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Textes et articles de philosophie. Index des notions et des noms de philosophesmentionnés dans les titres des textes et articles âme : L'âme et le corps (André Perrin) angoisse :Affronter l'angoisse, affronter le tragique en fin de vie (Eric Fiat) anticléricalisme :Sur l'anticléricalisme.

Textes et articles de philosophie

La notion de crime dans son rapport à l'histoire (André Perrin) Aristote :Le médiéviste et les nouveaux inquisiteurs (à propos du livre de Sylvain Gougenheim Aristote au Mont Saint-Michel) (André Perrin) autorité : De l'autorité (Gildas Richard) autrui : Socrate et l'énigme du souci pour autrui (Gildas Richard)

Dostoievski

Platon. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Platon

Platon (en grec ancien Πλάτων / Plátôn, né à Athènes en 428/-427, mort en -348/-347 dans cette même cité) est un philosophe antique de la Grèce classique, contemporain de la démocratie athénienne et des sophistes, qu'il critiqua vigoureusement. Il reprit le travail philosophique de certains de ses prédécesseurs, notamment Socrate dont il fut l'élève, ainsi que celui de Parménide, Héraclite et Pythagore, afin d’élaborer sa propre pensée, laquelle explore la plupart des champs importants, notamment la métaphysique et l’éthique, la philosophie de l’art et la politique. Diogène Laërce dit de lui qu'il est de six ans plus jeune que son ami Isocrate[1].

Il est généralement considéré comme l'un des premiers philosophes occidentaux, sinon comme l’inventeur de la philosophie[2], au point que Whitehead a pu dire : « la philosophie occidentale n'est qu’une suite de notes de bas de page aux dialogues de Platon »[3]. Jeunesse[modifier | modifier le code] Philosophie, littérature et cinéma. La raison d’Einstein : la relativité ou le souci de la métaphysique.

L’homme est-il la mesure de toute chose ?

La raison d’Einstein : la relativité ou le souci de la métaphysique

Tout est-il relatif ? En 1885, Marcellin Berthelot disait du monde dans Les Origines de l’alchimie qu’il était « désormais sans mystère ». En 1916, Albert Einstein publie sa théorie de la relativité générale, produit d’une longue investigation dans le champ scientifique. Cette théorie ne doit pourtant pas faire oublier le caractère métaphysique de la relativité, car la relativité est aussi le produit de valeurs, de représentations, de principes. Peut-on alors, après la détonation historique des découvertes d’Einstein, examiner l’épaisseur métaphysique de la relativité ? Albert Michelson (1852 – 1931) Joseph de Maistre. Joseph de Maistre était membre du souverain Sénat de Savoie, avant d'émigrer en 1792 quand les forces armées françaises occupent la Savoie.

Joseph de Maistre

Arendt

Libre arbitre. Pour les articles homonymes, voir Arbitre.

Libre arbitre

Le libre arbitre est la faculté qu’aurait l'être humain de se déterminer librement et par lui seul, à agir et à penser, par opposition au déterminisme ou au fatalisme, qui affirment que la volonté serait déterminée dans chacun de ses actes par des « forces » qui l’y nécessitent. « Se déterminer à » ou « être déterminé par » illustrent l’enjeu de l’antinomie du destin ou de la « nécessité » d'un côté et du libre arbitre de l'autre. Histoire[modifier | modifier le code] Origine augustinienne du concept[modifier | modifier le code] Saint Augustin fut l'un des premiers à méditer le concept de libre arbitre (portrait imaginaire par Botticelli, v. 1480).

De ce concept forgé par la théologie patristique latine, il n’est pas exagéré d’écrire qu'il fut développé pour préciser la responsabilité du mal, en l'imputant à la créature de Dieu. . « d’où vient que nous agissons mal ? L’élaboration scolastique[modifier | modifier le code] Selon Maïmonide : Friedrich von Schiller (histoire et philosophie). Histoire et philosophie En 1787, Schiller se rend à Weimar dans l'espoir de se rapprocher des trois grands écrivains, Wieland, Herder et Goethe que le duc Charles-Auguste avait su attirer et retenir à sa cour, et avec la volonté bien arrêtée de tendre, comme ces grands personnages, vers le développement complet de toutes ses facultés en toute indépendance et sans souci du succès extérieur.

Friedrich von Schiller (histoire et philosophie).

Il ne réussit pas du premier coup à se faire sa place dans ce petit cercle privilégié : on le tient d'abord à distance. Mais, malgré cet insuccès, il reste à Weimar. Et au bout de quelques années d'attente énervante et pénible, il finit par obtenir une situation stable : grâce à l'appui de Goethe, il est nommé, en 1789, professeur à l'Université d'Iéna. L'année suivante, il épouse Charlotte de Lengefeld (22 février 1790), en qui il trouve une compagne qui sait le comprendre, l'aimer et aussi le soigner avec dévouement quand viennent les années de maladie. ).

Idéalisme). Qu’appelle-t-on histoire universelle, et pourquoi l’étudie-t-on ? de Schiller. La bibliothèque libre.

Qu’appelle-t-on histoire universelle, et pourquoi l’étudie-t-on ? de Schiller

" Messieurs, C’est une tâche qui me réjouit autant qu’elle m’honore, de parcourir désormais avec vous un champ qui offre à l’observateur réfléchi tant d’objets d’instruction ; à l’homme d’action de si beaux exemples à imiter ; au philosophe de importantes révélations ; enfin à tous, sans exception, de si riches sources du plus noble plaisir … à savoir le grand et vaste champ de l’histoire universelle. La vue de tant de jeunes gens distingués qu’une généreuse ardeur de savoir réunit autour de moi, et parmi lesquels s’épanouit déjà plus d’un talent prédestiné à agir sur le siècle prochain, convertit mon devoir en plaisir, mais en même temps m’en fait sentir, dans toute leur étendue, la gravité et l’importance.

Plus est grand le don que j’ai à vous transmettre (et quoi de plus précieux l’homme a-t-il à offrir à l’homme que la vérité ?) , plus je dois être attentif à ce que la valeur de ce don ne diminue pas en passant par mes mains. Nous fûmes tels.

Nietzsche