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Potagers, jardins partagés et associatifs

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Pretersonjardin.com : des jardins à partager entre particuliers dans toute la France !-Mozilla Firefox. GuideAVA_Fairesonjardinenville. On jardine à Saint-Denis. Un petit coin de potager citadin exposé aux polluants. Retrouver le vrai goût des fruits et des légumes, cultiver son propre potager sans pesticides en ville, c’est devenu courant. L’engouement des citadins jardiniers risque de s’essouffler suite aux conclusions d’une étude allemande. Selon les chercheurs, les fruits et les légumes cultivés en ville sont moins sains que ceux issus des supermarchés. « Les légumes issus des jardins urbains peuvent être, en comparaison avec des productions standards des supermarchés, pollués par de multiples métaux lourds. Certains ont même dépassé les limites fixées par l’Union européenne pour l’alimentation » indique Ina Säumel, responsable de l’étude « How healthy is urban horticulture in high traffic areas ?

» Les chercheurs de l’université technique de Berlin constatent, après avoir étudier les potagers du centre ville de la capitale allemande, des niveaux élevés de métaux lourds présents dans les fruits et les légumes. Le fruit le plus contaminé est la tomate. Sources : > sciencedirect.com > 20minutes.fr. Cultiver son jardin pourrait devenir un acte criminel. Partageons un jardin à cultiver. Le projet : En quoi consiste votre projet ? Ce projet vise à créer un jardin partagé au sein du quartier de Bécon, à Courbevoie (92) afin de dynamiser ce quartier et de fédérer ses habitants autour d’une activité saine et écologique.

Au bout de six mois d’exploitation, nous souhaiterions jumeler le jardin et les expériences avec celles des jardins partagés du XXème arrondissement en créant des weekend d'animations C'est un jardin de proximité animé par une association qui propose des activités collectives de jardinage développant l'éducation, l'insertion et la création de lien social en favorisant la biodiversité.C'est un lieu ouvert sur le quartier qui favorise les rencontres entre les générations et les cultures. Il permet de tisser des relations entre les différents lieux de vie de l'arrondissement : écoles, maisons de retraite, hôpitaux... Un tel jardin est confié à une association par convention pour une durée limitée (1 an renouvelable jusqu'à 5 ans). Fonctionnement: Jardins associatifs : lorsque la ville nourrit la ville. Dans toutes les grandes villes des pays industrialisés, les jardins associatifs poussent comme des champignons.

Paris en est un bon exemple : si en 2003 on comptait 5 jardins partagés, en 2013 on en compte déjà 80. Pourtant, les listes d’attente pour accéder à un lopin de terre s’allongent. Cet engouement pour le jardinage a pris de court les mairies, qui cherchent désespérément dans les interstices urbains ou sur les toits des bâtiments, des surfaces à transformer en potagers. Ce phénomène ne pouvait qu’intéresser les chercheurs de l’Inra. Du jardinier du dimanche au producteur autosuffisant Mais quelles sont donc les motivations de ces citadins-agriculteurs ? Toit d’AgroparisTech. © inra, Nicolas Bell À la diversité de motivations s’ajoute une diversité de surfaces : si, par exemple, dans la petite couronne parisienne, les parcelles typiques ont 70 à 150 m2, dans Paris intramuros, les jardiniers ne disposent que de 15 à 20 m2 à exploiter, parfois moins.

Quid de la pollution ? Jardinons ensemble !