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AClasser Guerre Allemagne 39-45

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Goliath (Engin chenillé filoguidé) - Le robot de la 2ème guerre mondiale - Le blog de Milem - Partage de connaissance. Lundi 11 juin 2012 1 11 /06 /Juin /2012 10:51 Le Goliath est un petit engin chenillé filoguidé utilisé par la Wehrmacht lors de la Seconde Guerre mondiale.

Goliath (Engin chenillé filoguidé) - Le robot de la 2ème guerre mondiale - Le blog de Milem - Partage de connaissance

D’une masse de 365 kg a 430 kg selon les types, il disposait d'une charge d'explosifs de 60 à 100 kg, pouvant être actionnée à distance, afin de détruire un char ou une place fortifiée. Chaque Goliath était prévu pour être détruit avec sa cible. Vers 1940, après avoir récupéré près de la Seine un prototype de véhicule miniature développé par le concepteur français Adolphe Kégresse, le bureau de l'ordonnance de la Wehrmacht demanda le développement par la compagnie automobile Borgward de Brême d'un véhicule semblable afin de transporter des explosifs.

Le résultat fut le Sd.Kfz. 302 (Sonderkraftfahrzeug, « véhicule spécial ») appelé le Leichter Ladungsträger (« porteur de charge léger ») ou Goliath. Il est notamment connu pour avoir été présent sur les plages du débarquement. Opération Crossbow. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Opération Crossbow

Contexte[modifier | modifier le code] Le rôle de la résistance dans cette page de l'histoire est indéniable. Qu'il s'agisse des Polonais ou des Français, l'armée des ombres a démontré qu'on ne pouvait se passer d'elle et qu'elle pouvait mener des opérations d'espionnage. En effet, les reconnaissances aériennes démontrèrent la limite de leur efficacité, les allemands ayant camouflé leurs installations.

Jusque fin 1943, les services anglais et américains estimaient que ce type d’armes ne pouvait pas exister. En février 1944, les réseaux de résistance avertirent Londres que les Allemands avaient fait des essais réussis de V1 aéroportés qu’on lançait d’un avion. La dernière bombe tomba sur le village de Datchworth le 29 mars 1945. L’opération[modifier | modifier le code] L'objectif de ces opérations était multiple : détruire les rampes de lancement ;détruire les dépôts ;détruire les centres de production. Bilan[modifier | modifier le code] Massacre de tirailleurs en 1944: la France va donner les archives au Sénégal. Le président français François Hollande a rendu hommage aux tirailleurs, soldats africains dans l'armée coloniale française, et promis de donner au Sénégal "toutes les archives dont la France dispose" sur le massacre de dizaines de ces combattants en 1944 à Thiaroye, près de Dakar.

Massacre de tirailleurs en 1944: la France va donner les archives au Sénégal

"La France se souvient qu'en 1914 et en 1940, elle a pu compter sur le concours de nombreux Sénégalais enrôlés de gré ou de force sous le drapeau tricolore et dont le courage a permis à la France d'être ce qu'elle est aujourd'hui", a déclaré M. Hollande devant l'Assemblée nationale sénégalaise. "Par deux fois au cours du siècle dernier, le sang africain a été versé pour la liberté du monde. Nous ne l'oublierons jamais. Cette histoire a aussi sa part d'ombre", a-t-il ajouté. "La part d'ombre de notre histoire, c'est aussi la répression sanglante qui en 1944 au camp de Thiaroye provoqua la mort de 35 soldats africains qui s'étaient battus pour la France.

Transfert de 96 indésirables français du camp de Gurs à Nexon. Le camp de Gurs est connu pour avoir « accueilli », à partir du mois d’avril 1939, des républicains Espagnols puis des Juifs allemands, autrichiens et polonais.

Transfert de 96 indésirables français du camp de Gurs à Nexon

Il est moins connu pour avoir servi, du 21 juin au 6 novembre 1940, de lieu de repli à la prison militaire de Paris. Une autre période du camp béarnais reste à ce jour pratiquement méconnue, il s’agit de celle qui va du 8 juillet au 31 décembre 1940 et qui voit s’installer, à l’îlot D (baraques 17 à 20), le « Centre de séjour surveillé du camp de Gurs », prévu pour les « indésirables français » ayant fait l’objet de mesures d’internement administratif en vertu du décret du 18 novembre 1939. Le 30 décembre, 96 d’entre eux, internés politiques, sont transférés vers le camp de Nexon, en Haute-Vienne. Le lendemain 31 décembre, 23 autres « indésirables », tous qualifiés de « repris de justice », sont dirigés vers le centre de séjour surveillé de Sisteron, dans les Basses-Alpes.