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Social Media Analytics

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Les statistiques du bouton Google+1 maintenant disponibles en France. Mercredi 13 juillet Moteurs de recherche - 13 juillet 2011 :: 07:27 :: Par Eric Nous avions parlé de l’implantation des statistiques d’interaction liée au bouton Google+1 dans les outils pour webmaster Google et dans Google Analytics. Google France annonce aujourd’hui sur son blog officiel Google Adsense, l’arrivée de ces fonctionnalités pour les sites français. Un billet en forme de rappel pour ceux que cela intéresse : nous avions parlé de l’implantation des statistiques d’interaction liée au bouton Google+1 dans les outils pour webmaster Google et dans Google Analytics. Google France annonce aujourd’hui sur son blog officiel Google Adsense , l’arrivée de ces fonctionnalités pour les sites français. Voilà. Fondateur et rédacteur en chef de Presse-citron, Éric est blogueur, éditeur de contenus numériques. Tags: analytics , Google , Google+1. Social marketing analytics.

3 approches différentes des social media analytics. J’ai déjà eu l’occasion de vous parler de social scoring et des indicateurs-clés des médias sociaux que l’IAB tente de standardiser. Hasard du calendrier, ce ne sont pas deux mais trois approches différentes qui viennent d’être proposées ces derniers jours. Du très quantitatif au très qualitatif, la diversité de ces approches nous permet d’y voir un peu plus clair dans cette pratique encore méconnue. Tiens d’ailleurs, puisque j’y suis, voici comment je pourrais définir les social media analytics : “La mesure, la collecte et l’analyse de données d’usages et de comportements des internautes au sein des médias sociaux dans le but d’optimiser une stratégie ou une présence”.

Cette discipline repose sur des outils, des indicateurs-clés et des méthodes d’analyse. Les pratiques de social media analytics sont assez proches de celles employées pour les web analytics mais moins focalisées sur les chiffres (quoi que, ça dépend des vendeurs). Approche Altimeter : Beaucoup de chiffres et d’outils. Le succès d’une communauté ne se juge pas à sa taille mais à son dynamisme. Dans mes missions de conseil autour des stratégies communautaires, l’une des questions qui revient souvent est à partir de combien de membres peut-on estimer que la plateforme ou le dispositif est un succès. Ma réponse est que la taille ne fait pas tout et qu’il est plus important de voir le dynamisme de la communauté.

“Voir seulement le nombre de fans revient à seulement s’intéresser aux visiteurs uniques pour un site” En effet, ne s’intéresser qu’au nombre de membres d’un site ou nombre de fans d’une fan page Facebook revient à transposer la notion de visiteurs uniques pour un mini-site événementiel aux médias sociaux. Certains, dans ce sens, utilisent des tactiques douteuses pour augmenter artificiellement le nombre de fans (obligation de cliquer sur “J’aime” sur Facebook pour voir un contenu, ou alors obligation de s’inscrire à un site pour voir quel est l’objet de ce dernier). On ne privilégie pas la relation durable en “forçant” l’inscription… La pyramide de la participation. L’IAB standardise les indicateurs-clés des médias sociaux. Depuis le temps que l’on en parle, l’IAB se décide enfin à publier un document officiel sur les indicateurs-clés spécifiques aux médias sociaux (blogs, widgets et applications sociales) : Social Media Ad Metrics.

Cette publication est une très bonne nouvelle, même si elle me laisse un peu sur ma faim, il n’y a en effet aucune référence au microblogging, aux social games ou même aux services mobiles (mais c’est tout de même un très bon début). L’IAB nous donne ainsi sa définition des médias sociaux : Les services et fonctionnalités qui facilitent le partage et favorise les conversations. Une définition intéressante car il y ai fait référence aux fonctionnalités et pas seulement aux services. Un portail d’information “traditionnel” se dotant ainsi d’une couche sociale rentrerait ainsi dans la catégorie “média social”.

Poursuivons l’étude de ce document avec les définitions suivantes : Rien à redire, ces définitions sont concises et justes. Ma sélection d’indicateurs généralistes : Social Marketing Analytics. Mesure et analyse de l'influence des médias sociaux. 35 social media KPIs to help measure engagement. Social media measurement is something that I think should be undertaken with a sense of perspective, by standing back and looking at the big picture. A widescreen approach to social media measurement ultimately looks at the things that really matter: sales, profits, customer satisfaction and loyalty. Besides, honing in on the detail might not be the best use of your time, given the obvious difficulties that arise, particularly with attribution.

But standing back and looking at the bigger picture is not going to be enough for your data-mad boss, is it? It’s a bit too soft focus, right? He or she is going to want to see proof that all this social optimisation is actually working. If that’s the case, then don’t worry: there are lots of things you can measure... It’s all about engagement When we talk about social optimisation (a term I prefer to 'social media') we're really talking about driving engagement and interaction.

Here’s what you want to happen: You want people to make a noise. Caveats! Social scoring. Le scoring est un élément clé du marketing (en et hors ligne), ce score est en effet un outil très efficace pour cibler une campagne en limitant le nombre de cibles (à celles qui ont un score minimum). Ceci permet d’améliorer mécaniquement le ROI (moins d’envoi = meilleur taux de réponse). Oui mais voilà, ce qui est valable (mesurable) sur les médias traditionnels ne l’est plus sur les médias sociaux.

D’une part car les prescripteurs sont difficilement identifiables et d’autres part car de nombreux paramètres rentrent dans l’équation. Avec l’avènement des médias sociaux le besoin de disposer d’outils de mesure fiables se fait de plus en plus ressentir à mesure que les initiatives gagnent en ampleur (plusieurs pays, une multitude de supports…). Voilà pourquoi calculer le scoring des utilisateurs des médias sociaux est un casse-tête sur lequel les spécialistes planchent depuis de nombreux mois.

À la recherche du Saint Graal Et le Page Rank ? Bref, le Page Rank n’est pas la solution. Razorfish expérimente un nouveau social score, le SIM. Razorfish vient de publier un nouveau livret blanc sur le social marketing (Fluent) où il est question d’une nouvelle variante de social scoring (le “Social Influence Marketing Score“, SIM) : Fluent, the Social Influence Marketing Report. La première partie de ce livret blanc est plutôt banale (toujours les mêmes chiffres et réflexions sur les “nouveaux” consommateurs devenus hermétiques aux publicités traditionnelles et qui s’informe sur les médias sociaux) et présente une énième définition des “nouveaux influenceurs” : Trois types d’influenceurs sont présentés ici : Les influenceurs-clés qui sont reconnus par la communauté comme des experts au travers de leurs blogs / tweets ;Les influenceurs sociaux qui s’expriment au travers de leur social graph (Facebook…) ;Les influenceurs connus qui sont dans le cercle privé d’un acheteur potentiel (famille, ami proche…) et qui sont le plus à même de participer à une décision d’achat.

Voici un exemple avec le calcul du SIM Score de General Motors : Internet progresse dans la vie des Européens. Internet joue un rôle de plus important dans la vie des Européens, selon le dernier baromètre du paysage médiatique européen de l'EIAA (European Internet Advertising Agency), mené auprès de 521 millions d'Européen de plus de 16 ans dans 15 pays (Royaume-Uni, Allemagne, France, Italie, Espagne, Belgique, Pays-Bas, Danemark, Norvège, Suède, Pologne, Portugal, Suisse et Russie).

Selon celle-ci : La valeur du média Internet est désormais égale à celle de la télévision : 33% des Européens ne peuvent pas vivre sans Internet, soit autant qui disent ne pas pouvoir faire sans petit écran. 54% des Européens utilisent Internet au cours d'une semaine ordinaire, lui consacrant environ 12,1 heures par semaine. L'usage reste devancé par la consommation de médias traditionnels (l'EIAA précise "hors consommation par Internet) : 94% des sondé sregardent la télévision chaque semaine, 65% lisent un quotidien et 64% écoutent la radio. .

[via Warc][voir l'étude complète .pdf] Profils des utilisateurs de médias sociaux par pays et par catég. Les français sur les médias sociaux en 2010 | E-Réputation. Le baromètre Echo vient de publier une étude sur les français et leurs usages sur les médias sociaux en 2010 ! Retrouvez l’étude Echo et ses conclusions sur les français et leurs usages des médias sociaux en 2010 : Des internautes français toujours plus connectés en 2010 Les internautes se connectent de plus en plus, notamment de chez eux.

S’ils se connectent pour un usage personnel, la population de l’étude Echo se segmente ainsi : 48% ont un usage quotidien du web et 43% sont « accrocs » au web. 60% de ces internautes assidus passent plus de 12h sur internet par semaine. Ils utilisent plusieurs canaux d’accès à internet : 24% des internautes « accros » accèdent au web via smartphone. Que font les internautes français sur internet en 2010 ? Ils se connectent pour s’informer (72%), communiquer (72%) et se divertir (43%) !

49% des internautes utilisent internet pour acheter en ligne et 34% l’utilisent pour se renseigner avant d’acheter en point de vente traditionnel. Ecrit par Lionel Damm . Plus de 20 millions d’inscrits : le succès continue pour les sites communautaires. Le R.O.I. des médias sociaux n'est pas [que] là où vous croyez.