Les Comptes RH à suivre absolument sur Twitter Flavien CHANTREL vient de publier hier sur son Blog "Le Blog du moderateur" une liste très exhaustive de comptes Twitter "Les Comptes Twitter à suivre absolument" et je suis très honoré d'en faire partie ! 180 Twittos sont ainsi mentionnés et répartis en 8 familles : "Travailleurs du Web", "Community Management", "Médias et Journalisme", "Veille", "Blogueurs", "Blogging/Référencement", "Emploi" et "Détente". Si je figure au sein de la famille "Emploi", au milieu de 28 Twittos, certains acteurs majeurs de l'Emploi et des Ressources Humaines n'y figurent pas et j'avais envie de vous les faire (re)découvrir !!! Voici donc 53 60 (53 + 5 "oublis" + 2 inclassables !) Accédant à l'interface d'administration de mon Blog sur un PC qui n'est pas le mien, cela bugue du côté des liens associés aux comptes, j'ai donc décidé de vous les livrer de façon un peu brute. Conseil Emploi @F_m_R @BeginWith @PierreDenier @ConseilEmploi @Helia_fr @zevillage @pretalemploi @CareersSocgen @expectra_emploi @doyoubuzz_fr @elaee
Un graveur laser à commande numérique à base de Raspberry Pi - Framboise 314, le Raspberry Pi à la sauce française.... J’ai récemment construit un mini graveur laser CNC (computer numerical control = à commande numérique) à l’aide de deux graveurs de DVD de récupération et moins de 10€ de pièces supplémentaires achetées sur eBay. Le contrôleur de la machine CNC est un Raspberry Pi, l’ordinateur à 35€ de la taille d’une carte de crédit. Le graveur se révèle être assez réussi. Il y a eu beaucoup d’exemples de personnes utilisant un Arduino pour de la commande numérique. J’ai choisi une approche différente en utilisant un Raspberry Pi. Il y a également des projets en cours de réalisation avec LinuxCNC sur le Raspberry Pi et une carte externe avec un PIC 32 pour contrôler la CNC. Je vais continuer à mettre à jour cet article et il devrait couvrir la totalité du projet, y compris le code de python. Vous trouverez de nombreux tutoriels en ligne (en images et en vidéo) pour cette première étape. Une diode laser est comme une LED, mais équipée d’une cavité résonnante. soit une batterie déchargée immédiatement.
Impression 3D le site dédié à l’impression 3D et aux imprimantes 3D Impression 3D : la nouvelle révolution industrielle 01Business le 24/03/11 à 00h00 Du modèle 3D à l'objet physique en quelques clics, telle est la promesse de l'imprimante 3D. Inventé dans les années 80, le concept s'appuie sur la technique de la stéréolithographie (SLA). Un outil de choix pour le marketing et le design Z Corporation, notamment, a acquis en 1995 une licence de la technologie d'impression mise au point par le MIT (Massachusetts Institute of Technology) : ses imprimantes ZPrinter réalisent une fabrication d'objets laminés en projetant un liant dans une poudre composite. Parmi les plus gros utilisateurs de ZPrinter figurent la marque de cosmétiques Ambers, qui valide ainsi ses flacons avant de lancer leur production, ou Reebok et Timberlake (voir ci-contre) qui impriment en 3D leurs prototypes de chaussures destinés aux sous-traitants asiatiques. Le procédé est simple d'emploi et sans danger : la machine se recharge avec des cartouches de matière. Toutefois, la surface des objets produits ainsi n'est pas parfaite.
L'impression en 3D, de plus en plus accessible L’impression 3D, ou la fabrication en quelques heures d’un objet à partir d’un modèle numérique, était il y a peu encore réservée aux entreprises désireuses de créer des prototypes. De plus en plus accessible, cette technique sert aussi aujourd’hui à réaliser des produits finis, qui représentent actuellement 20% des impressions 3D et atteindront 50% d’ici 2020, d’après The Economist. Désormais, cette innovation gagne le grand public. "Tout le monde veut des produits personnalisés" Pour fabriquer l’objet dont le modèle 3D est chargé dans l’ordinateur relié à l’imprimante, celle-ci dépose une poudre de polyamide en très fines couches successives solidifiées par laser suivant la forme de l’objet désiré. Pour Clément Moreau, directeur général de Sculpteo, l’impression 3D va se développer car "les technologies d’impression 3D ont beaucoup évolué et font de beaux objets, qui ne se cassent pas, la 3D virtuelle devient plus familière, et tout le monde veut des produits personnalisés."
Adrian Johns Article Deux séances. Groupes de trois à quatre élèves. Objectif : Découvrir un algorithme et se poser la question de sa correction. Compétences travaillées : • Mettre au point et exécuter un algorithme ; • Rechercher des contre-exemples ; • Adapter un algorithme Ça y est, nous avons trouvé (et formulé) un algorithme qui semble fonctionner parfaitement puisqu’il sʼadapte à tous les exemples que nous lui proposons. Baseball à plusieurs bases Dans cette version très particulière du baseball, des pions de couleur doivent retrouver leur base. Principe de l’impression 3D - Impression 3D le site dédié à l’impression 3D et aux imprimantes 3D L’impression 3D permet de générer rapidement une pièce physique à partir d’un fichier CAO en le découpant en tranches puis en déposant ou solidifiant de la matière couche par couche pour, en fin de compte, obtenir la pièce terminée. Le principe est donc assez proche de celui d’une imprimante 2D classique Pour certaines, les buses utilisées sont d’ailleurs identiques aux imprimantes de bureau. C’est l’empilement de ces couches qui crée un volume. Il existe différentes technologies d’impression 3D professionnel allant d’un prix de 15 000 euros à 100 000 euros : Impression 3d technologie Modelage par jets multiples Impression 3d par collage de poudre Impression 3d par depot de fil de résine Impression 3d parflashage UV de couche de résine liquide
L'imprimante 3D, outil d'une nouvelle révolution industrielle ? Décoder, décrypter et répondre aux questions de votre quotidien numérique : l’Antisèche est votre rendez-vous régulier sur RSLN. Le monde du web existe selon ses propres règles et principes : participation, « open source », réplication infinie des informations… mais jusqu’où ces concepts pourront-ils, à l’avenir, quitter les écrans pour envahir le monde physique ? C’est la question qui passionne les « makers », ces accros de « fabrication personnelle » qui s'engagent dans le mouvement Do It Yourself (DIY). Ces « amateurs » se reconnaissent à leurs lieux de rendez-vous : fab labs, techshops, hacker spaces… mais aussi à leurs outils. En particulier, l'imprimante 3D est l'une de ces inventions qui permettent de donner une existence concrète aux créations numériques : un concentré de technologie, pour aujourd'hui... et d'idéologie pour demain. > L'imprimante en trois dimensions, pour quoi faire ? L'imprimante 3D est une machine capable de fabriquer un objet à partir d'un fichier numérique.
Matin Première : les imprimantes 3D vont-elles changer le monde ? - RTBF Matin premiere Les imprimantes 3D vont-elles changer le monde ? Certains parlent d’une véritable révolution industrielle. D’autres nuancent. La technologie n’est pas neuve mais elle se démocratise. Copier des objets simples en trois dimensions devient à la portée de la plupart des particuliers. Des pièces très complexes - comme des implants, des outils chirurgicaux ou des armes - sont dupliqués par de plus en plus d’entreprises. Deux invités pour en parler : Thierry Dormal, du centre de recherche Sirris, qui exploite une quinzaine d’imprimantes à Liège et Charleroi. Bouchaib Samawi, directeur de Droit et devoir, une entreprise de formation par le travail à Mons qui croit au potentiel de l’impression 3D, notamment en matière de création d’emploi en Belgique.
Les Fab Labs, ou le néo-artisanat Fabriquer soi-même ce dont on a besoin, réparer, au lieu de consommer des objets que l'on jette au moindre dysfonctionnement : tel est le programme des FabLabs, nés au début des années 2000 au MIT grâce au physicien Neil Gershenfeld. Dans Tintin et le lac aux requins, le professeur Tournesol invente un engin révolutionnaire : le photocopieur en trois dimensions. On met un objet d’un côté, un peu de pâte de l’autre et en un tournemain l’original est reproduit à l’identique. Une telle machine existe depuis quelques années sur un principe pas très éloigné de ce qu’avait imaginé Hergé. On charge un modèle 3D dans la mémoire d’une imprimante qui, point par point, dépose des morceaux de colle, de plastique, de métal ou même de sucre selon les coordonnées spécifiées et recommence à l’étage suivant jusqu’à obtenir, par stratification, un objet en relief. Mais c’est un cours d’EMT deluxe, car il naît dans une grande université américaine, le Massachussetts Institute of Technology. illustir
Algorithmique Pour exposer les bases de la programmation, nous utiliserons un « pseudo-langage » dont les instructions sont en français. Bien qu'on ne puisse pas le faire "tourner " sur un ordinateur, ce pseudo-langage est suffisamment proche d'un langage informatique pour qu'on puisse transcrire facilement les programmes élaborés avec lui dans un « vrai » langage de programmation. Comme premier exemple, voici un programme tout simple qui permet de calculer le périmètre et l'aire d'un disque : 1 AFFICHER "Quel est le rayon du disque ?" 2 LIRE rayon 3 pi=3.14 4 perimetre=2*pi*rayon 5 aire=pi*rayon^2 6 AFFICHER "périmètre=", perimetre 7 AFFICHER "aire=", aire Ce programme se présente comme un texte composé de 7 lignes numérotées de 1 à 7 (les numéros ne font pas partie du programme). 1°) Les lignes 1 et 2 servent à l'entrée du rayon du disque qui est la seule donnée utilisée par le programme. Le texte " Quel est le rayon du disque ?" L'instruction LIRE de la ligne un triple rôle : 4 POUR i=1, 2, ......, 5 :
Play-Doh 3D Printer : l’impression 3D en pâte à modeler À chaque 1er avril, c’est toujours la même chose, internet est rempli de poissons (certains se sont même cachés sur MacPlus, saurez-vous les découvrir ?). Mais on guette immanquablement la création du distributeur ThinkGeek, qui est toujours très réaliste - et qui aboutit parfois à une création réelle, comme la borne d’arcade iCade. En ira t-il de même cette fois avec le Play-Doh 3D Printer ? L’idée est en tout cas excellente. ThinkGeek propose ce qui n’est autre qu’une imprimante 3D, mais… en pâte à modeler. Source - Contenu anglais