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Mémoire et traçabilité numérique. Les médias sociaux comme composante de son identité numérique, par Christophe Ramel. Christophe Ramel prend en charge toute la dimension communautaire de l’agence interactive acti et propose des conseils, outils et sujets d’actualité liés aux réseaux sociaux depuis 2009 sur Kriisiis.fr.

Véritable passionné du web communautaire, vous le trouverez sous le pseudonyme @Kriisiis sur la toile. Pour cette semaine spéciale Identité numérique, il revient sur l’importance des médias sociaux dans sa présence en ligne. Ce billet avait été initialement publié en 2010 avant d’être réadapté. Introduction : les réseaux sociaux, danger ou réelle opportunité ? L’essor récent des réseaux sociaux provoque indéniablement un certain chamboulement dans l’exploitation du Web, d’un point de vue aussi bien personnel que professionnel.

Une grande vigilance est indispensable La multiplication des réseaux sociaux et de nos présences sur ces réseaux implique qu’il est bien plus facile d’obtenir de nombreuses informations sur le Web à notre sujet. Un potentiel très intéressant… et ce de plus en plus. Oublier l'oubli : mémoire et traçabilité numérique. Cycle de conférences PACA-Marseille "L'Internet change-t-il le temps ? ", 31 mars 2011 Une conférence de Louise Merzeau, organisée par l'ADBS Paca, en partenariat avec l'Alcazar BMVR de Marseille, dans le cadre du cycle de conférences "L'Internet change-t-il le temps ? ". Connexions, navigations, consultations, évaluations, relations : dans l'environnement numérique, tous nos agissements déposent une trace, souvent à notre insu. Moins que des signes, mais beaucoup plus que des données insignifiantes, ces traces n'affectent pas seulement les contours de notre présence individuelle.

Louise Merzeau est maître de conférences en sciences de l'information et de la communication à l'université Paris Ouest Nanterre La Défense, et membre du CRIS. Ses recherches portent sur les rapports entre mémoire et information en fonction des environnements techniques et médiatiques (photo, TV, Web...). De Beaumarchais à Internet : de la calomnie à l'e-réputation négative. La calomnie et la désinformation ne sont pas choses nouvelles en ce monde. Dans le cadre de ce dossier spécial, nous nous penchons sur cette ancienneté du phénomène : De Beaumarchais à Internet : de la calomnie à la e-réputation négative qui tente de poser quelques jalons historiques, remontant au cheval de Troie, toute première opération de désinformation, et passant par l'émergence de l'e-réputation sur les réseaux télématiques des années 1980.

"La calomnie, Monsieur ? Vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j'ai vu les plus honnêtes gens près d'en être accablés. Croyez qu'il n'y a pas de plate méchanceté, pas d'horreurs, pas de conte absurde, qu'on ne fasse adopter aux oisifs d'une grande ville, en s'y prenant bien ; et nous avons ici des gens d'une adresse !... D'abord un bruit léger, rasant le sol comme hirondelle avant l'orage, pianissimo murmure et file, et sème en courant le trait empoisonné. Aperçu de la calomnie E-réputation sur Télétel Un phénomène inévitable Didier Frochot. #lift12 : Peut-on tuer son identité numérique sur les sites sociaux. Par Hubert Guillaud le 29/02/12 | 4 commentaires | 3,658 lectures | Impression A l’heure où la technologie façonne notre identité projetée, quelle maîtrise en avons-nous vraiment ? C’est la question que nous adressait brillamment Gordan Savicic sur la scène de la 7e édition de Lift 2012. “Facebook est une manifestation physique et moderne de l’architecture centralisée du Panopticon“, estime l’artiste numérique Gordan Savicic (@frescogamba).

“Facebook est un intermédiaire entre mes amis et moi, entre l’identité virtuelle de mes amis et la mienne. Nos amis n’en sont pas vraiment. Image : Gordan Savicic sur la scène de Lift, photographié par Ivo Näpflin pour LiftConference. Que se passe-t-il pourtant quand on essaye de supprimer cette identité ? Tuer son identité numérique pour en reprendre possession web 2.0 suicide machine promotion from moddr_ on Vimeo. Les développeurs de la Web 2.0 Suicide Machine ont même organisé des happenings et notamment une “nuit du suicide”.

Hubert Guillaud. Exploration de l’identité numérique avec des LEGO. Avant-propos : cet article a été rédigé par Jean-Baptiste Mac Luckie. Il porte sur une expérience menée sur le thème de l’identité numérique dans le cadre d’un Bachelor réalisé à l’Université de Glamorgan à Cardiff. N’hésitez pas à lui faire des retours en commentaires ou via son compte Twitter @jbmacluckie. Le concept d’identité numérique a été étudié sous différents angles, que ce soit d’un point de vue sémiologique, informationnel, info-communicationnel ou encore sociologique. Ce thème est devenu en l’espace de quelques temps une thématique discutée, débattue voire contestée et a fait l’objet de nombreux billets de blogs et publications scientifiques. Cette opportunité s’est présentée à moi sous un angle purement académique, puisque j’étudie ce concept dans le cadre de mon BA Media & Communications à l’Université de Glamorgan à Cardiff.

Pourquoi étudier l’identité numérique avec des Lego ? Le processus de construction du modèle identitaire : 3 étapes clés Les feedbacks sur le projet. Enquête : Google ou le contrôle de votre identité numérique. Préambule : cet article a été rédigé par Antoine Dupin, Consultant spécialiste des médias sociaux et auteur du livre « Communiquer sur les Réseaux Sociaux« . Il vit actuellement à Québec. Ce billet fait partie de notre Débat du mois sur l’identité numérique et l’importance de notre présence en ligne. Vous pouvez retrouver Antoine Dupin sur son site et sur Twitter @antoinedupin. Est-il encore nécessaire de présenter le réseau social Google+ tant il a suscité les passions et continue à alimenter les blogs au gré de ses améliorations ?

L’objectif affiché de l’entreprise est définie par Eric Schmidt dans un article de Forbes : « Google+ a été construit en premier comme un service d’identité en ligne». Depuis de nombreuses années, Google est le catalyseur de la réputation numérique des internautes, parfois à leur détriment. L’identification : un enjeux de taille tant dans la loi que pour Google Une autre initiative vient du gouvernement américain.

La sensibilisation au cœur du processus. Identité numérique : ce miroir déformant. Ronan Boussicaud est webmarketeur et Community Manager pour l’agence Useweb. Profondément attaché aux relations humaines, il blogue sur « La Psyché du web social« , un site faisant le pont entre la psychologie sociale et le web 2.0. Collaborateur pour le site My Community Manager, il y développe des analyses liées au Community Management et aux médias sociaux. Il partage sa veille qualitative et ses coups de cœur sur son compte Twitter @Rboussicaud.

Il intervient aujourd’hui dans le cadre de notre Débat du mois sur l’identité numérique. Merci à lui pour sa contribution ! Nous sommes à présent 7 milliards d’êtres humains sur notre chère planète Terre. Autant d’âmes qui cohabitent et qui espèrent exister socialement, laisser une trace. Comment en est-on arrivé à cette quête de l’image ? L’identité comme miroir Bien avant l’arrivée du média Internet, nous cherchions déjà à modeler notre image pour plaire au plus grand nombre. Mais l’e-réputation veille au grain… Un pour tous, tous pour un ? De l’identité à la présence numérique.

Quelles notions enseigner quand on enseigne l’identité numérique ? Comment faire pour, une fois le discours légitime des dangers d’Internet énoncé, aller au-delà et apprendre aux élèves à évoluer dans cet espace médiatique en exerçant une présence numérique assumée ? Comment conduire les élèves à l’acquisition d’une véritable culture informationnelle dont les objectifs sont de réussir à Réaliser, Réfléchir et Résister dans le contexte du numérique ? La lecture des travaux de Louise Merzeau[1] a été pour moi éclairante. Avec le numérique, l’un des bouleversements majeurs à prendre en compte dans notre enseignement est la mémoire de nos activités sur le web et leurs enjeux sociétaux. Cette mémoire est une mémoire totale au point de pouvoir parler de l’hypermnésie du web. En effet, le web est devenu un vaste entrepôt de données dont beaucoup sont des données personnelles. Pour exemple, avec la géolocalisation : Autre exemple, celui d’une recherche sur Google :

Marc L*** Mis en ligne le mercredi 7 janvier 2009 ; mis à jour le mardi 28 avril 2009. Bon annniversaire, Marc. Le 5 décembre 2008, tu fêteras tes vingt-neuf ans. Tu permets qu’on se tutoie, Marc ? Tu ne me connais pas, c’est vrai. J’ai eu un peu peur, au début, d’avoir un problème de source. Alors, Marc. Revenons à toi. On n’a pas parlé de musique. J’ai triché, une fois : pour avoir accès à ton profil Facebook (ce qui m’a bien aidé pour la suite), j’ai créé un faux profil et je t’ai proposé de devenir mon « ami ». Je pense à l’année 1998, il y a dix ans, quand tout le monde fantasmait déjà sur la puissance d’Internet. À la demande de l’intéressé, ce texte a été entièrement anonymisé et modifié (villes, prénoms, lieux, etc.) à la différence de la version parue dans Le Tigre en papier, dont seuls les noms propres des personnes citées étaient anonymisés.

Je suis Nutella, Aviva, Peugeot et Chanel, qui suis-je ? Je plussoie, je like, je Retweete, je me balade sur des forums, je clique de ci de là sur des pages de marques, je partage des contenus, je teste, je critique, j’encense… je suis un consommateur social… Pourtant, je pars, je te quitte. Tu ne m’intéresses plus réellement. En tout cas, de la façon dont tu existes aujourd’hui. Je suis un consommateur En veille constante, en quête de nouveautés, d’innovations, de nouveaux produits, d’infos décalées, à l’affût, je suis prêt à payer le prix fort pour acheter. Mais je ne pense pas qu’il soit nécessaire de me prendre pour une buse avec des faux avis, avec des coupons promotionnels ou des offres commerciales, je suis un consommateur, je suis informé. Donc, je ne suis pas plus dupe. Je suis devenu un autre type de consommateur. Dans mes linéaires on-line ou IRL, à quelques centimètres de mon produit, je suis connecté avec mon mobile et je me renseigne.

Je suis un partageur de contenus. Oh ! Je suis un recruteur Je suis un destructeur. Le « S.E.T » et la dualité identitaire des Réseaux Sociaux 1/3. Plus de 25 millions de profils Facebook en France, près de 900 millions dans le monde… et tous, nous y passons un temps de plus en plus conséquent en jonglant entre nos vies IRL et nos vies virtuelles qui de plus en plus se recoupent. Mais le décalage existe, à coup sûr entre ces deux sources d’identité synchronisées et diachroniques. Quid alors de la frontière entre IRL et virtuel ? Avec l’explosion des réseaux sociaux, quels qu’ils soient, nos habitudes de communication mais au-delà, de vie, changent et évoluent constamment. Ces habitudes naissent en un temps record, notre temps réel se mélange au temps virtuel en perpétuelle accélération… Nous nous soumettons à une double pression sociale, virtuelle et réelle.

Nous vivons dans un temps duel qui nous oblige à la connexion, au dialogue, à la conversation tout autant, encore une fois, réelle que virtuelle, les deux se confondant à l’envi. Gérer son nom comme une marque (to be continued) Lire la suite du Story-Ego-Telling.