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Étude 2016 de l’usage du smartphone en France. Dis-moi comment tu tiens ton smartphone, je te dirais qui tu es. Smartphone Street Observer est la troisième édition d’une étude déjà menée en 2014 et en 2015 par le laboratoire Personae User Lab d'Intuiti. Contrairement aux opus précédents, l’édition 2016 intègre l’usage du smartphone dans les points et lieux de vente et apporte donc une dimension plus commerciale.

Cette enquête cherche à élaborer des profils et des typologies, mais s’intéresse aussi à la réalité des usages. Méthodologie Pour obtenir les résultats les plus complet possibles, l’enquête s’est déroulée sur 25 jours, dans 5 lieux différents (la rue, les parcs, les magasins Fnac et Eram, la gare, le bus) et sur 7 créneaux horaires. Le profil des utilisateurs Tout comme en 2015, une majorité des utilisateurs sont droitiers, de sexe féminin et se situent entre 15 et 24 ans. La typologie des smartphones En 2014, lors de l’enquête de terrain, 60% des personnes interrogées possédaient un smartphone entre 3,5 et 4 pouces.

Les usages. Après les Gafa, les nouveaux maîtres du monde sont les Natu. Les Gafa, c’est tellement 2014... Voici venir l’ère des Natu. Natu, c’est l’acronyme de l’été 2015 ; celui qui réunit les quatre grande entreprises emblématiques de la « disruption » numérique : Netflix, Airbnb, Tesla, et Uber. Les Gafa (Google, Apple, Facebook, Amazon) sont toujours bel et bien là, affichant une santé économique insolente et une surface financière plus importante que bien des Etats ; néanmoins ces entreprises font déjà figure de « vieilles » (pensez, Mark Zuckerberg va être papa...) face à l’émergence de la nouvelle génération des géants américains, qui surfent sur de nouveaux modèles. Cette mutation d’une vitesse spectaculaire du capitalisme à l’heure numérique affecte l’économie mondiale, la création et la destruction d’emplois à l’échelle planétaire, l’évolution de nos systèmes sociaux et du salariat ; ne pas chercher à comprendre le phénomène, qui n’a plus grand chose à voir avec la part d’idéalisme de l’économie du partage, condamnerait à le subir.

Absence de débat. Résister à l’uberisation du monde, par Evgeny Morozov (Le Monde diplomatique, septembre 2015) Voici près de dix ans que nous sommes otages de deux bouleversements. Le premier est le fait de Wall Street ; le second, de la Silicon Valley. L’un et l’autre se complètent à merveille dans le numéro du mauvais et du bon policier : Wall Street prône la pénurie et l’austérité ; la Silicon Valley exalte l’abondance et l’innovation. Premier bouleversement : la crise financière mondiale, qui s’est soldée par un sauvetage du système bancaire, a transformé l’Etat social en un champ de ruines. Le secteur public, ultime rempart contre les avancées de l’idéologie néolibérale, en est sorti mutilé, voire totalement anéanti. Le second bouleversement, à l’inverse, est plutôt bien vu. Mais il s’est produit cette chose étrange : nous en sommes venus à croire que le second bouleversement n’avait rien à voir avec le premier.

Taille de l’article complet : 2 841 mots. La neutralité du net. Le concept de neutralité du Net correspond à un principe qui, schématiquement, permet à tout le monde d'avoir accès au même Internet : pas de discrimination sur le réseau en fonction de l'émetteur, du récepteur ou de la nature des données transportées. Donc, en théorie, pas de priorité de transport pour certaines données ni de filtrage possible. Ce sont ces règles, interdisant de fait toute discrimination dans l’accès au réseau, que les Pays-Bas ont inscrites dans leur Constitution par le vote de la chambre basse en juin 2011 puis du Sénat néerlandais en mai 2012.

Mais qu’en est-il exactement de ce débat qui continue d’occuper aujourd’hui tous les acteurs du Net, des jeunes geeks de la cyberculture aux décideurs des instances de régulation ? Un débat né au milieu des années 2000 aux Etats-Unis Le terme «neutralité du Net» est véritablement entré dans l’arène médiatique en 2006. L’Europe adopte la neutralité du Net en décembre 2011 L’année 2009 est un tournant. Les 7 clés de l’économie collaborative. Le philosophe français Bernard Stiegler l’appelle l’économie contributive. Le prospectiviste américain Jeremy Rifkin l’a successivement désignée comme étant l’âge de l’accès, la troisième révolution industrielle et plus récemment la société du coût marginal zéro. L’essayiste et consultante australienne Rachel Botsman défend depuis cinq ans le terme de consommation collaborative et depuis peu celui, plus global, d’économie collaborative, rejoignant en cela le chercheur belge Michel Bauwens, qui parle aussi parfois d’une économie de partage de la connaissance.

Tous ces concepts fleurissent d’autant plus facilement que les habitants des pays occidentaux se sentent en situation de crise, en particulier depuis 2008 et l’explosion des désormais fameuses subprimes… L'économie collaborative se manifeste en effet d'abord comme une nouvelle «nouvelle économie», se développant via des communautés connectées. 1.

La dimension participative est majeure au sein de cette nouvelle économie. 2. 3. 4. 5. « Snapchat, une profonde rupture dans l’histoire de l’image » Photos moches, barbouillées, incompréhensibles… Les clichés échangés via l’application pour smartphone révèlent les nouveaux usages d’une image désacralisée. Petite plongée dans les « snaps » d’ados. Dans un monde parallèle et méconnu, des adolescents du monde entier se partagent chaque jour des centaines de milliers de photos et de vidéos. Le nom de ce monde est devenu populaire – Snapchat – mais ce qui s’y passe demeure obscur. Et pour cause, la particularité de l’application réside dans l’échange, dans des cercles privés, d’images barbouillées de filtres, de textes et de smileys qui, une fois visionnées, disparaissent à jamais (ou presque).

En quelques années, et maintenant avec plus de 4 milliards de (courtes) vidéos visionnées par jour, Snapchat est devenu un gigantesque continent enfoui, beaucoup plus complexe à étudier que tous les autres réseaux sociaux – dont les contenus sont facilement visibles et archivés. A la recherche des images secrètes Certains ont bien voulu jouer le jeu. Comment éclater la «bulle de filtres» et avoir accès à ceux qui ne pensent pas comme nous sur Internet? Utiliser des «portraits de données» pour éclater la «bulle de filtres»: c’est la méthode que préconise une étude du 19 novembre 2013, réalisée en collaboration par l’université Pompeu Fabra de Barcelone et Yahoo Labs, et résumée dans un article du MIT Technology Review paru le 29 novembre. Concrètement, il s’agit de faire entrer en contact des personnes ayant de fortes divergences de point de vue, à l’heure où Internet tendrait à les éloigner de plus en plus.

L’idée que le développement des réseaux sociaux aurait entraîné un rapprochement des gens autour des opinions qu’ils partagent, et surtout un éloignement entre ceux qui n’en partagent pas, a été évoquée par l’activiste Eli Pariser, qui en 2011 a consacré l’expression de «bulle de filtres» (ou filter bubble) pour la désigner –Titiou Lecoq vous en a parlé le 29 novembre sur Slate.fr.

Comme le rappelle le Technology Review, la bulle de filtres amplifierait un problème qui existe déjà dans le monde réel: Le web social nous enferme-t-il dans nos bulles ? © CC BY-SA 2.0 / Gisela Giardino Le web conçu sans centre, mais comme une toile, un rhizome a réactivé la figure romantique du flâneur du XIXe siècle. Cette vision partagée par les pionniers des technologies de l'information est tout de même à relativiser.

Ce que l'on appelle le web social et personnalisable reconfigure la façon de naviguer dans la masse d'informations disponibles. La prise de conscience des effets de la personnalisation du web est peut être un premier pas pour aiguiser notre regard critique concernant nos usages de ces technologies... Babel Oueb #53 Le web social nous enferme-t-il dans nos bulles ? Pour aller plus loin... - La mort du cyberflâneur (InternetActu) - The Filter Bubble: What The Internet Is Hiding From Yo, ouvrage de Eli Pariser - How to Burst the "Filter Bubble" that Protects Us from Opposing Views (MIT Technology Review)

Intelligence artificielle, transhumanisme, cybernétique : quel futur les GAFA nous préparent-ils? L’internaute est devenu fainéant. Kit Kat nos dá un respiro con sus nuevas zonas sin wi-fi | Mi bitácora personal. En el mundo actual en el que vivimos, estamos muchos pegados las 24h a nuestros smartphones, ya sea viendo correos, recibiendo llamadas, consultando nuestras redes sociales o enviandonos mensajes por las redes de mensajeria instantánea. Desde luego ha cambiado mucho la manera de comunicarse estos últimos años, donde cuando salia con los amigos no tenia ninguna forma de comunicarme con mis padres y esperaban horas en vilo hasta que volvia a casa sano y salvo. Donde ibas a comprar al supermercado, te habias dejado la nota en casa y te tocaba volver a por ella, ya que no te la podian enviar por e-mail o ni tan siquiera decirtela por teléfono.

Con estas situaciones, seguro que tienes mucha morriña de volver a tiempos pasados o deseas que haya momentos del día en que estes in-comunicado y nadie te moleste mientras te relajas viendo la televisión, sales a dar una vuelta con tus amigos y familia o simplemente lees un periodico. A mí me parece una excelente iniciativa ¿y a tí? Me gusta:

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Hossein Derakhshan. Storify. Quand Air France « raye Israël de la carte » Le 30 juillet dernier, l’organisation pro-israélienne Stand With Us a publié sur sa page Facebook une capture d’écran du suivi d’un vol Air France Los Angeles-Paris. Problème : la photo faisait clairement disparaître l’État d’Israël et sa capitale Tel Aviv au profit de Gaza et de la Cisjordanie. Dès lors plusieurs passagers ont envoyé des photos similaires à la compagnie aérienne, exigeant des explications.

Le Président du Conseil Représentatif des Institutions Juives de France (CRIF), Roger Cukierman a lui-même fait savoir sur Twitter qu’il avait contacté Air France pour lui faire part du problème. Air France a réagi en assurant « mettre tout en œuvre pour corriger au plus vite cette situation ». Selon la compagnie, il s’agirait d’une erreur d’échelle cartographique : « Certaines de ces cartes interactives présentent une incohérence d’affichage des données géographiques selon le zoom et l’angle de rotation du globe » Lire sur Challenges.

Gouvernance d'internet - Internet dans le monde. Logo de ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers) organisme responsable de attribution des noms de domaines. Agrandir l'image Internet est un ensemble de réseaux informatiques privés et publics interconnectés grâce au protocole de communication commun, TCP/IP (Transmission Control Protocol/Internet Protocol) qui repose sur le principe d'un maillage dépourvu de centre. De ses origines, internet a conservé une architecture décentralisée.Généralisé progressivement au domaine civil et commercial, le réseau a évolué de façon autonome. Perçu par les internautes comme un espace nouveau de liberté d'expression et d'échange, toute velléité d'intervention des Etats est regardée avec méfiance.

Or, internet intégrant désormais l'ensemble des activités économiques, culturelles et sociales, sa gestion représente un enjeu politique. La gestion du système de noms de domaine (DNS) par les Etats-Unis Internet est une infrastructure de communication dépourvue d'autorité centrale. Internet, ou l’inversion du capitalisme. Gratuit ! Tel est le mot-clé qui inspire tous ceux et celles qui, par milliards, naviguent sur le Web. Selon de nombreux experts, cette manne d’informations représente la plus grande révolution de ce siècle, et elle ne fait que commencer. Un capitalisme mieux adapté et plus « cool » se mettrait en place. « Big Brother » a perdu son air d’autorité.

Il a pris l’allure d’un copain sympathique et convivial sur qui nous pouvons compter pour tout savoir. Mais ne soyons pas dupes : le nouveau « deal » qu’offre Internet est une forme sophistiquée de capitalisme avancé, un renforcement du capitalisme par l’inversion en douceur de ses normes traditionnelles. Rappelons que, dans le capitalisme traditionnel selon Adam Smith, la tension créée entre l’offre et la demande activait et régulait le marché. Le jeu de l’offre et de la demande s’est déplacé Car au fur et à mesure que nous allons chercher gratuitement de l’information, nous en donnons également beaucoup.

État monopolistique. Intelligence artificielle, transhumanisme, cybernétique : quel futur les GAFA nous préparent-ils? Après les Gafa, les nouveaux maîtres du monde sont les Natu.