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Habitat autogéré

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BâtiCités à la pointe du locavesting à la française. Le locavesting est un concept théorisé par la New-Yorkaise Amy Cortese*, pour qui l'avenir réside dans l'investissement local, soutenu par une communauté de citoyens coopérant pour donner vie à un autre type d'économie.

BâtiCités à la pointe du locavesting à la française

Il suffit d'investir dans la bourse à "Wall Street" explique-t-elle dans son livre Locavesting: The Revolution in Local Investing and How to Profit from It, il est temps d'investir dans "Main Street", d'inventer des circuits courts financiers et de suivre l'argent plus facilement. En France, l'entreprise Bâti-Cités promeut exactement ce type d'investissement citoyen pour soutenir le développement d'habitats écologiques, participatifs en favorisant la mixité par un apport de fonds et des montages financiers adaptés. Constituée en SAS corporative à but non lucratif, Bâti-Cités met en relation des citoyens soucieux de donner du sens à leur épargne avec des porteurs de projets d’habitats qui répondent aux enjeux environnementaux et sociétaux actuels. Conseil en Immobilier Collaboratif.

Projets

Faire le choix de son chez-soi : l’avenir de l’habitat participatif. « impRessions Urbaines. Sortir du marché privé de logement « Vous avez un budget restreint mais l’envie forte de devenir propriétaire dans la maison ou l’appartement de vos rêves ?

Faire le choix de son chez-soi : l’avenir de l’habitat participatif. « impRessions Urbaines

Logement participatif, une révolution pour l'habitat ? L’habitat participatif représente, en pleine crise du logement, une alternative originale aux formules de promotion classiques.

Logement participatif, une révolution pour l'habitat ?

Développé en Allemagne, en Suisse et dans les pays du Nord, le concept refait son apparition en France après plus de 20 ans d’absence. A l’avant-garde, des Epl se lancent dans l’expérience comme à Toulouse (Oppidea), à Mulhouse (Serm 68), et à La Réunion (SIDR). Un article de Patrick Cros/Naja publié le 14 février 2012 sur. Les coopératives d'habitants. Selon un rapport de l'ONU de 2010, ce sont 800 millions de personnes qui vivent dans un habitat « irrégulier », un « slum » (bidonville).

Les coopératives d'habitants

Le CLIP, autogéré et antispéculatif. Encore en chantier, les initiatives CLIP ont pour but de construire un parc immobilier à propriété d’usage antispéculatif et autogéré.

Le CLIP, autogéré et antispéculatif

À ce jour, on en compte deux à Paris, « Zelda » et « Chez Louise et Michel ». L’innovation réside ici dans un autre rapport à la propriété, qui n’est perçue qu’en terme d’usage. Les gens du CLIP ont conçu un modèle de coopérative d’habitants adapté du Miethäuser Syndikat en Allemagne, dont l’origine remonte aux squats des années 70 et 80. Réunis d’abord en collectif informel depuis fin 2005, l’objectif commun de cette vingtaine de personnes est « de créer un réseau d’organisation globale du logement autour de la notion de propriété d’usage et de l’habitat » nous dit Aurélie, impliquée dans l’initiative Chez Louise et Michel. Appellations peu contrôlées (JP Garnier) Pendant longtemps, les termes « anarchiste » et « libertaire » ont été indissociables aux yeux des militants, qui les revendiquaient pour définir leur positionnement dans le champ politique, ou, plus exactement, en dehors et en rupture avec lui dès lors qu’il était confondu avec la scène politicienne.

Appellations peu contrôlées (JP Garnier)

Il en allait de même pour ceux qui les combattaient ou les réprouvaient : outre les gardiens officiels de l’ordre bourgeois, les membres des autres partis, de gauche ou de droite, les journalistes de toutes obédiences et l’« opinion publique » formatée par les uns et les autres s’accordaient à mettre anarchistes et libertaires dans le même sac. De nos jours, cette association de mots n’a rien perdu de sa pertinence pour les intéressés, même s’ils tiennent à préciser, comme ils l’ont toujours fait, en quoi et pourquoi ces dénominations ne sont pas pour autant synonymes. Taille de l’article complet : 2 277 mots. Vous êtes abonné(e) ? Vous n'êtes pas abonné(e) ? Accès sans abonnement. L'habitat coopératif bobo - une utopie urbaine. Un préalable pour comprendre la suite : la propriété est collective.

L'habitat coopératif bobo - une utopie urbaine

Au Village Vertical, les habitants qui se nomment eux-mêmes les « Villageois », ont une double casquette : ils sont d’une part locataires de la coopérative de 14 logements, et d’autre part coopérateurs, c’est-à-dire détenteurs du capital de la société coopérative qui est l’unique propriétaire. Dossier Habitat alternatif. Futurs habitants de la coopérative Le Grand Portail, lors de la pose de la première pierre, à Nanterre (92), 3 décembre 2011. © Hervé Saillet ▼ Voir le sommaire du dossier ▼ À la marge des deux secteurs historiques dominants, la promotion immobilière privée et le secteur social, c’est un véritable essaim d’initiatives qui se développe, visant à financer, construire et/ou vivre le logement autrement.

Dossier Habitat alternatif

Des petits ensembles d’une dizaine de logements, le plus souvent à la pointe des exigences environnementales en matière de construction et dotés d’espaces partagés (salle commune, buanderie, jardin partagé etc.), ont ainsi vu le jour récemment. L'autogestion généralisée. Contre le mythe autogestionnaire. Utopies et avant-gardes.