background preloader

Comportement consommateurs

Facebook Twitter

Les urbains et la consommation collaborative. Favorisées par l'essor d'Internet et du Web 2.0, les pratiques dites de consommation collaborative (cf dossier dans Marketing Magazine) se sont multipliées et intensifiées au cours des dernières années. Locations entre particuliers, achats groupés, troc, partage de biens ou de services : autant de pratiques qui se répandent dans la société française, et notamment dans ses grandes villes. Pour mieux comprendre l'émergence et le sens de ces nouveaux modes de consommation, iligo a choisi d'interroger un échantillon représentatif d'urbains (*). Comment les urbains perçoivent-ils la consommation collaborative ? Quelles motivations, quelles valeurs fondent, selon eux, ces pratiques ? Des urbains majoritairement intéressés par les achats groupés de produits alimentaires, les vide-dressing ou encore le covoiturage Largement expérimenté depuis une dizaine d'années via les AMAP, l'achat groupé de produits alimentaires s'impose à la première place des pratiques suscitant l'intérêt des urbains.

4 pages_conso_emergentes.pdf (Objet application/pdf) Luxe & Génération Y. Le développement durable, un luxe pour les précaires ? Franck Duriez (Blancheporte) : "Le pouvoir d'achat des seniors en fait un levier de croissance" Le directeur général de l'e-commerçant explique pourquoi il lance une offre mobile avec NRJ Mobile, et décrypte le comportement des seniors sur le Web. Pourquoi avoir décidé vous diversifier et de lancer cette offre mobile en partenariat avec NRJ Mobile ? Nous sommes spécialisés dans les jeunes seniors entre 50 et 65 ans, une population que nous connaissons parfaitement et pour qui nous sommes crédibles. Nous avons donc voulu surfer sur la notoriété de notre marque, sur nos bases de données clients(presque l'ensemble des foyers de jeunes seniors) et sur le trafic important qui transite par notre site.

Cela s'est traduit dans un premier temps par le lancement de notre place de marché, un espace bons-plans proposant des articles adaptés autres que l'habillement à notre clientèle. Quelles sont les critères pris en compte par ces mobinautes seniors au moment de l'acte d'achat ? Quelles sont justement les spécificités de cette génération dans son usage du digital ? De plus en plus. AUTREMENT C’EST MAINTENANT ! Cette année la Typologie des consommateurs présente une démarche exploratoire avec l’IME (Institut de Médecine Environnementale) et utilise les neurosciences afin de mieux comprendre les leviers de changement des Français pour un développement durable.

Bonne nouvelle ! Les Français sont encore plus nombreux à se sentir concernés, à être impliqués dans le changement et à choisir un mode de consommation plus qualitatif. A la recherche de plus de bien-être et d’équilibre, en demande d’autrement, regroupant les différents types de consommateurs les plus engagés passe de 40 à 47% de la population. La famille des consommateurs dans le « déni », moins sensible et sans volonté de changement, ne représente « plus que » 29% de la population (vs 35% en 2011).

Majoritairement motivés par la recherche de bien-être et d’équilibre, de plus en plus de jeunes et d’hommes s’engagent dans une consommation qualitative. Consulter l’intégralité de l’Etude Consultez la présentation ppt Article de La Tribune. Obs-ok.pdf (Objet application/pdf) Vendre autrement pour séduire les seniors, Vendre autrement pour séduire les seniors. Trois questions à Jérôme Touchebœuf, président de la délégation Customer Marketing de l'AACC et directeur général de FullSIX. MDOnline : Pourquoi la délégation Marketing Services de l’AACC est-elle devenue Customer Marketing ?

Jérôme Touchebœuf : La délégation Marketing Services de l’AACC s’appelle maintenant Customer Marketing afin de mieux correspondre aux agences qui la compose. En effet, l’évolution du consommateur et de ses attentes nécessite une adaptation des professionnels de la communication et du marketing. Outre les compétences “corporate” et “branding”, il existe l’expertise “customer”, que l’individu soit prospect, shopper, client, ambassadeur, ou consommateur. Il s’agit d’établir une communication relationnelle approfondie entre le consommateur et les marques.

On remarque qu’au sein de l’AACC, le marketing relationnel est très dynamique : les entreprises qui exercent cette activité ont vu leurs recrutements augmenter de 18 % entre 2009 et 2010. MD : Quelles sont les principales revendications des consommateurs aujourd’hui ? RapportwebVF-2010.pdf (Objet application/pdf) 301-1-document_file.pdf (Objet application/pdf) La consommation responsable : un acte individualiste ? "La pollution vient en tête des craintes environnementales" Que signifie aujourd'hui consommer mieux ? Selon notre baromètre, pour 45 % des Français, cela veut dire consommer des produits soit labelisés, soit certifiés, soit source de moins de pollution quant aux matières premières utilisées ou encore générant moins de déchets d'emballage. Nous constatons que cet appétit à acheter des produits de meilleure qualité environnementale et/ou sociale est une tendance lourde exprimée depuis six ans que le baromètre existe.

Quel est le premier motif d'achat : le coût du produit ou sa qualité écologique ? On constate globalement cette année, un transfert des achats vers une consommation plus qualitative. Quelles sont les inquiétudes qu'expriment les Français ? Il y a une nouveauté cette année puisque c'est la pollution qui est en tête des craintes pour 45 % des Français alors que précédemment c'était la pénurie d'eau qui inquiètait le plus.

Quelles types d'informations réclament en priorité les consommateurs ? On a cette année une inversion de tendance. Les Free Lifers Rene Duringer Dec2010 Free Lifers. Les consommateurs se fient aux avis d'autres clients. Sincérité et Facebook créent du lien avec les clients potentiels. Pour créer un lien avec les consommateurs, les entreprises ont tout intérêt à solliciter leurs conseils, affirme une équipe de chercheurs américains. Pour cela, les réseaux sociaux sont l'outil idéal. « Les professionnels du marketing et les ONG demandent régulièrement leur avis à leurs consommateurs ou à leurs donateurs pour une myriade de raisons différentes », affirment un duo de chercheurs de l’université de Californie et de la Northwestern University.

Dans une étude à paraître dans le Journal of Consumer Research, ils expliquent que le plus efficace pour s’attirer la sympathie des consommateurs consiste à leur demander conseil. « Les gens se sentent plus proches des entreprises et des ONG qui leur demandent leur avis », affirment les auteurs. Ce qui ne signifie pas que cette sympathie augmente la probabilité de l'acte d'achat. « A l’inverse, demander quelles sont leurs attentes vis-à-vis de l’entreprise peut créer de la distance avec des clients potentiels ».

R270.pdf (Objet application/pdf)