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Projet numérique start up

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Qu’est-ce que la French Tech ? Notre définition d'une startup Une start-up est une jeune entreprise avec une ambition mondiale à la recherche d’un modèle économique qui lui assurera une croissance forte et rapide, ou une entreprise qui a grandi avec un tel modèle. Les start-up accélèrent l'innovation dans tous les secteurs d’activité ; leur valeur repose toute ou partie sur le numérique comme dans les technologies de la santé (medtech), les technologies vertes (cleantech), les biotechnologies (biotech), la finance (fintech) ou encore dans les entreprises industrielles.

Parce qu’elles prennent des risques en explorant de nouveaux produits ou services, celles qui réussissent deviennent très rapidement des entreprises internationales de plusieurs centaines voire milliers de collaborateurs. Une initiative de l’Etat Convaincu qu’il faut favoriser en France l’émergence de start-up à succès pour générer de la valeur économique et des emplois, le Gouvernement a créé l’Initiative French Tech fin 2013.

Avignon | Avignon : le 4e Salon du numérique booste la création de start-up. Notre région est devenue le nouvel Eldorado des start-up. Mais depuis un an, notre département peut se targuer d'être le premier en France à accélérer le développement de toutes celles qui veulent allier culture et numérique", lance le président d'Avignon Delta Numérique, Aliocha Iordanoff, fondateur du Salon co-organisé avec l'Université d'Avignon, la CCI de Vaucluse et French Tech Culture Avignon-Provence. Un Salon conçu comme "le carrefour des entreprises locales innovantes et un coup de projecteur sur l'écosystème qu'elles forment à travers, pour et par la filière 2.0".

Avec 500 firmes présentes et autant de visiteurs durant les 15 tables-rondes et ateliers, la grande nouveauté de cette année a tenu en deux mots : "speed recrutement", laissant libre cours à des rencontres au sommet, entre porteurs de projets et investisseurs. Hier, les particules fines de l'innovation ont donc passé la vitesse supérieure dans cet espace public-privé d'avenir. La "Villa Supramuros" pour la rentrée. CES 2016 : un tremplin pour LabOxy. Benjamin Néel a eu l'occasion de présenter la plate-forme LabOxy et le simulateur du CIR (Crédit Impôt Recherche) « CIRmulator » lors du CES de Las Vegas et la semaine fut plus que positive pour la startup nimoise.

Faisant partie de la délégation française, il a pu échanger avec les entreprises innovantes de la French Tech. Des échanges très constructifs, qui devraient aboutir sur une dizaine de contrats supplémentaires au 1er trimestre 2016. Il a pu aussi rencontrer les responsables R&D des plus grandes structures françaises (ENGIE, Michelin), mais aussi les acteurs principaux de l'économie française comme Pierre Gattaz (Medef) ou Laurent Baudart (Syntec Numérique). Benjamin a également eu l'occasion d'échanger et de réaliser une démonstration du CIRmulator (le simulateur de CIR) à Emmanuel Macron qui a accueilli le produit très positivement. Benjamin Néel et Emmanuel Macron au CES LabOxy, la startup du CIR. Nîmes : jackpot à Las Vegas pour LabOxy.

Et dire qu'il ne devait même pas y aller ! Benjamin Néel, président de la jeune start-up nîmoise LabOxy, a été le dernier à monter dans l'avion pour Las Vegas. Direction le Consumer Electronic Show (CES), premier salon de l'innovation technologique au monde ! Ce voyage était une récompense pour la start-up, vainqueur à l'unanimité du concours Pitch_up, organisé par l'agence de développement économique de Nîmes Métropole, Openîmes, le 12 novembre. Soit moins de deux mois avant le grand show US. Un maximum de contacts "Contrairement aux vingt-cinq autres start-up de la région, nous n'exposions pas, explique Benjamin Néel, 36 ans.

"Nous avons tout ce qu’il faut pour nous développer ici" Benjamin Néel, jeune président de LabOxy, revient sur son parcours et celui de sa start-up, installée au parc Georges-Besse. Quel est votre parcours ? J’ai fait Normale Sup puis un doctorat de cancérologie. Quand est né LabOxy ? On l’a fondé en mai 2014 avec Christel Barbagelata (aujourd’hui codirigeante).

Numérique - Canopé - académie d'Aix-Marseille. Trois types de services se complètent les services à distance permettant la consultation, la réservation et le prêt (via un portail documentaire) ; les services au sein des Ateliers Canopé, proposant des rendez-vous professionnels ainsi qu’une médiation documentaire pour les particuliers et les groupes de travail ; les services in situ, pour accompagner les enseignants et les chefs d’établissement dans la sélection et les usages des ressources au sein de leur établissement. Sur place, les sites des quatre départements se sont engagés dans une rénovation de leurs services et l’aménagement de nouveaux espaces ouverts à la créativité, à l’expérimentation, à la formation et aux échanges autour des nouvelles pratiques : les Ateliers Canopé. Un portail de ressources numériques gratuit Pour préparer votre rentrée, inscrivez-vous à notre espace Éducation numérique en ligne : sites, articles, ebooks, presse en ligne...

Transition numérique : faut-il un nouveau manager ?Transformation digitale des organisations. Transition numérique : faut-il un nouveau manager ? Cette question est effectivement légitime puisque la transition numérique est bien un des principaux sujets de préoccupation des entreprises. Cette transformation des modes d’organisation, des rapports humains en interne, des relations commerciales, imposent nécessairement de revoir le modèle managérial. Une conviction que Cécile Dejoux, connue pour son MOOC « du manager au leader » et moi-même partageons ici. Bonjour Cécile, ton ouvrage « Management et leadership » s’ouvre sur un chapitre intitulé « Manager au siècle du digital, un métier ou un talent ». Manager au siècle du digital est un métier car cela nécessite d’intégrer des pratiques, de les mettre en œuvre, de passer des étapes d’apprentissage, d’être coaché ou de copier des managers modèles.

Manager au siècle du digital est également un talent à acquérir ou à développer. Il ne s’agit plus de statut mais de différents rôles à jouer suivant le contexte. Le management à l'épreuve de la révolution digitale. Le numérique transforme les pratiques de management. Le digital transforme l'ensemble des métiers, les compétences à valoriser et évidemment le rôle du manager. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Anne Rodier La connexion permanente du cadre stressé au bout de son smartphone, la généralisation des réseaux sociaux en entreprises, les problèmes juridiques de gestion du temps de travail effectif lorsque la frontière devient floue entre vie privée et vie professionnelle... Ce n'est que le sommet de l'iceberg des transformations introduites dans l'entreprise par l'ère numérique. Le digital transforme l'ensemble des métiers, les compétences à valoriser et évidemment le rôle du manager. Une fois les réseaux sociaux mis en place, c'est la gestion électronique des processus qui est à organiser, puis le e-learning pour compléter les modes traditionnels de la formation professionnelle, et en parallèle la stratégie de recrutement digital.

Lire aussi Droit à la déconnexion : inventer un nouveau modèle de gouvernance. Le numérique va à nouveau révolutionner le management. En 68, parmi bien d’autres revendications, s’est exprimé un refus véhément du travail en miettes, des tâches répétitives et, comme on disait « aliénantes ». La contestation s’est focalisée, non sans raison, sur le travail à la chaîne , en qui s’incarnait tous les défauts d’un mode de production daté. La pyramide hiérarchique, elle aussi, a fait l’objet d’une contestation : souvenez-vous de la lutte des maos contre les « petits chefs ». L’Organisation scientifique du travail, théorisée par Frederick Taylor avant la guerre de 14, arrivait manifestement à son niveau d’obsolescence. Au cours des décennies suivantes, mieux formées, les nouvelles générations, aspirèrent à davantage d’initiative. Ce qui a rencontré l’intérêt bien compris des entreprises. Après avoir traîné des pieds, elles réalisèrent qu’elles avaient tout à gagner à la remontée d’informations dans la perspective des politiques de « zéro défaut ».

D’où une nouvelle vague de lassitude et de mécontentements.