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CH4 - hydrates de méthane - permafrost/pergelisol

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Pergélisol, le piège climatique. Typique des régions arctiques, le pergélisol, le sol gelé depuis des milliers d’années, dégèle peu à peu sous l’effet du réchauffement climatique.

Pergélisol, le piège climatique

Ce faisant, il libère de puissants gaz à effet de serre. « CNRS Le journal » s’est rendu au Nunavik, dans l’Arctique canadien, pour mieux comprendre ce phénomène largement sous-estimé par les modèles climatiques. Les Inuits le savent bien, eux qui sont coutumiers des longues attentes dans les aéroports de la région. Voyager dans le Nord demande une bonne dose de patience. C’est à notre tour d’en faire l’expérience, en ce matin de décembre : le vol d’Air Inuit sur lequel nous avons embarqué à Montréal fait un atterrissage forcé à 150 kilomètres à peine de notre destination, Kuujjuarapik. Voyez fondre le pergélisol, cette bombe climatique. Dans les régions arctiques, il existe un sol gelé en permanence depuis des milliers d’années.

Voyez fondre le pergélisol, cette bombe climatique

On l’appelle le « pergélisol » ou « permafrost- » dans sa version anglo-saxonne. Sous l’effet du changement climatique, il montre ses premiers signes de dégel, formant des mares de « thermokarst », ces taches blanches que l’on observe sur la photo. Le pergélisol – qui recouvre 25% des terres émergées de l’hémisphère nord, soit la superficie du Canada – est une bombe à retardement. Sa fonte libère des quantités colossales de méthane et de dioxyde de carbone, deux gaz largement responsables, à leur tour, du changement climatique. Conséquence de ce cercle vicieux, d’ici à la fin du siècle, les températures pourraient augmenter de 5 à 8°C et non de 4, l’estimation haute donnée aujourd’hui par le Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat).

Pour mesurer l’ampleur de cette menace, huit laboratoires français et canadiens ont lancé un vaste programme de recherche. Dossier: permafrost. Le méthane, la vraie bombe climatique. Les scénarios pessimistes se confirment: des bulles de méthane enfermées sous le permafrost se libèrent sous l'effet du réchauffement dans l’atmosphère et risquent d'accélérer encore ce réchauffement...

Le méthane, la vraie bombe climatique

L’année 2011 ne restera peut-être pas longtemps l’année la plus chaude depuis le début des relevés, selon Météo France, c'est-à-dire depuis 1863. 2011 dépasse en effet le record de 2003 avec une température moyenne de 13,6°C contre 13,4°C pour l’année de la dernière canicule. Nous voilà donc en plein réchauffement climatique, même si le Giec affiche toujours la même prudence en matière d’analyse des phénomènes météorologiques actuels. Il n’empêche. Environ 12°C dans la nuit du réveillon, le 31 décembre 2011 à Paris, cela ne s’était jamais vu, de mémoire de grenouille… Hydrate de méthane. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Hydrate de méthane

Combustion d’hydrate de méthane (USGS). Cadre en haut à gauche : structure du clathrate. Bloc d'hydrate de gaz (clathrate) trouvé lors d'une expédition scientifique avec le navire de recherche allemand FS SONNE dans la zone de subduction située au large de l'Oregon, à une profondeur d'environ 1 200 mètres. Extinction Permien-Trias. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Extinction Permien-Trias

Intensité des extinctions marines à travers le temps Source et information sur le graphique L'extinction Permien-Trias ou extinction permienne est une extinction massive survenue il y a environ 252 millions d'années (Ma)[N 1]. Elle délimite les périodes géologiques du Permien et du Trias, donc la limite entre le Paléozoïque (l'ère primaire) et le Mésozoïque (l'ère secondaire). Cette extinction est marquée par la disparition de 95 % des espèces marines[N 2] et de 70 % des espèces vivant sur les continents[N 3], ce qui en fait la plus grande extinction massive ayant affecté la biosphère. Quand la biodiversité a manqué d'air.

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Faut-il redouter les hydrates de méthane ?

Faut-il craindre les hydrates de méthane ? Dernière version : mai 2005 site de l'auteur : www.manicore.com - contacter l'auteur : jean-marc@manicore.com. Les hydrates de methane. Les hydrates de méthane: une réserve énergétique énorme, mais une bombe écologique en puissance Les trois dernières décennies du XXème siècle ont vu des découvertes étonnantes sur les fonds océaniques : sources chaudes précipitant des sulfures massifs et soutenant une biomasse impressionante, communautés chimiotrophes tirant leur énergie d'évents sulfureux, méthaniques ou amoniaqués, hydrates de gaz, etc.

Les hydrates de methane

Les hydrates de méthane, entre autres, constituent une réserve énorme d'énergie. 'Fountains' of methane 1,000m across erupt from Arctic ice - a greenhouse gas 30 times more potent than carbon dioxide. 'Methane fields on a scale not seen before' - researcherMore than 100 fountains, but could be 'thousands'Could cause rapid climate change.

'Fountains' of methane 1,000m across erupt from Arctic ice - a greenhouse gas 30 times more potent than carbon dioxide

Arctique, la découverte inquiétante de véritables fontaines de méthane d’1 km de diamètre.. Le réchauffement global est peut-être en train de s’emballer. Une expédition scientifique russe a observé plus de 100 fontaines de méthane d’une ampleur jamais vue émergeant de l’océan Arctique, au nord de la Russie, rapporte le journal britannique The Dailymail. Trace gas emissions from sub-sea permafrost. Discussion sur FB. As Climate Changes, Methane Trapped Under Arctic Ocean Could Bubble to the Surface. World Climate Report » “Methane Time Bomb in Arctic Seas – Apocalypse Not” Our headline is taken from New York Times blogger Andy Revkin’s recent DotEarth post covering the results of a new paper which investigates the relationship between higher temperatures in recent decades and methane release from the Arctic seabed off the Siberian coast.

World Climate Report » “Methane Time Bomb in Arctic Seas – Apocalypse Not”

As you can probably tell from the headline, the research team, led by Igor Dmitrenko, did not find that global warming, current and future, was going to have much of a dramatic impact on the release of methane from the Arctic seas. This is a fairly significant finding because methane—which has about 20 times the impact on the greenhouse effect that carbon dioxide does on a molecule by molecule basis—has the potential to act as a large amplifier (positive feedback) to a warming climate.