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Mode et Peinture 1 ère partie - Site Pouchet du CNRS. L’opéra, miroir du pouvoir. 28 juin 1669.

L’opéra, miroir du pouvoir

Louis XIV signe les « lettres patentes » donnant au poète Pierre Perrin le monopole des spectacles en musique « à Paris et dans tout le royaume ». Un privilège exorbitant dont le bénéficiaire ne jouira que quelques années. Chronique musicale, La 15 October 1873 — Princeton Blue Mountain collection. LUDOVIC GELLER a décrit, dans un intéressant volume, les décors, les costumes et la mise en scène an dixseptième siècle, (i) Après avoir fait connaître 1 historique des représentations italiennes qui ont servi de modèle aux nôtres, les machines théâtrales, les ballets delà minorité de Louis XIV, etc., il s'arrête au moment où l'opéra est constitué et devient un spectacle régulier.

Chronique musicale, La 15 October 1873 — Princeton Blue Mountain collection

C'est à cette époque que nous commencerons, renvoyant le lecteur, pour l'étude des origines, au livre de M. Celler, aux recueils gravés de Burnacini et de Torelli, et à un curieux volume, conservé au département des manuscrits de la Bibliothèque nationale, intitule : Mémoire de plusieurs décorations qui serue aux pièces contenus en ce présent liure, commancépar Laurent Mahelot et continué par Michel Laurent en ïannée i6y3. À des portants, roulant dans le dessous sur un chariot qu'un tour de treuil fait avancer ou reculer.

L'opéra merveilleux : machines ou effets spéciaux ? - Mezetulle. L’opéra merveilleux de la France classique (de Lully à Rameau) pose des questions analogues à celles que posent aujourd’hui le cinéma de science-fiction, d’anticipation et le cinéma fantastique : celles de la présentation réelle d’un monde possible.

L'opéra merveilleux : machines ou effets spéciaux ? - Mezetulle

Il les résout, comme on sait, par le recours à des machines qui réalisent une physique romancée. Serait-ce une esthétique des effets spéciaux ? On s’interroge ici sur la pertinence et les limites de cette analogie1. Notice bibliographique Recueil général des opéra représentez par l'Académie Royale de Musique depuis son établissement. Conservation-et-entretien-des-livres. 1669, la naissance de l'Académie royale de Musique (1/16) Perspektiven der Edition musikdramatischer Texte. Pendants temporels : deux moments d’une histoire - - Pendants temporels - - artifexinopere. Dans ce type de pendant, les deux panneaux illustrent les deux moments d’une histoire.

Pendants temporels : deux moments d’une histoire - - Pendants temporels - - artifexinopere

Francesco de Rimini, 1440-50, Louvre, Paris Dans le retable des Douze scènes de la vie de la Vierge, ces deux panneaux juxtaposés utilisent le même décor pour montrer deux moments successifs, comme dans un dessin animé : la fillette en bas de l’escalier, encouragée par ses parents ;la fillette au milieu de l’escalier : en bas Joachim s’est redressé et en haut le grand prêtre s’est avancé à sa rencontre. Mais pourquoi le commanditaire a-t-il jugé bon de consacrer deux panneaux sur douze à des scènes si peu différentes ?

Il faut pour le comprendre revenir au texte : Ce que le retable veut mettre en évidence, c’est l’extraordinaire maturité de Marie, qui ne se retourne pas vers ses parents au moment où elle est offerte définitivement à Dieu. « Et ses parents descendirent, admirant et louant Dieu de ce que l’enfant ne s’était pas retournée vers eux. » Proto-évangile de Jacques, chapitre VIII. Un air d’Italie. L’Opéra de Paris de Louis XIV à la Révolution - Expositions - Visites. Entretien avec Jérôme de la Gorce, directeur de recherche au CNRS, et Pierre Jugie, conservateur en chef à la section ancienne des Archives Nationales. Jérôme de la Gorce & Pierre Jugie © Muse Baroque, 2011 “Monter une exposition, c’est comme créer un spectacle…”L’exposition “Dans l’atelier des Menus Plaisirs du roi.

Entretien avec Jérôme de la Gorce, directeur de recherche au CNRS, et Pierre Jugie, conservateur en chef à la section ancienne des Archives Nationales

Spectacles, fêtes et cérémonies aux XVIIe et XVIIIe siècles.” qui s’est tenue aux Archives nationales du 19 janvier au 24 avril 2011 a permis de ressembler une centaine de pièces exceptionnelles (croquis, dessins et gravures…) issue de l’Atelier des Menus Plaisirs du Roi. Le recueil de Décors et Machines de Théâtre (Réserve Tb-6 +) : fééries d’opéra au département des Estampes et de la Photographie – Ad vivum. Le recueil des Décors et Machines de Théâtre contient des dessins et estampes dont la plupart ne sont ni signés ni datés.

Le recueil de Décors et Machines de Théâtre (Réserve Tb-6 +) : fééries d’opéra au département des Estampes et de la Photographie – Ad vivum

La plupart semble se concentrer sur une période allant du milieu du XVIIe siècle à la fin du XVIIIe siècle. Il s’agit essentiellement de représentations de décors dont il est difficile de statuer s’il s’agit de projets ayant servi à la confection desdits décors ou d’un relevé ultérieur de ces décors devant servir à en garder la trace, que ce soit pour un remploi au sein de l’atelier ou pour un particulier. La plupart de ces dessins sont réalisés à la sanguine ou à la plume. Ils sont parfois rehaussés à l’aquarelle. Un certain nombre semble avoir été réalisé par un principe de calque d’un original ou grâce au report par symétrie d’une moitié du dessin. L’intérêt de ce recueil repose sur le fait qu’il rassemble un vaste corpus de décors et de machines de théâtre.

Particulièrement intéressant sont les dessins de machinerie de théâtre attribués à Jean Berain. L'opéra merveilleux : machines ou effets spéciaux ? - Mezetulle. Pour une poétique des machines d’opéra. Les articles de Louis de Cahusac dans l’Encyclopédie (1753–1756) Cette édition des articles de Louis de Cahusac pour l’Encyclopédie dirigée par Diderot et d’Alembert souhaite donner accès à une pensée originale du spectacle lyrique au milieu du XVIIIe siècle, dans un contexte critique hostile au merveilleux scénique.

Pour une poétique des machines d’opéra. Les articles de Louis de Cahusac dans l’Encyclopédie (1753–1756)

Entre Baroque et Lumières : Saint-Évremond (1614-1703) - Sophia : les machines de l’opéra - Presses universitaires de Caen. 1 Saint-Évremond, Sur les opera, in Œuvres en prose, R.

Entre Baroque et Lumières : Saint-Évremond (1614-1703) - Sophia : les machines de l’opéra - Presses universitaires de Caen

Ternois (éd.), Paris, Didier, Société des tex (...) Persée armé de pied en cap : réécritures lyrique et parodique sur la scène française (XVIIe-XVIIIe siècles) 228 3.

Persée armé de pied en cap : réécritures lyrique et parodique sur la scène française (XVIIe-XVIIIe siècles)

Voir Le Blanc (2009). 4. Dervaux (1997, p. 824). 5. «Très courtes réflexions sur la parodie » par M. F. L. Un air d’Italie. L’Opéra de Paris de Louis XIV à la Révolution - Expositions - Visites - Opéra national de Paris. Sans titre. 1 Goubert P., Mazarin, Fayard, 1990, p. 459. 1Le ballet de cour saluait parfois les succès diplomatiques par des vers en langue étrangère.

sans titre

À partir de François Ier, les échanges musicaux entre les cours de France et d’Italie s’accélérèrent, stimulés par le choix d’une Florentine, Catherine de Médicis comme épouse d’Henri II, par le mariage d’Henri IV et Marie de Médicis, enfin par la venue de troupes de comédiens bouffons, les « Gelosi » et les « Fedeli ». Entre Rome et Paris, « la galaxie Mazarin » favorisa l’essor du « baroque mazarinesque » en architecture et la constitution d’une troupe italienne de musiciens, librettistes, chanteurs et décorateurs1.

La Finta Pazza vénitienne de F. Sans titre. Molière's Satiric Use of the "Deus Ex Machina in Tartuffe" on JSTOR.