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All Hell Breaks Loose After Pope Washes Women's Feet. Here's a good one from my Bible-thumpin' days: “Then the King will say to those on His right, ‘Come, you who are blessed of My Father, inherit the kingdom prepared for you from the foundation of the world. For I was hungry, and you gave Me something to eat; I was thirsty, and you gave Me something to drink; I was a stranger, and you invited Me in; naked, and you clothed Me; I was sick, and you visited Me; I was in prison, and you came to Me.’ “Then the righteous will answer Him, ‘Lord, when did we see You hungry, and feed You, or thirsty, and give You something to drink? And when did we see You a stranger, and invite You in, or naked, and clothe You? “The King will answer and say to them, ‘Truly I say to you, to the extent that you did it to one of these brothers of Mine, even the least of them, you did it to Me.’

Les ennemis de nos ennemis ne sont pas toujours nos amis. Le prétendu « sociologue » [1] a récemment défrayé la chronique médiatique. Un groupe d’extrémistes sionistes - vraisemblablement des nervis de la Ligue de défense juive [2] - a saccagé la librairie parisienne dans laquelle il proposait une séance de dédicace de son dernier ouvrage, Misères du désir. Cette agression intervenait quelques jours après la diffusion de l’émission « Complément d’enquête » (le 20 septembre 2004 sur France 2), dans laquelle l’écrivain tenait des propos aux forts relents antisémites (il fustigeait, en bloc, les « Juifs français », qui refusent de « se poser des questions » à propos du fait que « personne ne peut les blairer depuis 2500 ans »). Si les méthodes de ces nervis sont bien évidemment à proscrire et à dénoncer avec la plus grande énergie, il est indispensable de dénoncer aussi les « dérapages » d’Alain Soral qui, à force de répétitions, ne peuvent plus être considérés comme des maladresses.

Racisme et chauvinisme « Je préfère le voile au string » [4] Les ennemis de nos ennemis ne sont pas toujours nos amis. Première partie Homophobie Au « macho » qu’il réhabilite, en tant qu’ « homme qui respecte sa mère, qui protège sa femme et se sent responsable de ses enfants », Alain Soral oppose « les demi-fiottes d’aujourd’hui » [1]. Cette élégante formule nous conduit à évoquer l’homophobie maladive d’Alain Soral. L’écrivain stigmatise en effet la communauté homosexuelle, surtout masculine [2], chez qui il déplore « le refus de côtoyer l’ "autre" radical qu’est la femme », et donc le « repli narcissique ». Guère plus original, l’amalgame permanent qu’il opère entre l’homosexualité et le monde des nantis, qui est une des figures les plus convenues du discours homophobe dans sa version « populiste » ou stalinienne : Alain Soral s’en prend aux « tapettes de droite de France Culture » [4], et lorsqu’il prétend faire la leçon aux cinéastes qui ont soutenu les sans-papiers, il les qualifie d’ « enculés mondains » [5].

Dans son livre Jusqu’où va-t-on descendre ? Socialisme ou nationalisme ? Les sectes politiques et leurs gourous : Soral, Asselineau, Chouard. Ca commence à lasser sérieusement d’avoir, à chaque article qui traite de politique ou d’économie, les commentaires enflammés des soutiens de certains « courants politiques » plus ou moins obscurs. Comme à chaque fois que la situation est bloquée, la corruption à son plus haut niveau, des sauveurs se pointent, avec des analyses et des solutions « géniales » et facilement compréhensibles.

Sont-ce des partis politiques ? Des penseurs politiques ? Non, ce n’en est pas. Parce qu’ils contiennent plus de composants définissant une secte qu’un parti politique en tant que tel. Explications. L’UPR, Egalité et Réconciliation et…Chouard Pourquoi ces trois là ? Un gourou ? 1) Tous nos problèmes viennent de l’Europe, il faut quitter l’Union européenne 2) Pareil pour l’euro, il faut quitter l’euro 3) Tout peut fonctionner de nouveau super bien en suivant les points 1 et 2 « Il n’y a plus de poste de contrôle de police et de douanes à Tourcoing, Kehl, Menton, Hendaye, etc. Chouard ? Et ses idées ? « Mais c’est de l’humour !  | «Brasiers et Cerisiers. Il se trouve encore des gens, parfois complètement intégrés dans le « paysage médiatique », pour défendre Dieudonné, qui serait « victime de l’ambiance de l’époque ».

Soi-disant Desproges et Coluche faisaient des trucs qu’on ne pourrait plus faire aujourd’hui, qu’ils ont pu faire des blagues sur les Juifs sans susciter les mêmes réactions que Dieudonné. Sauf que Desproges ou Coluche n’ont jamais invité des nazis dans leur théâtre1 (ou alors pour leur faire un procès) ont toujours entretenu une large distance avec l’extrême droite, quand Dieudonné s’y est complètement intégré.

Lorsque Coluche a fait sa campagne présidentielle et s’est rapproché du poujadiste Gérard Nicoud , ça lui a déjà un peu flingué son projet (qui n’était déjà pas forcément sérieux) et ça lui a été reproché. Et pourtant ça restait très soft par rapport aux fréquentations de Dieudonné. « La quenelle », à vomir… « Je ne prononce pas le mot juif. On s’en fiche.