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Violence et antiféminisme

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Ne parlons pas de frustration sexuelle pour expliquer la violence des «Incels... Temps de lecture: 6 min Peu avant d’assassiner, en roulant en voiture sur un trottoir à soixante kilomètres par heure, dix personnes et d’en blesser quatorze, l’auteur de la plus grosse attaque à la voiture-bélier du Canada a posté un message sur Facebook annonçant que «la rébellion des Incels [avait] déjà commencé» et qu’il s’en allait «renverser tous les Chad et les Stacy». Les «Incels», ce sont les «involuntary celibates», ou «célibataires involontaires». Les Chad, ce sont les beaux mecs qui sont en couple, et les Stacy les femmes qui dédaignent les «Incels» et leur préfèrent les Chad, comme l’explique un article du Monde. L’homme légitime son acte par une frustration due à une situation injuste, laquelle se transforme en une détestation des femmes –et en appels au viol et au meurtre.

Pas de remise en question L’avocate Isabelle Steyer, qui intervient dans des groupes de parole d’auteurs de violences sexuées, ajoute que ces hommes sont dans «le déni de ces violences». Virilité mythique. What's the Difference Between a Frat and a Gang? - The Atlantic. When I thought about locking up with a crew in 1996, I wanted to see a full initiation first, not parts I stumbled upon over the years. My friend Cliff and I arrived at a park not close from my home in Jamaica, Queens. Leaves danced with the wind around our feet, wafting an eerie feeling in my 14-year-old black body. The grounds of the initiation beckoned: a high-rise chain link fence, enclosing two basketball courts. Through the daylighted chain, I watched scowls and punches and stomps engulf the uninitiated teen—a stoppage, then an awkward transition into hugs, handshakes, and smiles.

The striking contrast shot at my core of authenticity, the insincerity of the punch-hug, of the stomp-smile, murdering my thoughts of joining a crew. The same feeling shot within me five years later in 2001 when I thought about joining a college fraternity. The rumors of beatings and sexual assaults overwhelmed me like the worn-down bodies of pledges inching around campus unclothed in hazing. Discuter du contenu haineux dans les médias avec vos enfants - Fiche-conseil. En plus de les aider à se sentir en sécurité, il est important de discuter de la haine avec les enfants dès un jeune âge puisque les jeunes – en particulier les garçons de 12 à 17 ans – sont les plus susceptibles de commettre des crimes haineux dans leurs communautés.

Les groupes haineux organisés le savent et ils tentent délibérément de radicaliser les jeunes autant en ligne qu’hors ligne. Les adolescents et les jeunes adultes sont une cible de choix pour les groupes haineux parce que plusieurs d’entre eux cherchent un groupe ou une cause qui leur donnera un sentiment d’identité. Voici quelques conseils pour discuter d’un incident haineux aux nouvelles avec les enfants : Discutez-en. Soyez attentifs aux signes d’anxiété chez les enfants. Prenez le temps de les écouter et de répondre à leurs questions. Dites-leur ce que vous ressentez. Insistez sur l’importance de la tolérance et du respect. Apprenez aux enfants d’être sceptiques des sources d’information en ligne. Guys, Here’s What It’s Actually Like To Be A Woman. You have no fucking idea what you’re doing. Not when it comes to sex and dating and women, anyway. Don’t beat yourself up about it though, because it’s not your fault.

Your culture has failed you and the women you’re trying to meet. We have been working with young single men in our capacities as educators, public figures, and authors for more than thirty years. In that time, the most common question we’ve gotten from guys centers around how to increase their confidence with women. But there’s a much deeper problem: At least 70 percent of their questions reveal a total failure to understand the woman’s point of view. Why does this matter? The differences start from the very beginning, at our deepest primal levels.

When a man interacts with a woman, his greatest fear is sexual rejection and humiliation. Women are totally different. And we bet you’re right. But SHE doesn’t know that: when she meets you, you could be Jack Ryan, Jack Sparrow, or Jack the Ripper. Being A Girl: A Brief Personal History of Violence. I am six. My babysitter’s son, who is five but a whole head taller than me, likes to show me his penis. He does it when his mother isn’t looking. One time when I tell him not to, he holds me down and puts penis on my arm. I bite his shoulder, hard. He starts crying, pulls up his pants and runs upstairs to tell his mother that I bit him. I’m too embarrassed to tell anyone about the penis part, so they all just think I bit him for no reason. I get in trouble first at the babysitter’s house, then later at home. The next time the babysitter’s son tries to show me his penis, I don’t fight back because I don’t want to get in trouble. One day I tell the babysitter what her son does, she tells me that he’s just a little boy, he doesn’t know any better.

One day when we’re playing in the backyard he tells me very seriously that he might kill me one day and I believe him. Every time Monsieur Pierre walks by, we are supposed to chorus “Bonjour, Monsieur Sexiste.” “Girls can play hockey. Passion.

Prévention de la violence

Harcèlement de rue. Agressions sexuelles. Meurtres de masse. Violence conjugale. Nice guys - Friendzone. Mansplaining. Slutshaming. Bullying - Violence à l'école. Antiféminisme. Attaques sexistes sur Internet. Culture du viol. Kitestring App - Safety Apps. It reads like a Law & Order: SVU episode, but it's true: A year ago, a friend of mine left her two roommates at a bar to walk the three blocks home to their apartment in a yuppie Boston neighborhood. She wanted decent sleep before a Saturday morning exercise class; her friends wanted late night food. Instead, she was jumped by a stranger on the curb of her apartment building, brutally raped, and beaten in her living room while her roommates ate burritos, none the wiser.

My friend is okay now—well, as much as possible—but I know she often replays those events, wondering if she should've just stayed out with her friends and slept through the gym class. If she'd done something, anything, differently, would it have changed the outcome of her night? It's an unproductive exercise, both she and I know.

And yet when I heard about Kitestring, she was the first thought that flashed in my mind, because maybe Kitestring would have helped her, had it existed then. Quelque chose rose – Essais de néantologie appliquée – Marie-Christine Lemieux-Couture. 27 novembre 2013 21h42 · Marie-Christine Lemieux-Couture À Philippe Mangerel Quand nous étions à la maîtrise, Philou et moi, nous avions pris l’étrange habitude — pendant un bon moment d’ailleurs —, de finir nos conversations par « sex is politics », déformation du fameux slogan « The private is political » utilisé par le mouvement étudiant et la seconde vague féministe de la fin des années 60. Ça semblait tout conclure. À l’époque, le féminisme et les gender studies ne m’intéressaient pas tellement.

J’ai grandi à une époque où il est plus ou moins de bon ton de se dire féministe. Philou m’a bien fait lire Dustan et Guibert, Foucault et Butler. . « Sex is politics », donc. La première violence envers les femmes est d’ordre symbolique. Lorsqu’on parle d’une « féminisation » de la société, de l’éducation ou des hommes, par exemple, le terme est toujours péjoratif. Cette violence symbolique structure et façonne l’inconscient.

Parce qu’après tout « sex is politics ». Appel à l’action et aux dons : 12 jours d’action pour l’élimination de la violence envers les femmes. CAMPAGNE 2013 – du 25 au 30 novembre 2013 « Les femmes sont encore victimes de violence parce qu’elles sont des femmes. Nier les INÉGALITÉS met les femmes en danger ». Depuis plusieurs années, des discours remettent en cause la spécificité de la violence envers les femmes : elles seraient aussi violentes que les hommes, qu’il s’agisse de violence physique, psychologique, verbale, économique et, même, sexuelle. C’est FAUX. On nie les inégalités, on allègue que l’égalité est atteinte entre les femmes et les hommes, on accuse les féministes d’exagérer le grave problème de violence envers les femmes. La violence sous toutes ses formes est banalisée.

Pourtant… Dans les cas déclarés à la police, plus de 80% des victimes d’agression sexuelle sont de sexe féminin et 98% des agresseurs sont de sexe masculin.Dans le Québec de 2011, les données policières montrent que les femmes forment 81% des victimes totales de violence conjugale et la majorité pour chaque catégorie d’infractions : Microaggressions : Power, privilege and everyday life. La violence des policiers contre des femmes | C.O.B.P.