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Economie

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Why 3-D Printing Will Go the Way of Virtual Reality. Update: Tim Maly has published an excellent counterpoint to this post over at the Tech Review Guest blog. There is a species of magical thinking practiced by geeks whose experience is computers and electronics—realms of infinite possibility that are purposely constrained from the messiness of the physical world—that is typical of Singularitarianism, mid-90s missives about the promise of virtual reality, and now, 3-D printing. As 3-D printers come within reach of the hobbyist—$1,100 for MakerBot’s Thing-O-Matic—and The Pirate Bay declares “physibles” the next frontier of piracy, I’m seeing usually level-headed thinkers like Clive Thompson and Tim Maly declare that the end of shipping is here and we should all start boning up on Cory Doctorow’s science fiction fantasies of a world in which any object can be rapidly synthesized with a little bit of energy and raw materials.

Let’s start with the mechanism. Most 3-D printers lay down thin layers of extruded plastic. [Dossier] Impression 3D, les grands gagnants émergent. Dans la continuité du dossier sur l’impression 3D, les grands perdants avaient déjà été mis en lumière. il devient possible de discerner également les acteurs qui seront les grands gagnants de ce qui devrait être une révolution industrielle et économique.

Dans le trio que composent les grands gagnants de l’impression 3D, on retrouve logiquement les maillons de la chaîne de fabrication, de production et d’alimentation. Certaines études montrent que le marché sur lequel se positionnent ces acteurs oscille entre 3 milliards de dollars en 2018 et 5,2 millards en 2020. Quoi qu’il en soit, l’industrie de l’impression 3D serait juteuse et profitable, d’où l’intérêt de détecter les grands gagnants… Les fabricants d’imprimantes 3D Deux leaders semblent s’imposer sur ce marché, tandis que beaucoup d’acteurs semblent s’intéresser à ce créneau juteux.

Les producteurs de fichiers 3D Le savoir-faire de ces concepteurs sera une des compétences les plus recherchées sur ce marché. Conclusion. Impression 3D : la nouvelle révolution industrielle. 01Business le 24/03/11 à 00h00 Du modèle 3D à l'objet physique en quelques clics, telle est la promesse de l'imprimante 3D. Inventé dans les années 80, le concept s'appuie sur la technique de la stéréolithographie (SLA). Son but : disposer d'une machine pouvant produire un objet de manière autonome, en lui soumettant simplement un fichier 3D réalisé avec un outil de CAO du marché.

Un outil de choix pour le marketing et le design Z Corporation, notamment, a acquis en 1995 une licence de la technologie d'impression mise au point par le MIT (Massachusetts Institute of Technology) : ses imprimantes ZPrinter réalisent une fabrication d'objets laminés en projetant un liant dans une poudre composite. Parmi les plus gros utilisateurs de ZPrinter figurent la marque de cosmétiques Ambers, qui valide ainsi ses flacons avant de lancer leur production, ou Reebok et Timberlake (voir ci-contre) qui impriment en 3D leurs prototypes de chaussures destinés aux sous-traitants asiatiques.

À grande échelle. L'impression 3D, ce sera formidable... s'ils ne foutent pas tout en l'air ! L’impression 3D est en train de naître sous nos yeux. Demain il sera ainsi possible de reproduire toute sorte d’objets chez nous aussi facilement, ou presque, qu’un texte numérique se couche sur le papier à l’aide de notre bonne vieille imprimante 2D. Les conséquences potentielles de la démocratisation d’un tel outil donnent le vertige et suscitent espoir et enthousiasme parmi les makers du monde entier[1] Pour rappel, l’impression 3D est une technique qui permet de produire un objet réel à partir d’un fichier CAO en le découpant en tranches puis en déposant ou solidifiant de la matière (plastique, cire, métal…) couche par couche pour, en fin de compte, obtenir la pièce terminée.

C’est l’empilement de ces couches qui crée un volume. Si le concept et la technologie vous semblent encore un peu obscurs, je vous invite à regarder cette courte vidéo. Pour le moment on se déplace donc chez ceux qui disposent d’une telle imprimante, imprimante encore rudimentaires dans ses possibilités. L'imprimante 3D, outil d'une nouvelle révolution industrielle ? Décoder, décrypter et répondre aux questions de votre quotidien numérique : l’Antisèche est votre rendez-vous régulier sur RSLN. Le monde du web existe selon ses propres règles et principes : participation, « open source », réplication infinie des informations… mais jusqu’où ces concepts pourront-ils, à l’avenir, quitter les écrans pour envahir le monde physique ? C’est la question qui passionne les « makers », ces accros de « fabrication personnelle » qui s'engagent dans le mouvement Do It Yourself (DIY). Ces « amateurs » se reconnaissent à leurs lieux de rendez-vous : fab labs, techshops, hacker spaces… mais aussi à leurs outils.

En particulier, l'imprimante 3D est l'une de ces inventions qui permettent de donner une existence concrète aux créations numériques : un concentré de technologie, pour aujourd'hui... et d'idéologie pour demain. > L'imprimante en trois dimensions, pour quoi faire ? L'imprimante 3D est une machine capable de fabriquer un objet à partir d'un fichier numérique. L’impression 3D est-elle le moteur de la fabrication de demain. « Il y a une sorte de pensée magique chez les geeks aujourd’hui autour de l’impression 3D », s’énerve Christopher Mims pour la Technology Review.

Alors que les imprimantes 3D deviennent accessibles aux amateurs – la Thing-o-Matic de MarkerBot ne coûte que 1 100 dollars – et que Pirate Bay estime que les « physibles » – les plans d’objets qu’on peut réaliser via des machines 3D et qui s’échangent dès à présent sur The Pirate Bay – sont la nouvelle frontière du piratage, des penseurs comme Tim Maly pensent que nous approchons de la fin de « l’expédition ». C’est-à-dire qu’il sera bientôt plus coûteux d’expédier une pièce depuis la Chine ou de n’importe quel endroit où elle est fabriquée, que de la fabriquer soi-même.

Les promesses de l’impression 3D Pourtant, Christopher Mems ne porte pas un regard hautain sur l’impression 3D. Et Christopher Mims de détailler les progrès qu’il y a encore à accomplir. La fabrication est plus complexe « Commençons par regarder le mécanisme.