Jésus selon les Romains. Les textes romains sur Jésus : Les Chrétiens tiennent l'existence historique de Jésus pour acquise. Pourtant si celui-ci avait vraiment remué des foules énormes comme on le prétend, cela aurait été remarqué et les textes romains en auraient fait mention. Pourtant il est bien difficile de trouver des textes historiques contemporains de Jésus et qui parlent de lui. Peut-être qu'à son époque ce dernier est passé bien plus inaperçu qu'on ne le croyait ? Ou alors ces textes existaient mais ont été détruits ? Voici une liste des anciens textes contemporains de Jésus ou on peut essayer de trouver des témoignages historiques à son sujet : - Velleius Paterculus (-19 +31) : Il a écrit l' "Histoire romaine", ouvrage dont la partie concernant la fin de l'année 29 jusqu'au milieu de l'an 30 (correspondant au ministère de Jésus) a disparu (ou a été opportunément détruite ?).
- Philon d'Alexandrie (-34 +54) : Il a décrit les communautés de Juifs Esséniens et Thérapeuthes qui vivaient en Égypte. ... Rite funéraire de la religion romaine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Statue funéraire de Marcellus L'appartenance à la classe sociale conditionne le faste des rites funéraires romains. Les Romains, très superstitieux et religieux pensaient qu'un déroulement précis des funérailles était essentiel à l'obtention d'une vie après la mort. Ils étaient donc très pointilleux sur l'exécution des rites funéraires. Histoire des rites[modifier | modifier le code] Pendant l'époque protohistorique étrusque de Rome, la crémation suit ou côtoie l'incinération suivant les périodes historiques ; elle a été généralement abandonnée vers la fin du Ve siècle av. Sous l'Empire, les rites ont également changé avec l'adoption des cultes orientaux comme le culte d'Isis qui promettaient une autre vie après la mort.
Déroulement des rites[modifier | modifier le code] La plèbe[modifier | modifier le code] Pour la plèbe, le cortège était conduit par un croque-mort (vespillones) qui plaçait le cadavre sur un brancard (sandapila). Jules César : Religion de la Rome antique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La religion de la Rome antique est l'ensemble des pratiques et croyances religieuses que les romains considéraient comme proprement romaines, ainsi que les nombreux cultes importés à Rome ou pratiquées par les populations faisant partie de l'Empire romain. Les romains se considéraient eux-mêmes comme profondément religieux, et ils attribuaient le succès de leur empire à leur piété collective (pietas) qui permettait de conserver de bonnes relations avec les dieux. D'après l'histoire légendaire des premiers siècles de Rome, la plupart des institutions et des rites religieux de Rome remontent aux premiers fondateurs de Rome, particulièrement Numa Pompilius, le second roi de Rome.
Peu à peu, le droit romain se séparera de la religion. Étude de la religion romaine[modifier | modifier le code] Traits principaux[modifier | modifier le code] Origines de la religion romaine[modifier | modifier le code] Une religion de la Cité[modifier | modifier le code] Religion romaine. La religion romaine est une religion polythéiste qui comporte un ensemble complexe de croyances et d'actes rituels.
Les Romains se disaient les plus religieux des hommes. En effet, le sentiment du sacré est omniprésent dans la vie publique comme dans la privée. Les dieux étaient présents dans tous les actes de la vie publique ainsi chaque réunion, chaque assemblée était précédée d'un rituel religieux pour obtenir l'accord des dieux. Templum désigne d'abord l'espace rectangulaire que l'augure trace dans le ciel ( inauguration ) avec son bâton recourbé (lituus) et où il notera les passages d'oiseaux. Puis templum s'applique à la partie du ciel qui domine l'enceinte sacrée de Rome (pomoerium) au centre de laquelle se font ordinairement les observations des augures.
Et templum signifie demeure d'un dieu. Au calendrier républicain, il y 45 jours de fêtes religieuses, les fêtes fixes ( feriae stativae ) et mobiles ( feriae indictivae ). Encyclopédie Universalis. Poséidon. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Origine Avant que l'anthropomorphisme ne fasse de lui être un dieu de la mer, Poséidon semble avoir été un dieu chthonien lié au monde souterrain, porteur de mort et responsable des tremblements de terre, proche de la figure du dieu Hadès.
Son épithète d'« ébranleur du sol », attesté en Arcadie où son culte est le plus ancien, en fait un dieu ambivalent, responsable de catastrophes naturelles mais aussi du retour des eaux fécondantes du printemps[1]. Il est le dieu grec le plus fortement lié au cheval à travers ses mythes comme ses représentations. Toutefois, il ne semble pas issu d'un cheval divinisé, le totémisme étant inconnu en Grèce antique. Plus vraisemblablement, ses représentations hippomorphes servaient à mettre en relief les forces étranges et surhumaines qu'il contrôle[2]. Mythe Patronage de ville difficile Autour de Troie Après la guerre, le retour d'Ulysse est plutôt de bon augure. Vengeance contre Minos Protecteur divin Culte. Poseidon. Dans la mythologie grecque, Poséidon (Ποσειδων) était le dieu de la mer, de la navigation, des tempêtes, mais également des tremblements de terre. Il était le fils de Cronos et de Rhéa. Le nom de Poséidon semble dériver de la racine Ποτ, "être le maître", que l'on retrouve dans le latin potens "pouvoir".
Les anciens le rattachaient mot boisson ou fleuve mais cela semble plus douteux. Cette divinité essentiellement marine fait partie des douze Olympiens. Il fut assimilé à Neptune chez les Romains. Quand les trois frères se partagèrent le monde, il eut pour sa part l'empire des eaux aussi bien salées que douces. Neptune calmant les flots (1733) Lambert ADAM © Musée du Louvre Il a pour attributs: - le trident, - le dauphin, - le taureau, - le cheval qu'il aurait créé ou domestiqué. Le retour de Neptune COPLEY (1754) Metropolitan Museum of Art, N.Y. Egal de Zeus par la naissance et la dignité, Poséidon n'en était pas moins soumis à la puissance souveraine de son frère. POSÉIDON. Dans la mythologie grecque, Poséidon était le dieu de la mer et des eaux de manière générale ; il ne doit pas être confondu avec Pontos, la personnification de la mer et la plus ancienne divinité grecque des eaux.
Le nom de Poséidon signifie soit « époux de la terre », soit « seigneur de la terre ». Selon la tradition, il est le fils de Kronos, dieu suprême de la deuxième génération des dieux, et de Rhéa, déesse de la fertilité, ainsi que le frère de Zeus, chef des dieux de la troisième génération (les Olympiens), et d'Hadès, maître des Enfers.
Quand les trois frères déposent leur père, le sort attribue le royaume de la mer à Poséidon. Ce dernier est armé d'un trident, mais il était peut-être à l'origine muni d'une longue foène à poisson. Dessin PoséidonPoséidon est le frère de Zeus. Poséidon était également le dieu des séismes, et nombre de ses plus anciens lieux de culte implantés en Grèce se trouvaient à l'intérieur des terres. Universalis. Poséidon. Dieu grec des Mers, fils de Cronos et de Rhéa. Son nom était déjà connu à l'époque mycénienne, où ses attributions s'étendaient aussi aux tremblements de terre, aux chevaux, aux taureaux et aux vents. Époux d'Amphitrite, il engendra diverses créatures malfaisantes.
Il avait un palais au fond des mers sur lesquelles il régnait, le trident à la main. Frère de Zeus, il se présente avec un corps puissant et des traits majestueux qui imposent le respect, une admiration mêlée de crainte. À Athènes, Poséidon avait disputé le patronat de la ville à Athéna, et celle-ci l'avait emporté. Ses principaux lieux de culte dans le monde grec furent d'abord la Thessalie, puis Onchestos, Delphes, Athènes, Corinthe, Calaurie, Ténos, Délos, les caps (cap Sounion, près d'Athènes, cap Ténare, cap Triopion) et enfin toutes les côtes des mers grecques. Il était imploré par les marins, afin d'obtenir une bonne traversée. Pour en savoir plus, voir l'article mythologie grecque.