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Tibet : les images poignantes de Anton, 20 ans, voyageur engagé | Mr Mondialisation. Tibet : les images poignantes de Anton, 20 ans, voyageur engagé A 20 ans, après avoir parcouru 2000 km en Asie, Anton Deums nous livre deux documentaires saisissants. Le premier, dont nous avions parlé l’an dernier, traitait de l’Inde et du Népal. Il revient avec un second opus axé, cette fois, sur la problématique tibétaine.

Étudiant dans une école supérieure, Anton s’occupe d’une AMAP (distribution de paniers de légumes bio, locaux et de saison) et d’un projet intitulé « Scope » (Société Coopérative d’Intérêt Collectif œuvrant pour le développement d’initiatives responsables et durables au sein d’un cadre social équitable et abouti). Le fruit de son expérience est à chaque fois compilée dans une vidée narrative. Dans la seconde partie, « Le bonheur de la simplicité » , il abordait combien le fait de vivre de manière simple permettait de gagner en bonheur et en sérénité.

Image : utpala ॐ Intéressés ? Sources : lite5.framapad.org / youscribe.com / kisskissbankbank.com. Chandigarh 2035. Arnaud Chayla & David OttlikÉcole Nationale Supérieure d’Architecture Paris Malaquais – Master 1 arnaudchayla.comdavidottlik.com Le 15 aout 1947 le sous-continent indien devient indépendant, avec la partition entre la république fédérale de l’Union indienne et la république islamique du Pakistan. Les anciens découpages administratifs et territoriaux, organisés en 554 états princiers sont remplacés par 27 états indiens. Le Punjab perd son ancienne capitale Lahore, qui est devenue pakistanaise. La ville de Chandigarh s’est créée ex nihilo à partir d’enjeux de découpages territoriaux stratégiques et coercitifs, tant géopolitiques, administratifs, militaires, industriels que commerciaux, qui se traduisent dans le développement, la définition et la lecture de la ville aujourd’hui. SECTEUR 17 – Un secteur monofonctionnel de commerces Axonométrie montrant le secteur 17 en son état existant en noir et le projet en rouge Comparaisons de Chandigarh avec d’autres villes Propositions de densification.

20 Reasons That Prove India Is A Society Of Hypocrites. NOTE: This is NOT an attempt to diss India. I love my country - its culture, diversity and people. However, I can't be the only one to notice the oxymoron that my country has become. India is a society of hypocrites. There, I said it! Source I stevemccurry.wordpress.com Source I sorryiveneverflownbefore.wordpress.com Source I www.onsecrethunt.com Source I churumuri.wordpress.com Source I www.beevoz.net Source I www.dnaindia.com Source I wikipedia.org Source I www.mirror.co.uk Source I ibnlive.in.com Source I blogs.timesofindia.indiatimes.com Source I www.huffingtonpost.com Not that accepting pornstars is bad, but let's give our women the respect that they deserve.

Source I www.hindustantimes.com Source I photoblog.nbcnews.com Source I english.sina.com Source I imgkid.com Source I expertbeacon.com Source I twitter.com Source I www.bbc.com Source I www.tinpahar.com Source I businessofcinema.com. CARTOGRAPHIE • 30 millions d’esclaves sur la planète. Le mot sonne comme la réminiscence d'une époque révolue. Mais l'esclavage n'appartient pas à l'Histoire. Il est bien présent au XXIe siècle – partout dans le monde. Courrier international 2 Décembre 2014 | Partager : Ce nombre – 29,8 millions exactement – est issu du travail réalisé par la fondation australienne Walk Free, qui s’est donné pour mission d’éradiquer les différentes formes d’esclavage dans le monde. Il inclut le travail et la prostitution forcés, les enfants-soldats ou contraints au mariage, les domestiques asservis, etc. En pourcentage, c’est la Mauritanie qui remporte la “palme” – 4 % de sa population.

En valeur absolue, c’est l’Inde qui abrite le plus grand nombre d’esclaves – 14 millions. Cliquez sur la carte pour la voir en plus grand. Arquitectura en proceso: Estrategia de Vivienda incremental por Filipe Balestra y Sara Göransson. Los arquitectos Filipe Balestra y Göransson Sara han desarrollado una estrategia para desarrollar asentamientos informales en distritos urbanos permanentes a través de un proceso de mejora gradual de las viviendas existentes en lugar de la demolición y reconstrucción.

Desarrollado en Bombay, India, la Estrategia de Vivienda incremental está destinado a permitir a los distritos se desarollen y mejoren de forma orgánica sin desplazar ni desarraigar a las comunidades. (la participacion de la comunidad en la etapa de diseño, aspecto fundamental si se busca el mejoramiento de la calidad de vida.) Un proyecto piloto se llevará a cabo en Pune, India, pero los arquitectos creen que la estrategia podría ser implementada en cualquier país con condiciones urbanas similares. Los arquitectos han desarrollado tres tipologías de vivienda que consta de porticos sencillos que permitan la expansión posterior.

El proyecto piloto se llevará a cabo en Pune, India. Equipo de diseño: Filipe Balestra Sara Göransson. Healthy Processes in Architecture | Science of the Time. What it Is Filipe Balestra is a Portuguese architect who believes in the healthy processes in architecture, and he is always focused in how to go beyond! He believes in the power of architecture, urban planning, urban design and above all – THE POWER OF INTENTION! A very interesting and inspiring video worth watching! Why it is Cool During his presentation, Filipe Balestra starts talking about the importance of networks, and how people can engage and benefit from it, and how fast all this process can happen. So as he says “life in XXI Century is about connecting and being connected”. So, Filipe Balestra applies the concept of being connected as a living being with a growing body, he applies it onto his own work – architecture – and he explains the advantages of doing this.

Thus, more than just designing some outstanding and absurd buildings with a WOW factor but with no usability, he lives and participates within those communities, in order to understand their exact needs and desires. Incremental Housing Strategy in India / Filipe Balestra & Sara Göransson. Aerial collage: the new archipelago of incremented kaccha houses rising from a context of well built permanent homes in a typical slum. The problem with social housing has been how to give the most with less money. We have very good examples in Europe, but the constrains are way different than the ones in developing countries.

In these countries, almost all the constructions are done by anyone but architects. Clearly, in these countries architects can do something way better than just designing or constructing, developing strategies together with communities to achieve housing solutions that not only address today´s necessities, but that can also be extended over time as families grow, once again by themselves and without architects. A good example on this is Elemental, lead by Alejandro Aravena, which has been changing not only design aspects of social housing, but also public policy. Currently, they have built and on going projects in Chile, Mexico and more countries. Bombay-Nouveau by Urban Nouveau - Dezeen. Architect Filipe Balestra of Urban Nouveau has sent us his proposal for a series of towers built in the swamps surrounding Mumbai, sketched out on a napkin.

Balestra's idea is to allow expansion of the city without displacing the rubbish dump, recycling centre and homes at the city's centre. Urban Nouveau previously developed a proposal for sensitively revitalising slums, which was featured in the Dezeen Book of Ideas – on sale now for just £12. Here's some text about the concept from Urban Nouveau: Bombay - maximum city, surrounded by water - is just in time to pick up an evolutionary strategy for the benefit of all. Dharavi - in the heart of Bombay - is one of the world’s largest urban villages.

Boats and bridges connect the shore with the new islands. Urban Nouveau is an interdisciplinary platform which supports an open network of human beings solving problems of everyday life. SUFactsheet_FRENCH_0.pdf. Page présentation. Ici Thierry Paquot énonce très bien le problème : le bidonville est-il une ville et est-ce qu’il est une étape obligatoire dans l’évolution de la ville ? Nous allons tenter de déterminer, d’un côté les caractéristiques des bidonvilles qui le différencient de la ville, qui le marginalisent, et d’un autre côté les caractéristiques qui en font une ville à part entière. Puis nous étudierons en quoi le bidonville est un espace de transition. Cette étude devrait nous permettre de mieux connaître les différentes composantes du bidonville afin de balayer certains clichés et permettre de déterminer ses potentialités et ses carences. 1. Ce qui le détache de la ville Hors la loi et hors la ville La première caractéristique qui sort totalement le bidonville de la ville est son illégalité.

Des différences sociales extrêmes entre la ville et le bidonville Contrairement aux centres villes qui donnent une certaine image de richesse, il y a dans le bidonville une misère omniprésente. Exemple des favelas 2. Les bidonvilles dans l'espace urbain. Qu'est-ce qu'un "bidonville" ? Musique : Claude Nougaro - Bidonville Click Here To Listen La première définition écrite du terme anglais « slum » apparaît, dit-on, en 1812 sous la plume de l'écrivain et hors-la-loi James Hardy Vaux, dans son Vocabulary of the Flash Language, où il est présenté comme synonyme de « racket » ou « commerce criminel ».

Aussi, pendant longtemps, le « slum » a été associé à un habitat sale et occupé par une population misérable et criminelle. En français, le mot « bidonville » a été employé pour la première fois en 1953 à propos du Maroc pour désigner littéralement des « maisons en bidons », c'est-à-dire un ensemble d'habitations construites avec des matériaux de récupération. Photo : Le bidonville Dharavi à Bombay (env. 800 000 hab.) Aujourd'hui, on qualifie de bidonville, un logement qui possède à peu près les caractéristiques suivantes : Image satellite : Le bidonville de Kibéra, Kenya(env. 200 000 hab.) - (Google Earth) Typologie des bidonvilles Sources : Culture, Architecture, Démocratie (Biennale Turin : 16/04/11) Culture Web, Think Thank et intellectuels: la fabrique de la connaissance La journée de samedi 16 avril a poursuivi et approfondi les problématiques majeures de la Biennale autour des thèmes de la culture, de la connaissance, du rôle du web dans la construction des opinions.

Six rencontres ont été dédiées à ces questions de façon à en décortiquer les enjeux. C’est par exemple le cas du débat sur les Think Thank, là où naissent les idées. Ces centres de recherche diffusent en effet des idées dans le but d’influencer l’opinion publique et/ou de soutenir l’action des gouvernements. Il s'agit d'un instrument typiquement américain qui aujourd’hui est en train de se répandre en Europe. Combien en comptent-on ici, sur le vieux continent ? La question des Think thank renvoie aussi à la question de la culture face au pouvoir, un sujet crucial pour toute démocratie. Architecture La démocratie invisible de l’architecte Démocratie. Cette expérience a duré de décembre à avril 2011.