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Marque Loire-Atlantique

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Quand les territoires deviennent des marques ? > Mercredi 25 septembre 2013 à Paris Depuis longtemps déjà, les collectivités sont attachées à promouvoir leur territoire pour favoriser leur développement. Agences de développement, agglomérations, régions y investissent parfois des budgets de communication importants pour des résultats parfois discutables. [...] Aujourd’hui, avec une concurrence urbaine devenue intense et mondiale, pour attirer investisseurs, entreprises, commerces, talents, mais également résidents ou visiteurs, les villes s’attachent à développer et soigner leur image de marque. Il s’agit de rassembler et de créer un sentiment d’unité locale et de renvoyer une identité collective puissante face à l’extérieur. Les villes créent des marques et les considèrent comme de nouveaux actifs.

A l’instar de Lyon (OnlyLyon), d’Angers (Angers Loire Valley), de Saint - Nazaire Agglomération (Audacity), des néologismes internationaux sont créés. Contacts. Créer une marque de territoire : entre l’adhésion et le rejet de la population. « Construire une stratégie de marque pour un territoire » . Lors de la conférence Cap’Com sur la communication publique et territoriale, un débat s’est ouvert : quel est l’intérêt de créer une marque pour un territoire ? Au delà de ce débat, ne s’agit t-il pas de faire adhérer la population à l’image de marque voulue par le territoire ? La marque territoire, véritable atout ou dépense mal perçue en temps de crise pour la collectivité ? Revenons sur ce qu’est la marque , « un signe distinctif qui permet au consommateur de distinguer le produit ou service d’une entreprise de ceux proposés par les entreprises concurrentes ». On parle donc d’une image de marque (la façon dont celle-ci est perçue par les consommateurs) et d’une identité de marque (la résultante dans l’esprit des consommateurs de l’ensemble des caractéristiques de la marque).

La marque territoriale sert aussi à rapprocher les citoyens de ses institutions… Le sujet est pour le moins dans l’air du temps. Autre exemple : Riv. Lyon, champion du marketing territorial. Le 6 mai 2006, à Chicago, Gérard Collomb, maire de Lyon, s'est demandé si sa ville n'allait pas dans le mur. Au salon américain des biotechnologies, tout le gratin institutionnel et entrepreneurial lyonnais était là ; dans le plus grand désordre, chacun avec sa bannière, sous son sigle abscons, avec son nom, ses propres chiffres et sa stratégie de développement à l'international personnelle. Une forêt de logos totalement illisibles. En janvier 2007, Lyon mettait fin au fouillis contre­productif et lançait sa marque, « OnlyLyon ». La première stratégie de citybran-ding et la première grande marque territoriale françaises étaient nées. « Il était temps, commente Lionel Flasseur, le directeur du programme. À l'époque germaient les premiers classements d'attractivité des villes et on voyait que Lyon commençait à perdre un peu de terrain.

Lyon pense et agit global D'entrée de jeu, cette ville bourgeoise, secrète et fermée, s'est donc placée « dans la cour des grands ». Marketing territorial : révéler et aimer ce que nous sommes. Faisant souvent feu de tous bois – à l’instar des journées, la vie étant tellement courte – je profitais il y a peu d’un exposé de mes étudiants en développement territorial pour réfléchir à mon prochain billet. Fort à propos, me vint alors en les écoutant un commencement d’idée que je vais exploiter ici et maintenant. Cela concerne, vous l’aviez pressenti, le marketing territorial, tellement à la mode ces temps-ci. Ce qui, l’air de rien, ne cesse de me réconforter quand je repense aux regards vides, au mieux étonnés, qui m’entouraient quand j’évoquais ce sujet dans les années 2002/2003 … il y a un siècle presque.

Ainsi, si ce nouveau champ d’action a désormais droit de Cité, malgré quelques excès et bien que d’aucun estiment que le simple fait de relooker un logo soit un acte de marketing, ses frontières sont parfois floues. Surtout, il n’est pas toujours aisé de bien faire comprendre ses liens comme ses différences avec le marketing commercial, son aîné. Carte des marques territoriales. Marques territoriales – ou seulement « nouveaux logos » -, la carte de France des territoires se redessine régulièrement. Elle commence aussi, depuis les municipales de 2014 à compter ses premiers décès. Voici son aspect au 7 novembre 2015. Elle sera mise à jour en quasi temps réel (j’espère) ! Accéder au Guide de lecture du blog. Directeur de communication publique (Mairie d'Issy-les-Moulineaux, mairie de Saint-Etienne, Communauté d'agglomération Caen la mer), marketing territorial (Saint-Etienne Métropole), chargé de cours en stratégie de communication publique, en territorialisation de la communication et en marketing territorial (Ecole de Management de Normandie, Caen / UCO, Angers / IMPGT Aix), auteur chez Territorial ("Construire la communication intercommunale" et participation au classeur "Le Dircom"), webéditorialiste sur cap-com.org.

Signaler un abus. Communication et marketing territorial. Oh la L.A. c'est quoi. OH LA L.A. et Made in L.A : double-démarque sur la Loire-Atlantique ! Catégories : France, Inside Décidément la Loire-Atlantique ne cesse de multiplier les initiatives innovantes en 2012 ! Le mois d’avril a commencé avec l’annonce de l’ouverture des données publiques du département, accompagné du lancement d’un portail open data dédié. La semaine dernière, sa préfecture, la ville de Nantes s’est quant à elle lancée dans une véritable opération de séduction à travers la France, dans le cadre de l’opération culturelle Le Voyage à Nantes. Nous avons voulu aussi relever les deux initiatives originales du département de la Loire-Atlantique en terme de marketing territorial.

Oh LA L.A : la Loire-Atlantique, une destination étonnante Oh là là : c’est le cri de joie et d’enthousiasme que poussent les touristes à leur arrivée en Loire-Atlantique, très agréablement surpris par la diversité des paysages du département. La Loire-Atlantique : entre déficit identitaire et nécessité de différentiation La marque OH LA L.A. ! Made in L.A : 44 produits bien de chez nous… ''OH LA L.A.'' La nouvelle marque du tourisme de la Loire-Atlantique. Loire Atlantique— Conférence de presse du 1er avril 2009 à la Maison de la Bretagne à Paris Nos 9 photos : Un condensé d'étonnement et d'enthousiasme pour le tourisme en Loire-Atlantique Née dans le cadre du Plan d'Actions Touristiques du Comité Départemental du Tourisme de Loire-Atlantique, cette marque a pour objectif de développer la notoriété de la destination et à générer de l'activité économique.

Aussi pour être visible, elle se devait d'être volontairement en rupture avec les codes traditionnels de la communication du secteur touristique. La Loire-Atlantique, étonnante par sa diversité, est vécue comme « une bonne surprise » par les visiteurs qui découvrent la multiplicité des activités, des paysages… OH LA LOIRE ATLANTIQUE ! Les choix graphiques de la marque signature renforcent ces idées : les couleurs sont vives, la typographie est ronde tout en exprimant l'impulsion. OH LA L.A. ! Image et notoriété par les non-résidents : Image et notoriété par les prescripteurs: Le City Branding : peut-on tout vendre, même une ville ?

Montpellier repense son marketing. Historique et démarche. Qui ? La démarche a débuté en décembre 2008 à l’initiative du Conseil régional, de Bretagne Développement Innovation et du Comité régional du tourisme en raison d’enjeux communs liés aux problématiques d’attractivité du territoire. L’objectif ? Définir une stratégie de marketing territorial globale qui intègre toutes les dimensions, économiques, touristiques, culturelles ou institutionnelles.

La Bretagne a été l'une des premières régions à s’engager dans cette voie. Comment ? De décembre 2008 à juillet 2009, une vaste étude sur l’identité de la Bretagne a été menée par le cabinet CoManaging à laquelle tous les Bretons ont été invités à participer. L’objectif était d’analyser en profondeur la personnalité de la Bretagne et de définir les traits de caractère qui la différencient des autres régions. Lien vers le portrait de la Bretagne La démarche est issue de deux grandes études en amont : Chiffres clés Une méthodologie, très participative : La création d’une marque Bretagne partagée. Marque : du déni à l'abondance.