Document 4 : C’est l’été, la saison préférée des Français pour manger des fruits et légumes frais, froids et rafraîchissants ! Rien de nouveau sous le soleil ?
Si, dans les assiettes ! Ainsi, pour 74% des Français, l’été est la saison durant laquelle ils consomment la plus grande quantité de fruits, contre 19% au printemps, 6% en hiver, et seulement 1% à l’automne. Même tendance concernant les légumes : 39% des Français déclarent en consommer davantage en été, 30% au printemps, 26% en hiver, 5% en automne. Sans doute en raison des fortes chaleurs, les Français veulent manger des fruits frais qu’ils aiment croquer à pleines dents (à 87%), ou déguster en salade (à 39%). Côté légumes, c’est aussi la consommation crue (en salade ou en crudités) qui est de loin la plus appréciée pendant l’été (à 86%), devant la cuisson à la vapeur (44%), au wok (34%) ou en tarte (25%). Concernant la pomme de terre, là aussi, l’envie de fraîcheur se fait ressentir.
De tous les « légumes » d’été, c’est la tomate qu’ils préfèrent ! Fruits : volume vendu France 2008-2018. Document 3 : Combien dépensez-vous en fruits et légumes chaque mois ? Document : 5 : Fruits et légumes : les consommateurs... Document 6 L'identification du marché. 1.1 Définition et périmètre d'étude Les fruits et légumes « bio » sont issus de l’agriculture biologique : la production est naturelle, n’utilisant aucun produit chimique de synthèse tels que les pesticides, les herbicides, les fertilisants artificiels ou les hormones de croissance.
Les fruits et légumes biologiques constituent le segment le plus important et le plus dynamique du marché mondial des aliments biologiques (qui est également composé de boissons, de biscuits ou encore de viandes et autres condiments). Docmuent 7 : Parts de marché : Carrefour confirme son leadership sur le bio. Les efforts payent.
Déjà bien placé sur le marché du bio, Carrefour récolte le fruit de sa démarche volontariste portée dans son projet Act for Food. Le groupe cumule plus de 21 % de part de marché en hypers et supers sur les ventes de produits AB selon les chiffres de Nielsen arrêtés à début 2020. Le distributeur devance Leclerc d’un point et de huit points le troisième occupant du podium, Intermarché. Le groupe d’Alexandre Bompard progresse sur tous les circuits et particulièrement en hypers. Il explique sa réussite par le développement de l’offre, l’établissement de filières et l’installation de corners bio XXL. Document 8 : stratégie pour attirer à nouveau les clients dans ses plus grandes surfaces. Temps de lecture : 5 minutes L’enseigne de la grande distribution, en plein plan de relance depuis deux ans, l’annonce en cette rentrée de septembre : il ne renoncera pas au modèle du très grand magasin, l’hypermarché, et croit même que ce modèle peut de nouveau séduire les consommateurs à condition d’évoluer.
Le distributeur dévoile donc, en ce début septembre 2019, son plan en trois volets pour relancer ce format, et donc, en conséquence, l’emploi sur les sites concernés : une stratégie qui tient en 3 idées : penser différemment la notion d’espace, proposer de nouveaux services, axer l’offre sur le bio et le local. C’était la clé du succès des hypermarchés au début du phénomène de la grande consommation de masse, à la fin des fifties et au début des sixties : les hypermarchés et leur. Document 9: CA de E.Leclerc. E.Leclerc est une coopérative de commerçants et une enseigne de grande distribution à prédominance alimentaire d'origine française.
À partir du premier magasin ouvert par Édouard Leclerc en 1949, elle regroupe aujourd'hui des magasins indépendants. L'organisation emploie environ 125 000 personnes[1]. En 2014, 18,3 millions de ménages ont fréquenté au moins une fois l’enseigne E.Leclerc (419 000 ménages de plus qu’en 2008)[4]. Histoire[modifier | modifier le code] Document 10 : part de mart et stratégie commerciale d'E.Leclerc. Une croissance saine, un positionnement clair, largement plébiscité par les consommateurs En 2019, plus de 350.000 clients3 ont rejoint les 18 millions de foyers4 qui fréquentent chaque année un centre E.Leclerc.
Cette attractivité s'explique à la fois par une large diversification de son offre, et une mobilisation en investissement, en emploi et en formation. Des hypermarchés toujours performants Contrairement à leurs concurrents intégrés, les hypermarchés restent bien un atout dans le développement de l'enseigne E.Leclerc avec 54,8 %5 de contribution à la croissance. Les magasins physiques demeurent donc le fer de lance des canaux de vente d'E.Leclerc et leur chiffre d'affaires progresse de +2,2 % en 2019. Avec une offre supérieure à la moyenne des concurrents, en alimentaire comme en non-alimentaire, E.Leclerc a approfondi ses gammes. Les 721 magasins E.Leclerc ont su résister aux pressions politiques et professionnelles cherchant à leur faire relever les prix.
"Amazon, même pas peur ! " Document 11 : panier moyen. Document 12 : part de marché. +1,7 point de part de marché valeur pour Intermarché et Netto.
De mémoire de panéliste jamais une enseigne/groupe n’avait autant progressé sur une période de 4 semaines en France. Mais à période exceptionnelle progression exceptionnelle. Document 13 : Intermarché, la stratégie. Aller au contenu Facebook Twitter Linkedin Menu Contactez-nous Grande distribution : Intermarché, la stratégie qui revisite le secteur Julia Robillard Accueil » Stratégie Business » Grande distribution : Intermarché, la stratégie qui revisite le secteur Partager sur facebook Facebook Partager sur twitter Twitter Partager sur linkedin.