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Les trois miracles Geek. Il s’est produit à partir des années 50 aux Etats Unis un mouvement rapprochant des hommes et des ordinateurs. Le mouvement s’est accéléré les années suivantes et une nouvelle figure a commencé à émerger : le Geek.. Elle s’est cristallisée autour des ordinateurs et les matières numériques qu’ils produisent et a explosé avec l’arrivée de l’informatique personnelle. Je fais l’hypothèse que l’informatique personnelle, et toute l’industrie qui en découle, procède de la mise en culture de quelques uns de traits spécifiques. Le Geek est finalement celui qui mêle la technologie numérique avec un imaginaire issu de l’heroic fantasy, de la science fiction, ou des comics, le tout avec une pointe d’humour Nous devons trois miracles aux geeks.

D’abord, les geeks ont pressenti et mis en œuvre des choses impensées à l’époque. Ce sont eux qui ont avancé l’idée qu’il est possible de créer de la beauté avec des ordinateurs. WordPress: J'aime chargement… "T'es geek, toi ?" (11) : David Peyron, doctorant en sciences de l'information et de la communication. Onzième épisode de notre série d'interviews centrées sur le mot « geek » et ses multiples définitions. Après Tristan Nitot, Fanny Bouton, Erwan Cario, le collectif GANG, Arnaud Bordas, Laurent François, Remouk, Eni_kao, Korben et Tristan Schulmann, voici les réponses de David Peyron, dont le titre officiel a fait mal à votre lecteur de flux RSS ;).

Pour faire plus simple, David prépare une thèse sur la "culture geek" à l'université Lyon 3. Son regard sur le sujet n'est donc plus du domaine du témoignage, mais bien de celui du chercheur. Suivez le geek: c'est quoi un geek pour toi ? David Peyron : Le geek c'est d'abord un stéréotype, c'est-à-dire une représentation sociale à propos d'un type d'individu ou d'un groupe. Ce stéréotype s'est figé dans les années 70 dans les campus américains par la convergence de plusieurs éléments.

On peut ainsi tenter de résumer la culture geek à partir de quelques concepts : Convergence, Expertise et Immersion. Second élément : l'expertise. T'es geek, toi ? Transmédia: le PAF se déchaîne. Observatoire Transmedia » The rabbit hole | L'actualité de la communication transmedia. Spotlight on Digital Media and Learning. On storyworlds, immersive media, narrative and museums – an interview with Mike Jones. Back when I was working at the Powerhouse Museum, Mike Jones worked in the SoundHouse VectorLab (now called Thinkspace) teaching young people and adults, alike, how to tell stories with digital media. After a few years, Mike left to pursue a role at the Australian Film TV and Radio School (AFTRS), and a deep study of video games. As I’ve been thinking about cross-media storytelling and the ways in which museum experiences and exhibitions are becoming more ‘theatrical’, I thought it made sense to get Mike’s thoughts on the matter.

F&N – You’ve worked in a museum for a while so you know the scene. It must be of interest, and perhaps mirth, that museums seem to have cottoned on the idea that ‘story’ matters. But it is obviously more complicated than that. What have you been doing since? I’m now working with a newly formed company in the UK called Portal Entertainment that produces Immersive and Interactive Thriller and Horror experiences for touch-screen and mobile devices.

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