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Laposte.net. Far west john ford. La prisonniere du desert 1. Travailler sur les médias à partir de « Lucky Luke, Le Daily Star » au niveau collège en EMC (Education Morale et Civique) La Conquête de l’Ouest américain, la période qui va de 1820 au début XXe siècle avec l’arrivée de l’automobile et donc la fin de domination sans partage du cheval, est peu, voire pas du tout, traitée dans les programmes d’Histoire du secondaire.

Travailler sur les médias à partir de « Lucky Luke, Le Daily Star » au niveau collège en EMC (Education Morale et Civique)

Les élèves étudient la guerre d’indépendance, ses causes et ses conséquences, et ne retrouvent en cours d’Histoire la première puissance économique mondiale que pour son rôle dans la révolution industrielle puis lors de la Première Guerre mondiale. C’est pour cette raison que pour le sixième numéro du webzine Cases d’Histoire nous délaisserons, pour une fois, la discipline purement historique pour proposer des pistes pédagogiques dans un enseignement très souvent confié aux professeurs d’histoire-géographie : l’éducation morale et civique (EMC). Notre proposition se base sur l’excellent travail de Daniel Salles. La fabrication du journal : étude de la couverture du Daily Star On rappellera donc aux élèves le principe de l’impression. Mbar mythologie ouest. L'Homme qui tua Liberty Valance - Film de John Ford - Critique. Film de John Ford Titre original : The Man Who Shot Liberty Valance Année de sortie : 1962 Pays : États-Unis Scénario : James Warner Bellah et Willis Goldbeck, d’après la nouvelle de Dorothy M.

L'Homme qui tua Liberty Valance - Film de John Ford - Critique

Johnson Photographie : William H. Clothier Montage : Otho Lovering Avec : James Stewart, John Wayne, Vera Miles, Lee Marvin, Edmond O’Brien, Woody Strode, Andy Devine, John Carradine, Lee Van Cleef Tom Doniphon : Liberty Valance is the toughest man south of the Picketwire. Next to me. La charge héroïque. Humaniste, touchant et dynamique, La charge héroïque se compte parmi les plus beaux monuments du western classique.

La charge héroïque

Un vibrant hommage de John Ford à la cavalerie dont on ne se lasse pas. L’argument : En 1876, après la défaite et la mort de Custer, dix mille Indiens commencent à se réunir pour marcher contre les Blancs. Le capitaine Nathan Brittles, à quelques jours de la retraite, effectue sa dernière patrouille. Ce sera un échec complet, car à cause de la femme et de la nièce du commandant du fort qu’il doit mener à la diligence, il ne pourra prendre le risque d’empêcher les Indiens de faire leur jonction, de s’approvisionner en fusils auprès d’un trafiquant d’armes et de massacrer des planteurs.

Mais, durant les dernières minutes de son commandement, Brittles effectue un raid audacieux contre le camp où se sont regroupés des milliers d’Indiens et il met en fuite leurs chevaux, évitant ainsi une guerre sanglante. Bagarre de saloon, extrait de La Charge Héroïque. Musique+Cinéma : She wore a Yellow Ribbon - La Charge héroïque (+ Lyrics) Musique+Cinéma : Fort Apache - Le Massacre de Fort Apache.

La Prisonnière du désert : un film raciste ? La Prisonnière du désert : les Comanches dans nos têtes. Conférence de Jean-François Rauger - Cinémathèque française. Wayne - La prisonnière du désert (1) "La Prisonnière du Désert" présenté par Jean Douchet. La folle chevauchée, extrait de La Chevauchée fantastique. La chevauchée fantastique (film 1939) - Western - Critique. DE FORD À EASTWOOD, JUSTICE ET DÉMOCRATIE EN AMÉRIQUE. John Ford et les Indiens: La reconquête de l'Ouest.

Très bien documenté, l'ouvrage d'Arnaud Balvay et Nicolas Cabos raconte l'âge d'or du western et rend hommage au peuple Navajo.

John Ford et les Indiens: La reconquête de l'Ouest

Connu pour avoir un «caractère de bouledogue», John Ford, disparu en 1973, ne s'est pas fait que des amis dans le métier. Il s'est toutefois beaucoup attaché aux Indiens qu'il a employés dans une dizaine de ses films, sans compter ses nombreux courts-métrages. Des Navajos pour l'essentiel, qui l'ont accueilli à Monument Valley, leur vallée sacrée devenue l'un des endroits de prédilection du maître du western. Certains «acteurs» amérindiens, comme les frères Stanley et Many Mules, sont devenus des vedettes au même titre que John Wayne, l'un des acteurs fétiches de Ford depuis La Chevauchée fantastique (1938).

Rétrospective John Ford. Étalée sur cinq décennies, l’œuvre de John Ford est un monument aux entrées multiples, une cathédrale aux travées innombrables.

Rétrospective John Ford

Aussi, face à elle, a-t-on le sentiment qu’il serait non seulement impossible d’en venir à bout mais aussi incongru de prétendre lui donner un sens à la fois définitif et global. Le cinéma de John Ford échappe à toute réduction idéologique. C’est sans doute en raison de cela qu’on a souvent voulu ou pu coller à l’auteur de Stagecoach toute sorte d’étiquettes faciles, en faire l’incarnation, à chaque fois idéale, d’hétérogènes catégories cinématographiques ou morales, variables selon les périodes de sa carrière : réalisateur de films de prestige à Oscars, maître du western, progressiste rooseveltien, militariste conservateur, grand classique ou moderne brechtien.

Chacun son Ford, serait-il possible de décréter, tant l’intérêt pour son œuvre s’est scindée au cours de son histoire en jugements antinomiques. Pauvre, catholique et irlandais Être ou agir. John FORD. Analyse : L'Homme qui tua Liberty Valance, sorti en DVD. A propos de John Ford par Bertrand Tavernier. Document sans nom. Un film américain de FORD John Couleurs, western , 1956, À partir de huit ans du CE2 au CM2.

Document sans nom

Trois ans après la guerre de Sécession, Ethan Edwards revient auprès des siens. Son frère, Aaron, sa belle-sœur, Martha, ses nièces, Lucy et Debbie et son neveu, Ben, vivent dans un ranch implanté dans un désert. La F brisee Dossier peda Ac Nantes. Western : un cas type de genre "national" Parmi les genres cinématographiques, peu d'entre eux peuvent se ramener à l'expression d'un territoire et d'une histoire précises.

Western : un cas type de genre "national"

Si des films - notamment les films historiques, reflètent, représentent, veulent se placer... dans une période et un cadre... historique précis, un ensemble important de films nombreux est plutôt rares. Ils existent bien entendu, mais de façon nettement moins typée et cadrée que le western, genre américain par excellence (enfin, d'une certaine Amérique...), pensons au genre des films de samouraï ou de manière un peu plus relâchée au genre des films de cape et d'épée qui couvre une très large période (de la fin du moyen-Age à l'aube des Temps Modernes) et qui peut caractériser une Europe occidentale. Cultures & Cinémas - Café cinéma _ LE GENRE : Le Western. Le western est l’essence même des Etats-Unis d’Amérique .Les Etats-Unis sont un état jeune.

Cultures & Cinémas - Café cinéma _ LE GENRE : Le Western

Son histoire remonte à moins de 250 ans. Il a une histoire courte et comme tout état il lui faut une histoire. La notion de frontière dès les premiers émigrés du May Flower, fait partie intégrante de la mentalité américaine. Ainsi tout au long de son histoire, les Américains n’auront de cesse que de repousser ces frontières. Autour de "La prisonnière du désert"- Pédagogie - Direction des services départementaux de l’éducation nationale du 16. L’Homme qui tua Liberty Valance, un film de John Ford. La patte d’un maître est rapidement reconnaissable, même aux yeux les moins informés.

L’Homme qui tua Liberty Valance, un film de John Ford

Avec Ford, quelques éléments suffisent : de vieux compagnons de route (John Wayne, Woody Strode), un noir et blanc lumineux, une flambée de personnages secondaires, un humour finement intégré à l’histoire. L’Homme qui tua Liberty Valance contient tout cela à la fois. C’est une œuvre d’un classicisme absolu, qui détonne par rapport à l’époque : les années 1960. Est-ce à dire que John Ford était en retard avec son temps ? La complexité de la symbolique qu’il développe dans ce dernier chef-d’œuvre tend bien entendu à prouver le contraire... L’histoire du film est d’une simplicité confondante, presque anecdotique.

La prisonniere du desert.compressed. La Prisonnière du désert de John Ford (1956) - Analyse et critique du film. Comanche de George Sherman sortait sur les écrans américains quasiment en même temps que La Prisonnière du désert.

La Prisonnière du désert de John Ford (1956) - Analyse et critique du film

Les amoureux du premier film soutinrent qu’il pâtit du succès du western de John Ford, ce qui eut pour résultat qu’il fut non seulement passé sous silence mais qu’il demeure encore aujourd’hui totalement oublié. Le fait qu’il soit largement occulté par rapport à son illustre "jumeau de sortie" peut néanmoins s’expliquer d’une manière bien plus simple, mais nous n’allons pas ici éreinter une nouvelle fois le film de George Sherman d’autant que ce réalisateur, au vu de l’ensemble de sa carrière, était loin de mériter le mépris avec lequel il a longtemps été jugé notamment en France. Mais si j’ai commencé par parler de ces deux westerns sortis tous deux en mars 1956, c’est qu’ils ont un autre point commun bien plus intéressant que leur date d’exploitation quasi identique.

La prisonnière du désert The Searchers John Ford.mp4. John ford. Une comparaison : L’homme qui tua Liberty Valance / The Man who shot Liberty (...) - Portail des vidéos de l'Université de La Rochelle. Libertyvalance. Prisonnieredudesert. Thematiquefordintro. CINEPHAGEMANIAC: L'HOMME QUI TUA LIBERTY VALANCE DE JOHN FORD. Pour moi "L'homme qui tua Liberty Valance" est le plus grand western de tous les temps, et qui signait pourtant, la fin du western classique, avec indiens, cavalerie et bon sentiments. C’est aussi un film sur le mensonge, ou le héros n’est pas celui qu’on pense, car il détient le pouvoir de justice, mais un obscure cow-boy qui à mis sa vie en danger, pour sauver la ville de Liberty Valance. Ce film apparait quelques années avant l’ère du Western spaghettis, qui marquera la fin du western verion US avant que Eastwood et Costner, nous livre leurs œuvres.

Drôle de voir dans un petit rôle Lee Van Cleef, futur vedette des films Leone. SORTIE DU FILM : 22 Avril 1962 (USA) et 3 Octobre 1962 (France) Synopsis. L'HOMME QUI TUA LIBERTY VALANCE. Sans titre. L'Homme qui tua Liberty Valance de John Ford (1962) - Analyse et critique du film. L’Homme qui tua Liberty Valance (The Man Who Shot Liberty Valance). Placé sous le double signe d’un passé révolu (tua / shot) et d’un long flash-back, le film de John Ford est un portrait crépusculaire des Etats-Unis. Ce n’est pas un hasard si une bonne moitié du film se déroule de nuit : l’Ouest, tel que le cinéma de Ford nous l’a maintes fois représenté, vit ses derniers instants ; les shérifs peu à peu remplacés par des hommes de loi, les colts par des livres de droit, la diligence par le chemin de fer. C’est à la naissance d’un pays et de son Histoire que nous convie ici le cinéaste, mais aussi et surtout à la mort d’une certaine idée de l’Ouest, du western, et de son cinéma…

L'Homme qui tua Liberty Valance, ou la constitution imaginaire du peuple. Le texte qui suit se propose d’engager une réflexion de philosophie politique, telle qu’elle peut être engagée à partir du film de Ford, sans prétendre en proposer une interprétation exhaustive. D’autres questionnements que ceux qui sont soulevés ici sont possibles, et les commentaires sur ce film sont légion [1][1] Je voudrais mentionner en premier lieu le livre de.... Je ne me fonderai pas sur le statut respectif de chacun des trois personnages principaux, Ransom Stoddard (James Stewart), Tom Doniphon (John Wayne), Liberty Valance (Lee Marvin), mais plutôt sur les situations dans lesquelles ils se trouvent impliqués et qu’ils contribuent à modifier par leur action.

L’action proprement dite se déroulera en ville, la plupart du temps dans un lieu clos, souvent de nuit. Autant d’éléments qui empruntent plus au film noir qu’au western. Quelle est la question de philosophie politique posée par le film ? L'homme qui tua Liberty Valance (film 1962) - Western - L'essentiel. L'homme qui tua Liberty Valance de John Ford. L'homme qui tua Liberty Valance. L'Homme qui tua Liberty Valance - Film de John Ford - Critique.

Le western - Analyse de deux séquences - Classe Ciné Passion - Lycée Jean Renoir, Bondy (93)