu. Natu, c’est l’acronyme de l’été 2015 ; celui qui réunit les quatre grande entreprises emblématiques de la « disruption » numérique : Netflix, Airbnb, Tesla, et Uber. Les Gafa (Google, Apple, Facebook, Amazon) sont toujours bel et bien là, affichant une santé économique insolente et une surface financière plus importante que bien des Etats ; néanmoins ces entreprises font déjà figure de « vieilles » (pensez, Mark Zuckerberg va être papa...) face à l’émergence de la nouvelle génération des géants américains, qui surfent sur de nouveaux modèles.

Cette mutation d’une vitesse spectaculaire du capitalisme à l’heure numérique affecte l’économie mondiale, la création et la destruction d’emplois à l’échelle planétaire, l’évolution de nos systèmes sociaux et du salariat ; ne pas chercher à comprendre le phénomène, qui n’a plus grand chose à voir avec la part d’idéalisme de l’économie du partage, condamnerait à le subir. Absence de débat. Dites Adieu à votre travail, un robot vous remplacera. Dites Adieu à votre travail, un robot vous remplacera Le monde avance irrémédiablement vers une transformation fondamentale de notre rapport au travail. L’activité humaine est remplacée graduellement par la machine, et ce dans tous les secteurs, aussi bien manuels qu’intellectuels. Nestlé a annoncé le lancement de 1000 robots vendeurs de cafés dans les magasins de la firme. Tout le monde a entendu parler des « robots tueurs » autonomes.

Le mot « drone » est désormais un mot couramment entendu dans les médias. Nombre de programmes ont déjà remplacé l’homme dans les grandes entreprises. Il y a deux prismes pour observer cette évolution : A. . « Sans activité, pas de travail, sans travail, c’est la faillite de l’état et à la guerre civile ! La peur est légitime quand les choses changent. Par ailleurs, il parait impossible d’arrêter cette évolution quasi « naturelle ». Ainsi, l’activité va-t-elle se redistribuer équitablement ? Usine Tesla B. C’est ici qu’il faut « paniquer ». Des universités traduisent leurs diplômes en listes de compétences, pour faciliter l’embauche. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Benoît Floc'h Que savent faire les étudiants lorsqu’ils sortent de l’université ? Quelles compétences peuvent-ils mettre en avant sur le marché de l’emploi ?

Cette question centrale, longtemps négligée, est aujourd’hui au cœur de la réflexion de quelques établissements pionniers, à Saint-Etienne ou à Lille, par exemple. C’est aussi le cas de l’université Joseph-Fourier (UJF), à Grenoble, qui tenait, jeudi 25 juin, un séminaire sur ce thème. Le but n’est rien d’autre que de traduire l’ensemble des diplômes de cette université scientifique et médicale en listes de compétences. Plutôt que le « quoi » (les matières apprises), c’est le « pourquoi » qui est mis en avant : le sens des études, qu’il s’agit de traduire en termes concrets. « Quand on participe à des Salons, raconte Joëlle Aubert, on se rend compte que la demande des familles n’est plus “Qu’est-ce qu’on apprend dans votre établissement ?”

Repenser la formation. Freelances, « moonlighters », pluri-emploi… : un américain sur trois est un travailleur indépendant. EN DATA. Aux États-Unis, un travailleur sur trois est indépendant, soit 54 millions d'Américains. En France, on estime leur nombre à 700 000. Le statut se structure... jusqu'à écorner le cliché du freelance isolé ? L’enquête réalisée auprès de 5 000 travailleurs indépendants et salariés par Freelancers Union, syndicat américain et Elance-odesk, une agence de mise en relation freelances-clients présente dans 180 pays, permet d’approcher les réalités sociologiques, juridiques et institutionnelles que recouvre l’auto-emploi. Qui sont ces travailleurs indépendants ? L'auto-emploi est largement dominé par les freelances, suivi par les travailleurs bénévoles et non déclarés, que l'étude nomme "moonlighters". Derrière ces chiffres, ce sont les questions sur la résurgence des inégalités, l’avenir des régimes de protection sociales et les modalités de contrôle et de gestion du travail qui se posent.

Qui dit travail indépendant, ne veut pas dire individualisation du travail. « La grande révolution du travail aura lieu hors du salariat ». Entretien avec Denis Pennel (2/2) ENTRETIEN. Le salariat aurait-il fait son temps ? Souvent considéré comme le Graal de la stabilité de l'emploi dans un monde instable, le salariat pourrait bien être en train de vivre ses derniers instants. Selon Denis Pennel, une chose est sûre : la révolution du travail n'aura pas lieu là où on l'attend. Alors que l'économie mondiale se stabilise, la crise de l'emploi continue d'occuper le devant de la scène. Pourtant, pour Denis Pennel, directeur général de la Ciett et auteur de Travailler pour soi (2013), derrière cet aspect conjoncturel, une révolution structurelle du travail est en train de bousculer les usages.

Rencontre à l'occasion de la publication du rapport annuel de la Ciett, confédération mondiale des agences d'emploi privées. > A lire aussi, la première partie de notre entretien avec Denis Pennel : "En Europe, la situation de l'emploi s'est améliorée" Le thème de votre livre de 2013, Travailler pour soi (Seuil – 2013) parlait de cette révolution du travail hors-salariat. Quels métiers vont disparaître avec les nouvelles technologies ? Dynamique Entrepreneuriale Avec l’avènement des nouvelles technologies et du numérique, bon nombre de professions sont vouées à disparaître. Marche inéluctable vers le progrès, quelles sont cependant ces professions qui n’ont pas su ou pu s’adapter aux changements dus au virage technologique ? Du manuel à l’intellectuel : tous les secteurs sont touchés Les secteurs les plus touchés sont indéniablement l’industrie, l’agriculture, les différentes administrations et les services aux entreprises.

Les secteurs liés aux nouvelles technologies comme l’informatique, le numérique et la robotique ont transformé radicalement le monde du travail. Forcées d’évoluer ou de disparaître, de nombreuses professions sont ainsi en pleine mutation. À l’instar de ce secteur et des manufacturiers, la robotique a permis une automatisation des tâches et une meilleure productivité. Le secteur du numérique et de la robotique La robotique industrielle pourrait atteindre un niveau record à l’horizon 2020.