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Pertinence source réseaux sociaux

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Le rôle des réseaux sociaux dans la circulation et le partage de l'information. Publié le 25 septembre 2014 Pour 200 000 sites web dans le monde analysés fin 2013 par la société Shareaholic, le trafic venu des moteurs de recherche, bien que toujours majoritaire (40% du total des visites), continue de s'éroder (- 6% en un an) alors que celui issu des réseaux socionumériques a plus que doublé pour atteindre 24% du total des visites.

Le rôle des réseaux sociaux dans la circulation et le partage de l'information

Un phénomène observable aussi pour l’audience des sites d’information. La fiabilité des informations sur les réseaux sociaux, toujours remise en question. Même si les journalistes utilisent généralement les réseaux sociaux dans leur travail, ils ne considèrent pas toujours cette source comme fiable.

La fiabilité des informations sur les réseaux sociaux, toujours remise en question

Les réseaux sociaux sont devenus des outils incontournables pour les professionnels de la communication qui les utilisent de manière quotidienne dans leur travail. Néanmoins, l’information véhiculée par ces réseaux n’apparaît pas totalement fiable pour les journalistes espagnols. En effet, l’Université Carlos III de Madrid (UC3M) a mené une enquête auprès de 400 journalistes pour établir une analyse de la profession prenant en compte la place des réseaux sociaux et leur rôle en tant qu’outils journalistiques additionnels. De par l’aspect intuitif et collaboratif des réseaux sociaux, il est en effet primordial de se poser la question de la fiabilité des sources.

Une source paradoxale L’étude mesure l’étendue de l’influence des réseaux sociaux dans la routine de travail des journalistes. Les #MSGU : en cas de crise, sur les réseaux sociaux, adoptez le réflexe citoyen ! Si les médias sociaux constituent un nouveau canal de communication pour la puissance publique, leur utilité ne saurait se limiter à cette fonction.

Les #MSGU : en cas de crise, sur les réseaux sociaux, adoptez le réflexe citoyen !

Ils présentent aussi pour elle l’opportunité d’associer les citoyens dans une démarche moins descendante et plus participative, notamment en situation de crise. C’est tout l’objet des #MSGU, ou pratique des Médias Sociaux en Gestion d’Urgence. Il s’agit pour l’Etat de s’appuyer, en cas par exemple de catastrophe naturelle, sur des internautes volontaires et mobilisés, à la fois pour diffuser l’information officielle fiable sur la crise, et remonter de l’information de terrain, via tous les moyens offerts par le web social : tweets, photos géolocalisées, cartes interactives, outils contributifs ...

Cette collaboration avec les internautes permet à l’Etat de démultiplier sa surface de diffusion et de captation d’information, et d’être d’autant plus efficace pour sa gestion de crise. Avoir le réflexe #MSGU. Repenser la sociologie du journalisme. Les stratégies de la source d'information et les limites du média-centrisme. Ce que veulent les jeunes : des contenus authentiques, pertinents, divertissants, au design irréprochable. Validité, fiabilité et pertinence de l’information.

Lorsque l’on cherche des séances pédagogiques sur ce thème, on trouve souvent des utilisations de sites canulars (daru, fromage au lait maternel...) utilisé dans les débuts pour démontrer que l’internet serait un espace de désinformation et d'erreurs.

Validité, fiabilité et pertinence de l’information

Est-ce si difficile de trouver une information fausse sur la toile que l’on soit obligé de construire de toute pièce un faux site pour sensibiliser les élèves ? Pour autant, la question de la fiabilité de l’information sur la toile se pose réellement, notamment parce que contrairement au processus de publication papier traditionnel, les circuits sont raccourcis : le plus souvent, c’est la même personne qui écrit et publie. Ce que veulent les jeunes : des contenus authentiques, pertinents, divertissants, au design irréprochable. Huit clos sur le net : L'heure du bilan sur France Inter et France Info (avec sons) Toute cette semaine, 5 journalistes, Benjamin Muller de France Info, Nour-Eddine Zidane de France Inter, Janic Tremblay de La Première Chaîne de Radio-Canada, Anne-Paule Martin de la 1ère-RTS ( Radio Télévision Suisse) et Nicolas Willems de La Première-RTBF, se sont pretés à une opération inédite « Huis clos sur le Net » et se sont isolés dans un gîte rural au coeur du Périgord, coupés de tous médias traditionnels.

Huit clos sur le net : L'heure du bilan sur France Inter et France Info (avec sons)

Huis clos sur le Net, du 1er au 5 février 2010, une coproduction des RFP. Une opération inédite des RFP Comment être informé et informer à son tour, quand on est coupé des sources traditionnelles d'information ?

Huis clos sur le Net, du 1er au 5 février 2010, une coproduction des RFP

A l’initiative des Radios Francophones Publiques, « Huis clos sur le Net » est une opération inédite. Cinq journalistes des RFP sont isolés dans un gîte rural au coeur du Périgord, coupés de tous médias traditionnels. Leur seul accès à l’information : twitter et facebook. Autorite et institutution vs popularite et influence. ARE SOCIAL NETWORKS A ‘NEW’ NEWS MEDIUM? The vast virtual web spun among Internet users via social networks facilitates the circulation and sharing of information among individuals.

ARE SOCIAL NETWORKS A ‘NEW’ NEWS MEDIUM?

Thanks to these national and international networks, information spreads from one family to another, from one company to another and from one nation to another. It travels in an unlimited and instantaneous manner, without being restricted by boundaries, time zones or financial cost. Therefore information becomes immediate and accessible regardless of physical or cultural barriers, as illustrated by the global retransmission of images of revolutions in Tunisia and Egypt. While social networks have become a lever in the distribution and sharing of information, can they be considered as a fully-fledged news medium?

Attentats à Paris: L'alerte au virus «On est tous Paris» est un canular. INTERNET Une fausse alerte circule par mail, SMS ou par copié-collé sur les réseaux sociaux… 20 Minutes avec agence La liste des rumeurs et autres fakes, créés de toutes pièces et circulant à vitesse grand « V » sur le Web après les attentats du 13 novembre est déjà longue.

Attentats à Paris: L'alerte au virus «On est tous Paris» est un canular

Et en ce lundi, un autre « hoax » est diffusé cette fois via SMS, par mail ou copier-coller sur Facebook et Twitter. Le message en question est le suivant: >> A lire ici : Attentats à Paris : Pétards, canulars et rumeurs… Que risquent ceux qui entretiennent la psychose ? Fausses sources et fautes d’orthographe Il s’agit pourtant d’un faux avertissement.

Le message assure aussi citer le « service de cyber criminalité du ministère francais de la Défense ». Ne diffusez et ne relayez pas de fausses informations ou de fausses rumeurs.— Préfecture de police (@prefpolice) November 14, 2015 Un guide de bonne conduite a été édité par le gouvernement. Source d’information : les réseaux sociaux détrônent-ils le journalisme traditionnel ? Attentats à Paris: Les réseaux sociaux, entre aide précieuse et grand n’importe quoi. WEB Depuis vendredi soir, les Français louent le rôle essentiel des réseaux sociaux, entre le « Safety check » de Facebook et le hashtag #PorteOuverte sur Twitter.

Attentats à Paris: Les réseaux sociaux, entre aide précieuse et grand n’importe quoi

Mais les dérives sont nombreuses… Anaëlle Grondin Publié le Mis à jour le Rassurer la plupart de ses amis en un clic, retrouver ses proches disparus, héberger des inconnus bloqués dans la rue grâce au hashtag #PorteOuverte, inciter un maximum de personnes à donner leur sang pour aider les victimes… Après les attentats à Paris vendredi soir, les réseaux sociaux ont joué un rôle crucial. L’entraide et la solidarité en ligne observées depuis trois jours sont sans précédent. Mais Facebook et Twitter n’ont pas fait que du bien ces derniers jours. Les complotistes et les trolls ont également profité de ces espaces d’expression en ligne pour propager des hoax malgré l’avertissement de la police nationale. Certains de ces messages visaient à semer la panique.