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Addictions ?

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Le portable est-il en train de nous pourrir la vie ? Il n’y a pas d’addiction aux objets numeriques. C’est aussi simple que cela. J’ai participé à l’émission Le téléphone sonne : “Smartphones et réseaux sociaux: les nouvelles addictions” et j’ai été assez surpris de constater qu’il y avait encore un discours culpabilisant et pathologisant sur les objets numériques.

Il n’y a pas d’addiction aux objets numeriques. C’est aussi simple que cela.

J’ai pu entendre du docteur Willam Olivenstein Lowenstein que l’effet de ces objets était comme la cocaïne. Que les mondes numériques étaient des mondes de la stimulation perpétuelle et de la vitesse. Que 5% des jeunes joueurs de jeux vidéo développaient une addiction. Si j’étais américain, je dirais que c’est de la “bullshit psychiatry”. En français, on pourrait dire “psychiatrie de bazar” Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques. La première clinique pour “dépendance aux jeux video” a été ouverte en Hollande en 2006 par le Smith and Jones Centre, un centre de traitement pour les toxicomanes. Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques. Le blog de François De Smet. Billet radio pour la Première (RTBF), 28 mai 2013.

Le blog de François De Smet

Surcharge informationnelle : combattre l’irrationalité par l’irrationalité. La lecture de la semaine provient du quotidien britannique The Guardian, on la doit à Oliver Burkeman (blog, @oliverburkeman) qui est le correspondant à New York du journal.

Surcharge informationnelle : combattre l’irrationalité par l’irrationalité

Le titre de son papier : “pour lutter contre la surcharge informationnelle, trompez-vous vous-mêmes”. Gmail, le service mail de Google, a ajouté une nouvelle fonctionnalité du nom de Inbox pause, qui permet quelque chose de très simple : mettre en pause l’arrivée de nouveaux mails. L'addiction à Internet bientôt un trouble psychiatrique reconnu? Tremblez internautes compulsifs!

L'addiction à Internet bientôt un trouble psychiatrique reconnu?

Les psychiatres ont décidé de se pencher sur votre cas, et pourraient bientôt vous diagnostiquer comme atteint d'un trouble mental. La prochaine édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM), la bible internationale de la psychiatrie, évoquera un nouveau trouble, le «Internet-use disorder» (littéralement «trouble de l’utilisation d’Internet»), sur lequel les professionnels sont incités à faire des «recherches supplémentaires», rapporte Mashable. Mais encore? Le manuel explique que certaines personnes qui passent beaucoup de temps sur Internet développent des symptômes similaires à ceux qui sont atteints d’autres troubles de l’addiction, et que la communauté psychiatrique devrait étudier ce phénomène pour éventuellement en faire un trouble à part entière.

La classification semble trouver sa source dans d’autres inquiétudes autour notamment de l’addiction au jeu vidéo chez l’enfant comme l’écrit Russia Today: publicité. Internet, ça suffit! - Femmes dans la société - La Parisienne. Pour vivre heureux, vivons débranchés.

Internet, ça suffit! - Femmes dans la société - La Parisienne

Cyberdépendance: ces internautes qui ne débranchent jamais. Il vit quinze heures par jour sur internet.

Cyberdépendance: ces internautes qui ne débranchent jamais

«C'est une addiction, oui. Je me sens obligé. Quand je sors, je ressens du manque. Alors, le téléphone compense». Nous ne serons plus jamais déconnectés… Jenna Wortham (@jennydeluxe) pour le New York Times a commis un de ces papiers faciles sur les vertus de la déconnexion à l'heure d'un monde toujours plus connecté.

Nous ne serons plus jamais déconnectés…

Alors qu'elle se rendait à la piscine, elle a été invitée à déposer son téléphone et a pu profiter pleinement de sa journée, sans avoir à consulter avec anxiété ses comptes Facebook et Twitter pour regarder ce que ses amis faisaient. La peur de manquer quelque chose (Fomo, pour Fear of Missing Out) que décrivait Caterina Fake, cofondatrice de Flickr, s'évaporait quelques instants. Notre connexion permanente aux médias sociaux nous rend plus attentifs à ce que l'on rate et vous donne le faux sentiment de participer à ce que font les autres par leur intermédiaire, estime Caterina. Nombril mon beau nombril  A partir de cet exemple de saturation numérique, de trop plein, trop vite, partout, tout le temps, l’analyse de ce “ burn-out ” est intéressante à plus d’un titre : elle permet de comprendre les mécanismes de dépendance aux réseaux sociaux. Et par là même, de mieux saisir comment s’adresser à ces millions d’accrocs du “j’aime” sur Facebook et du “retweet” sur Twitter que cherchent à capter les collectivités territoriales qui se sont lancées avec plus ou moins de succès dans l’aventure du web social.

Exister aux yeux du plus grand nombre Frénésie de l’accès et du partage de l’information, déconnexion progressive de son entourage réel… Derrière ce phénomène un constat : les réseaux sociaux ne sont qu’un prétexte pour avoir le droit à ses “15 minutes de célébrité mondiale” que prévoyait en 1968 Andy Warhol pour chacun. “ .” déclare le psychologue Benjamin Stora dans le magazine Marianne. Comment la numérisation tue l’envie » ©karindalziel via Flickr Notre société est de plus en plus dématérialisée.

Comment la numérisation tue l’envie »

Les technologies de l’information et la numérisation des données rendent impalpables les produits culturels et médiatiques. Ceci favorise leur diffusion, mais atténue leur valeur. Analyse d'un JT sur France 2. Video «Comment internet m'a rendu malade» - société, solidarite, multimedia.