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L'économie monastique, une alternative au modèle capitaliste. Vous avez commencé ce travail de recherche après votre retraite. Comment ce projet est-il né ? J’ai exercé des fonctions d’ingénieur de chef d’entreprise. À la retraite, je me suis intéressé en même temps aux questions d’œcuménisme, d’économie sociale et de commerce équitable.

Cela m’a conduit à entreprendre des études de théologie et, en raison de mon expérience professionnelle, j’ai été appelé à diriger un master de développement durable à la Catho de Paris. Comme j’avais également des liens avec le milieu monastique, ce sujet m’a permis d’associer tous mes centres d’intérêt. Elena Lasida était intéressée par mes thématiques de recherche et elle a accepté de diriger cette thèse, qui est aussi un regard critique sur quarante ans de ma vie. Pourquoi vous avez-vous limité votre étude aux monastères suivant la règle de saint Benoît ? L’approche de la vie et la relation aux biens matériels sont très différentes entre les ordres inspirés par la règle de saint Benoît et les ordres mendiants.

Le capitalisme va-t-il mourir ? Mercredi 22 janvier, Usbek & Rica organisait à la Gaîté lyrique son 10e Tribunal pour les Générations Futures. Un débat en forme de procès, qui a permis de décider du sort qu’il convient de réserver au capitalisme. « Le capitalisme a beau avoir traversé, ces dernières années, la plus grave crise de son histoire, il semble ne s’être jamais aussi bien porté qu’aujourd’hui. Né avec le progrès, il prospère avec la révolution numérique« . C’est sur ce constat que Blaise Mao, le président du tribunal, ouvre la séance, dans une salle pleine à craquer. Quelques minutes plus tôt, cinq jurés tirés au sort dans le public ont rejoint sur scène la journaliste Anne-Sophie Novel, le médecin Axel Kahn et les économistes Paul Jorion et Christian Saint-Étienne. Dans une heure et demie, ce jury d’un soir devra rendre son verdict en répondant à la question : « Le capitalisme va-t-il mourir ?

« Le capitalisme aura-t-il la décence de mourir ? Ce soir, c’est Paul Jorion qui joue les procureurs. 21h15. How do we organise to create a new local economy? You are here: Home » News & Blogs » How do we organise to create a new local economy? One of the biggest challenges to human beings living sustainably on the planet is not so much about the technology or lack of resources- its more about how we can work together and organise ourselves to respond to the collective challenges we face.

So many of the challenges of today require us to work things out together to find a shared response- in groups, teams, organisations, communities, nations…. And that’s fine working in groups, teams or organisations- except that they are full of people! So many social change groups and organisations who try and do things like create a more sustainable, resilient and equitable local economic system come up against the challenges of working together.

But this is very often paid little attention, as people are so keen to just get on with it. It was Winston Churchill who said ‘”Democracy is the worst form of government, except for all the others”. Etats-Unis : le dernier investissement à la mode, c’est la mort. Etats-Unis : le dernier investissement à la mode, c’est la mort "Pour les banques, vous valez plus cher mort que vivant" . Leur nouveau terrain de jeu est l’assurance-vie : On l’achète à son titulaire pour pouvoir spéculer sur la date de son décès. "On sélectionne des personnes gravement malades et on attend leur mort pour empocher le pactole" . Un marché de 35 milliards de dollars, en pleine croissance. Rendement à deux chiffres ! ("Banquiers : ils avaient promis de changer", une enquête de Pièces à conviction diffusée ce soir sur France 3) A propos Olivier Demeulenaere Olivier Demeulenaere, 48 ans Journaliste économique et financier Macroéconomie Macrofinance Questions monétaires Matières premières Cette entrée, publiée dans Actualités , Economie , est taguée actualité , assurance-vie , banksters , banques , cupidité , Etats-Unis , finance , investissement , maladie , marchés financiers , mort , rendement , spéculation .

Comment la City fait semblant de "découvrir" le pillage des ressources de l'Afrique. What Isn’t for Sale? - Michael J. Sandel. Market thinking so permeates our lives that we barely notice it anymore. A leading philosopher sums up the hidden costs of a price-tag society. There are some things money can’t buy—but these days, not many. Almost everything is up for sale.

For example: • A prison-cell upgrade: $90 a night. In Santa Ana, California, and some other cities, nonviolent offenders can pay for a clean, quiet jail cell, without any non-paying prisoners to disturb them. • Access to the carpool lane while driving solo: $8. . • The services of an Indian surrogate mother: $8,000.

. • The right to shoot an endangered black rhino: $250,000. . • Your doctor’s cellphone number: $1,500 and up per year. . • The right to emit a metric ton of carbon dioxide into the atmosphere: $10.50. . • The right to immigrate to the United States: $500,000. Not everyone can afford to buy these things. . • Sell space on your forehead to display commercial advertising: $10,000. We live in a time when almost everything can be bought and sold. Institute for New Economic Thinking (INET)

UtopLib - Utopies libertaires. Le marché stable envers et contre tout. Sénat US Bernie Sanders - 06 déc 2010.mp4. Ouvrard, le financier de Napoléon, Série d été : Hommes et maisons d influence. L.I.E.S.I. BFM RADIO, LUNDI 13 DECEMBRE A 11h39 – LA MORT DE MARK MADOFF. Ce texte est un « article presslib’ » (*) Mark Madoff, le fils aîné de Bernard Madoff, était l’objet ces jours-ci de pressions considérables : d’une part l’enquête en vue de savoir qui parmi les proches du Charles Ponzi moderne était dans la combine, est entrée dans sa phase finale et ce n’est qu’une question de jours apparemment avant qu’Annette Bongiorno, l’assistante personnelle du maître déchu ne se mette à table, d’autre part, Irving Picard, le liquidateur de la société de Madoff, chargé de retrouver l’argent escroqué, avait mis le fils aîné sur sa liste des gagnants d’un jour à qui il ferait rendre gorge : famille, proches, clients qui se croyaient chanceux pour avoir touché des sommes rondelettes.

Picard voulait récupérer du seul Mark Madoff, 66,8 millions de dollars transformés en maisons luxueuses. Qui savait quoi parmi les proches de Madoff et parmi les VRP du fonds ? Mark Madoff aimait paraît-il répéter : « Comment un père peut-il faire cela à ses fils ? Comment profiter de la crise financière.