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Etude de gestion

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Financement associations. 150 000 associations connaissent une situation financière très difficile. A l’image du reste du paysage économique, les responsables associatifs sont soumis à une conjoncture difficile : seuls 39 % des responsables d’associations employeurs et 53 % des responsables d’associations non employeurs se disent confiants quant à la situation de leur association – selon l’enquête réalisée par le laboratoire associatif Recherche et solidarités(1). Parmi les difficultés pointées, la question financière arrive en tête des préoccupations des associations employeuses : 56 % des responsables de structures de moins de 5 salariés et 63 % des responsables d’associations de plus de cinq salariés soulignent leur difficultés financières.

Selon l’équipe de Recherche et Solidarité, 150 000 associations connaissent des situations financières très difficiles. Parmi elles, 14 000 structures employant jusqu’à 5 salariés, et environ 7 000 employant plus de 5 salariés. Ce baromètre confirme les chiffres de l’emploi. Collectivités territoriales et associations : reconstruire le partenariat. Associations en difficultés. Les dirigeants associatifs ne sont pas seuls face aux difficultés et plusieurs dispositifs existent pour les soutenir et permettre à l’association de repartir de l’avant.

Détecter, prévenir Établir un budget prévisionnel et suivre un plan de trésorerie sont les pré-requis d’une bonne gestion, à défaut d’une "vraie" comptabilité en partie double. Il faut tout d’abord savoir diagnostiquer les difficultés, qui peuvent être externes ou internes à l’association, et agir en conséquence. Cette fonction incombe normalement aux administrateurs à l’aide des outils (tableaux de bord, etc.) et informations mis à leur disposition, notamment par le bureau. Anticiper les risques "d’impayés" Le délai de paiement de subventions publiques peut avoir des conséquences fâcheuses sur la trésorerie des associations alors que le « risque client » (retard de paiement ou défaillance d’un client qui n’a pas réglé ses factures) est aujourd’hui la première cause de défaillance pour les entreprises. Organisation interne assoc° Associations : difficultés et solutions.

Définitions

Le salarié. Définition de la relation salariale La relation salariale est caractérisée par un certain nombre d’éléments : versement d’une rémunération, existence d’un lien de subordination. Le versement d’une rémunération en contrepartie de la fourniture d’un travail Cette rémunération constitue un salaire, quel que soit le nom qui lui est donné : rétribution, vacation, prime, indemnité… Cette rémunération peut être aussi constituée, en tout ou en partie, d’avantages en nature : repas, logement, voiture… L’existence d’un lien de subordination.

Ainsi, dans le cas d’une association, le salarié exercera son activité sous l’autorité (la subordination juridique) du conseil d’administration, du président ou d’une personne déléguée à cet effet. . - dans la soumission à des directives et à des contrôles, - dans le fait d’exercer l’activité dans les locaux de l’association, d’en utiliser les outils de travail (matériel notamment), et de s’engager à fournir programmes et comptes-rendus d’activités. Les conséquences. Le bénévole. Plus de 14 millions de bénévoles œuvrent aujourd’hui dans le paysage associatif français. Se sentir utile et faire quelque chose pour autrui est le moteur de ces bénévoles qui s’impliquent dans des domaines d’activité aussi divers que le sport, la culture ou les loisirs, l’humanitaire, la santé ou l’action sociale, la défense des droits ou encore l’éducation.

On peut définir les bénévoles comme des personnes qui consacrent une partie de leur temps, sans être rémunérées, aux activités de l’association. Le bénévolat se distingue d’autres situations juridiques telles : le salariat ; le volontariat associatif. Les caractéristiques du bénévolat. Le bénévolat se distingue de la situation de travail (ou salariat) essentiellement par les critères suivants : • le bénévole ne perçoit pas de rémunération (en espèce ou en nature : prêt d’un véhicule automobile par exemple). Il peut cependant être remboursé des frais induits par son activité (déplacement, hébergement, achat de matériel…) ; • le bénévole n’est soumis à aucune subordination juridique (critère du contrat de travail).

Il ne reçoit pas d’ordre et ne peut pas être sanctionné par l’association, comme pourrait l’être un salarié (licenciement…). Sa participation est volontaire : il est toujours libre d’y mettre un terme sans procédure ni dédommagement. Il est en revanche tenu de respecter les statuts de l’association, ainsi que les normes de sécurité dans son domaine d’activité. Quelle est la différence entre volontariat et bénévolat ?

Définition association