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Eau

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La moitié de l'eau en Irak est perdue. Epfig | Le Piémont se soucie de la qualité de l’eau. La richesse des fonds du lac Marin. Quitaine Landes Récifs a rendu, vendredi, sa copie au comité consultatif du lac, constitué d'élus des communes de Vieux-Boucau et Soustons, mais aussi de personnalités compétentes et d'usagers.

L'association que préside Gérard Fourneau a été dans un premier temps missionné par le syndicat intercommunal de Port-d'Albret pour le suivi faunistique et floristique du lac Marin. Ses plongeurs bénévoles ont participé à la découverte de la richesse sous-marine du lac. Chargée de mission, Aurélie Penne a établi les résultats et la synthèse des données, appuyant ses propos de photos et vidéos de grande qualité, prises lors du comptage des espèces marines, effectué à l'occasion de onze plongées dont la durée moyenne atteignait la cinquantaine de minutes. Hippocampes répertoriés Les trois quarts des observations - concentrées à proximité du barrage d'accès à l'océan - concernent des invertébrés, le quart restant concernant des poissons. La plus vieille eau du monde ? Nourrir la planète sans en polluer l'eau > Environnement. Des chercheurs de l'Université de McGill au Québec ont mis au point la toute première carte mondiale détaillée du bon et du mauvais usage de composés phosphoreux importants.

L'accroissement de la population mondiale a entraîné une hausse de la demande alimentaire. Aux quatre coins du monde, les agriculteurs, utilisent – au moins partiellement – des engrais de phosphore afin de préserver et améliorer le rendement des récoltes. Mais la surutilisation de ces derniers peut entraîner la pollution de l'eau douce et la naissance d'une multitude de problèmes, dont la hausse de l'algue bleue dans les lacs et la croissance de « zones mortes » côtières. Parmi les enjeux à considérer, mentionnons que le phosphore provient d'une roche phosphatée, une ressource non renouvelable disponible en quantité limitée dans des régions géopolitiques où règne une vive tension, telles le Sahara-Occidental et la Chine.

Gare à la pollution des océans, nous dit l’ONU. Débris de matières plastiques et émissions de fertilisants au phosphore représentent un vrai danger pour l'océan mondial : c'est ce que met en avant le dernier rapport du PNUE, Programme des Nations unies pour l'environnement. C'est un plaidoyer pour une « transition vers une économie verte » qui figure dans le dernier rapport du Programme des Nations unies pour l'environnement, publié cette semaine et que l'on peut lire dans sa version en anglais, UNEP Yearbook 2011.

L'organisme (qui dépend de l'ONU) rappelle l'influence de l'activité humaine sur les modifications du climat et les engagements pris au sommet de Cancún. Il souligne aussi les effets de la pollution sur la santé humaine et notamment sur sa contribution possible aux maladies auto-immunes comme le diabète de type 1, la sclérose en plaques et la polyarthrite rhumatoïde. Et ce qui n'est pas recyclé finit en général dans l'océan. Cette production énorme et grandissante pose aussi la question d'une possible pénurie. Le livre noir de l'agriculture : comment on assassine nos paysans, notre santé et l'environnement. Vous souvenez-vous des Shadoks, ces étranges oiseaux qui passaient leur vie à pomper, pomper, pomper et à inventer des machines toujours plus absurdes ?

Les Shadoks, aujourd’hui, c’est nous, ou plutôt notre agriculture. Malgré son coût prohibitif, celle-ci ne respecte ni le pacte social qui la lie aux paysans, ni le pacte environnemental qui la lie aux générations futures, ni même le pacte de santé publique qui la lie à chacun de nous. Les ressources d’eau sont gaspillées, polluées. Nous recevons chaque jour dans nos assiettes notre dose de pesticides et autres résidus médicamenteux. L’agriculteur ne s’en sort plus, et il est injustement voué aux gémonies, lui qui n’est que le bouc émissaire d’un système qu’il subit. La confiance est rompue. Pendant deux ans, Isabelle Saporta (auteur du documentaire Manger peut-il nuire à notre santé ?) Loin de se contenter de brosser un tableau alarmiste, Isabelle Saporta avance des solutions simples.

Ecoutez notre entretien avec Isabelle Saporta. Agriculture industrielle : le sacrifice de l'eau. Campagne nationale d’analyse des résidus de médicaments dans l’eau. La présence de substances émergentes (1) dans l'environnement à l'état de traces (2) et notamment celle de résidus de médicaments dans les eaux interroge depuis quelques années l'opinion publique, la communauté scientifique et les autorités publiques. La question des risques sanitaires liés à ces substances est en particulier posée. Actuellement, il n'existe pas de limite de qualité pour les résidus de médicaments dans les eaux et les réglementations, européenne et française, ne prévoient pas de les rechercher. Une campagne nationale couvrant le quart de la population Dans ce contexte (Le contexte d'un évènement inclut les circonstances et conditions qui l'entourent; le contexte d'un mot, d'une phrase ou d'un texte inclut les mots qui l'entourent.

Premiers résultats S'agissant des eaux brutes, environ 285 échantillons ont été analysés, 2/3 des échantillons étant des eaux d'origine souterraine et 1/3 des eaux d'origine superficielle. Vers l'évaluation des risques Notes: "Tara-Océans": de la science dans les voiles. A BORD DE TARA DANS LES CANAUX DE PATAGONIE (Chili) - Dans la pure tradition des expéditions naturalistes des 18e et 19e siècles, la goélette océanographique Tara qui navigue actuellement dans les canaux de Patagonie au Chili, a embarqué un équipage composite de marins et scientifiques qui mène à bien la mission "Tara-Océans" d'étude de la biodiversité marine.

Mais Tara n'est pas un navire océanographique comme les autres. Si le savant et le navigateur y exercent leurs talents dans leurs domaines respectifs, l'un et l'autre se retrouvent pour participer aux manoeuvres de navigation ainsi qu'aux nombreuses tâches de manutention scientifique comme les prélèvements de plancton en eau profonde. Sur Tara, le savant se doit d'être matelot et le marin est un précieux auxiliaire de la science. Cette symbiose est peu courante et sur la plupart des navires d'expéditions scientifiques, l'équipage et les chercheurs restent cantonnés dans leur pré carré.

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