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Bygmalion

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UMP : Guillaume Peltier passe 5 heures en garde à vue pour favoritisme présumé - L'Obs. Nouvelle épisode dans l'affaire Bygmalion : le fondateur de la société Guy Alvès et le responsable UMP Guillaume Peltier ont été placés en garde à vue jeudi 11 décembre, selon des informations de France 3.

UMP : Guillaume Peltier passe 5 heures en garde à vue pour favoritisme présumé - L'Obs

La garde à vue à Nice de Guillaume Peltier, ancien vice-président de l'UMP, dans le cadre d'une enquête pour favoritisme présumé à Menton, a néanmoins été levée après "cinq heures", sans qu'"aucune charge" n'ait été retenue contre lui, selon ses propres affirmations. L'élu a dénoncé une "manipulation politico-judiciaire". Bygmalion : le parquet fait entrer Sarkozy dans la danse. Ce n’est plus seulement une affaire Bygmalion, mais bien une affaire Sarkozy.

Bygmalion : le parquet fait entrer Sarkozy dans la danse

Fin novembre, le parquet de Paris a élargi le spectre de l’enquête visant l’agence de communication - initialement ouverte pour «faux et usage de faux» et «abus de confiance» - au chef de «financement illégal de campagne électorale». Un délit mineur, passible d’un an de prison et de 3 750 euros d’amende (contre trois ans et 375 000 euros pour l’abus de confiance), mais symbolique d’une procédure pénale ciblant désormais ouvertement l’ex-président de la République. Ce «réquisitoire supplétif», en jargon judiciaire, était dans les tuyaux depuis début octobre. Un rapport de synthèse des policiers enquêteurs, dévoilé par Le Monde, posait déjà la problématique : «Les fausses factures adressées par Event & Cie [filiale de Bygmalion] à l’UMP, sciemment établies par les deux parties, constituent également l’infraction de financement illégal de la campagne de Nicolas Sarkozy.»

Affaire Bygmalion : Jerôme Lavrilleux claque la porte de l'UMP. Bygmalion : Bastien Millot évoque Sarkozy et contredit ses anciens cadres. Bastien Millot sort du silence.

Bygmalion : Bastien Millot évoque Sarkozy et contredit ses anciens cadres

Proche conseiller de Jean-François Copé, codirigeant de Bygmalion, l'homme est au centre de la tourmente qui touche cette société, qui aurait participé à un sytème de double facturation destinée à masquer le largement dépassement du plafond de dépenses légales lors de la campagne 2012 de Nicolas Sarkozy. Dans un entretien à L'Express, M. Millot se défend de toute implication. Bygmalion : de nouveaux éléments fragilisent la défense de Copé. L’ancien patron de l’UMP, Jean-François Copé, va devoir répondre aux questions précises des enquêteurs.

Bygmalion : de nouveaux éléments fragilisent la défense de Copé

Selon les procès-verbaux d’interrogatoire que Le Monde s’est procurés, les enquêteurs disposent d’une série d’éléments qui fragilisent la position de l’ancien président de l’UMP. Jusqu’à présent, sa défense consistait, en effet, à affirmer qu’il n’était pas au courant du système de fausses factures destinées à masquer les dépassements des dépenses de campagne lors de la dernière présidentielle. Entendu comme témoin, le 26 mai, M. Copé avait ainsi assuré aux policiers n’avoir été mis au courant des malversations que le 16 mai, lors d’une réunion à l’UMP.

Or, lors des interrogatoires de plusieurs cadres de Bygmalion, l’attention des enquêteurs s’est portée sur une série de réunions organisées au domicile de Guillaume Bazaille –passé au service de M. Bygmalion : ce que l'on sait, ce qui reste mystérieux. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Maxime Vaudano et Les Décodeurs Au fil de leurs auditions devant les juges, dont Le Monde a pu prendre connaissance, les protagonistes supposés ou avoués de l'affaire Bygmalion dessinent une image parcellaire, parfois contradictoire, mais souvent éclairante, des irrégularités supposées du financement de la campagne de Nicolas Sarkozy.

Bygmalion : ce que l'on sait, ce qui reste mystérieux

Lire également notre compte-rendu des auditions de Guy Alvès et Franck Attal. Les protagonistes de l'affaire Bygmalion-UMP. L'affaire Bygmalion, si vous avez raté un épisode. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Les Décodeurs Après Jérôme Lavrilleux à la mi-juin, et avant d'autres responsables de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2012, les deux experts-comptables du candidat de l'UMP il y a trois ans ont été mis en examen les 2 et 3 juillet, a-t-on appris lundi 6 juillet de source judiciaire.

L'affaire Bygmalion, si vous avez raté un épisode

Pierre Godet et Marc Leblanc sont soupçonnés d'usage de faux, recel d'abus de confiance, escroquerie et complicité de financement illégal de campagne électorale, dans le cadre de l'affaire Bygmalion, qui menace l'ancien président depuis le printemps 2014, sans pour l'instant l'atteindre directement. 1. De quoi l'UMP est-elle accusée ? L'UMP est accusée d'avoir organisé un système de fausses factures pour que les dépenses de campagne de Nicolas Sarkozy pour l'élection présidentielle de 2012 restent inférieures au plafond autorisé par la loi. Affaire Bygmalion : le rôle de Nicolas Sarkozy au cœur de l’enquête. Affaire Bygmalion : trois ex-cadres de l'UMP mis en examen. Affaire Bygmalion : Nicolas Sarkozy directement menacé.

Affaire Bygmalion : ce que Jérôme Lavrilleux a dit à la police. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Les Décodeurs, Gerard Davet et Fabrice Lhomme Le Monde publie des extraits des auditions de Jérôme Lavrilleux, directeur adjoint de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2012, recueillies le 17 juin par l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF).

Affaire Bygmalion : ce que Jérôme Lavrilleux a dit à la police

Ces documents montrent de quelle manière, selon le récit de M. Lavrilleux, a été prise la décision de faire prendre en charge par l'Union pour un mouvement populaire (UMP) des dépenses de l'équipe de campagne, sous la forme de fausses factures, afin que cela n'apparaisse pas dans les comptes de campagne, plafonnés par la loi à 22,509 millions d'euros. Affaire Bygmalion : ce que Jérôme Lavrilleux a dit à la police.