PLechevallier: #Cinéma #Audiovisuel : le... Discriminations raciales : la France clouée au pilori par l'ONU - Monde. Jeudi, pour la deuxième journée consécutive, la politique hexagonale en matière de lutte contre le racisme a été passée au tamis par les experts du Comité pour l'élimination de la discrimination raciale de l'ONU (CERD), qui ont dénoncé un "manque de volonté politique" face à une "recrudescence" des actes racistes dans ce pays.Des critiques auxquelles le gouvernement français a répliqué en affirmant que les politiques menées par la France visaient à "garantir les libertés publiques" et le droit à la sécurité, "premier des droits de l'Homme".
La politique française envers les minorités était passée au crible dans le cadre de l'examen périodique des pays ayant ratifié la Convention internationale sur l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale de 1965. Jeudi, le comité onusien s'est particulièrement intéressé à la question des gens du voyage. Surprise par la vigueur des critiques, la délégation française a défendu jeudi bec et ongles les positions du gouvernement. ITW> "Le cinéma a besoin du jeu vidéo" Gamekult : à quand remonte la relation entre le cinéma et le jeu vidéo ? Alexis Blanchet : Cette relation remonte à partir du moment où le jeu vidéo devient un marché, entre 1971 et 1972. Le cinéma n'y est pour rien, car on retrouve plutôt les jeux vidéo dans les sociétés de l'armement, dans les laboratoires, chez les géants de l'électronique grand public.
Mais au début des années 70, aux Etats-Unis, le cinéma d'Hollywood connaît une mutation - ce que les chercheurs appellent le "New Hollywood". Le cinéma américain sort alors d'une grande crise, car il n'a pas vu venir la concurrence de la télévision. Les grosses majors du cinéma sont intégrées à des conglomérats d'activité diverses ; Warner est par exemple racheté par un propriétaire de concessions funéraires, de gestion de parking, etc. Positionnés sur le divertissement, ces conglomérats vont s'intéresser au secteur émergent du jeu vidéo. Si on regarde l'histoire du jeu vidéo, on constate qu'il y a des crises récurrentes.
Le machinima, un genre cinématographique à part entière. Si le transmédia et les ARG (Altered Reality Games) révolutionnent les techniques narratives, ils inspirent tout autant une jeune génération de video gamers qui se prennent désormais pour des stars du cinéma virtuel. Les "machinimistes", comme on les appelle, tournent leurs films dans les plus grands studios du monde: l'univers du net, des communautés virtuelles et des jeux vidéos. De World of Warcraft à Second Life, en passant par Call of Duty ou encore GTA, tout jeu de la dernière génération peut être détourné de son usage ludique de base et transformé en récit fictionnel.
Comment s'y prendre? En maniant la caméra virtuelle intégrée au jeu afin d'enregistrer de petites scènes. Ensuite, grâce à des logiciels tels que Movie Maker, ou encore iMovie, les joueurs peuvent faire interagir les éléments enregistrés (par exemple, une course poursuite de Need for Speed, les personnages de The Sims et le décor de Fallout 3), créer un court-métrage virtuel et le poster directement sur Internet. C’est quoi une équipe transmédia ? « Fais-Moi Jouer ! Ce soir, le Social Media Club organise une conférence sur le Storytelling Digital. J’y interviendrai pour parler des nouveaux métiers liés au transmédia et plus spécifiquement aux ARG. Si vous le pouvez, rendez-vous à 19 heures à La Cantine. Plus de de détails sur le blog du SMC. L’occasion pour moi de vous parler des nouveaux métiers liés à l’écriture et la production transmédia. Ayant eu la chance de le rencontrer à Power To The Pixel, j’ai pu demander à Lance Weiler en quoi consistait le rôle du Story Architect.
Story Architect« Comment peut-on isoler des éléments du récit et des éléments créatifs (qui vont faire partie du récit) puis trouver les moyens de les transmettre en créant de l’émotion ? Le problème ici est évident : les profils comme celui de Lance Weiler sont peu nombreux. Toujours à Power To The Pixel, j’ai discuté avec Steve Peters et Maureen McHugh, respectivement experience designer et lead author de l’ARG « Why So Serious? Un petit mot sur la production transmédia. Un webdocumentaire sur l'industrie de la prison.