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Yann Leroux : “Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo” « Intern. On ne présente plus vraiment Yann Leroux sur internet, parce qu’il est l’un des rares psychanalystes à twitter et à avoir un blog. Membre de l’Observatoire des mondes numériques en sciences humaines, joueur invétéré, Yann Leroux s’intéresse au virtuel depuis qu’il est tombé dedans. C’est assurément son expérience de joueur qui l’a amené à porter un autre regard sur le jeu. A son exemple, des psychanalystes, et non des moindres, comme Serge Tisseron, sont de plus en plus nombreux à dénoncer l’utilisation de la notion d’addiction appliquée aux jeux vidéos.

Cette position, forcément iconoclaste, nous intéresse. Et va nous permettre de mettre enfin les points sur les I. InternetActu.net : « Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéos ! Yann Leroux : L’addiction aux jeux vidéo se construit sur un double discours chez les psychanalystes et les psychologues : les jeux vidéo sont un médiateur intéressant dans le cadre du travail psychothérapeutique. Il y a des pathologies d’usages. L’avenir du Social Gaming d’ici à 2012  John Pleasants, anciennement chez l’éditeur Electronic Arts et CEO de Playdom, , société dont les jeux ont 5 millions d’utilisateurs quotidiens évoque l’avenir du « social gaming » – ces jeux sur les platformes sociales -, dont il considère que l’appellation disparaitra d’ici 2 ans.

En effet, tous les jeux ont dans un avenir proche vocation à devenir sociaux. L’avenir est selon lui de tirer parti de facebook essentiellement, ou tout autre platefome sur laquelle nous transportons notre identité et nous nous connectons avec nos amis. Ainsi, ces sentiments de compétition, d’acccomplissement, d’aventure et d’imagination produits par le jeu entrent en écho avec des besoins sociaux de collaboration, d’amitié, de camaraderie. Le jeu social anime et motive les interactions entre les personnes ; c’est aussi une forme d’expression à travers sa manière de jouer.

Des jeux moins coûteux à lancer mais aux premières heures incertaines Modèle de distribution et clefs du succès Futur ? Etienne Mineur archives. Cet été, j’ai un peu le temps d'écouter les nombreux PodCasts stockés dans mon iphone durant cette année, et je (re)découvre toutes une série de Podcasts vraiment intéressants et très variés. • Je vous conseille avant tout le l’émission de l’Agence tous Geeks n° 07, vous allez avoir Monsieur Post Carbone qui va vous expliquer le fonctionnement de nombreuses inventions, (du gramophone de Thomas Edison, au disque dur, en passant par la souris, le CDRom, et la disquette 3,5 pouces).

Ce monsieur est un pédagogue de génie, il arrive à vous expliquer des choses très compliquées très simplement et avec passion, bref je vote pour que Post Carbon soit notre prochain ministre de l’éducation nationale (et de la recherche). • Il y a aussi une émission passionnante du nom de Pendant les travaux le cinéma reste ouvert concernant le cinéma. Cette émission est diffusée sur France inter avec comme animateurs l’excellent Jean-Baptiste Thoret et Stéphane Bou. . • Proxi-jeux, sur les jeux de sociétés. Psy et Geek ;-) Empêcher les jeunes de maîtriser le numérique ? « Veille et Anal. Débat récurrent et stérile : les jeunes maîtrisent-ils ou pas le numérique ?

Tant qu’on n’a pas défini ce que l’on met derrière ce questionnement, le débat est éternel et stérile. Et c’est ce qui se passe avec ce travail de septembre 2009 publié à Namur ou encore l’enquête CEFRIO…C’est cet article qui me fait réagir aujourd’hui : Encore une fois, on tente de démontrer que les jeunes ne maîtrisent pas la technique informatique et qu’ils ne se consacrent qu’au jeu et à la communication. Mais on peut envisager une analyse de cette approche un peu différente. Pour amorcer cette réflexion, on peut reprendre cette interview JN Lafargue et en particulier ce passage en réponse à la question : Qu’est-ce qui est caractéristique de leur approche et leur usage du numérique ? : « La facilité. Que s’est-il donc passé ? En fait on est passé d’un numérique factuel à un numérique conceptuel et surtout culturel. A suivre et à débattre.