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Philo / idées

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Présentation de la Revue Sommaire. Accueil > Paradoxalement peut-être – eu égard à son nom la revue Agôn est née de la volonté de créer un espace de dialogue et de rencontre entre différentes pratiques et théories des arts de la scène. Point de face à face, ou de postures inconciliables, Agôn fait le pari du partage et de sa mise en jeu : dialogue des pratiques, d’abord, celles de la scène, celles qui se frottent au plateau, à l’espace et au corps, celles aussi qui se plongent dans le texte, dans la tissure des voix et dans la forme dramatique ; dialogue, ensuite, des horizons et des approches dans le croisement des champs d’étude et des disciplines ; dialogue enfin des histoires et des voix, avec pour ambition de faire se mêler des contributions et des entretiens, des articles et des pratiques, leurs échos et leurs retours.

[lire la suite] L ' A C A D E M O S. Solipsisme. Définition[modifier | modifier le code] Le doute chez Descartes[modifier | modifier le code] L'utilisation du doute hyperbolique, qui fonde le cogito ergo sum (je pense donc je suis), par Descartes dans le Discours de la Méthode (1637), l'a exposé à des accusations de solipsisme. Toutefois, si le cogito suffit à fonder, par une expérience de pensée, la certitude subjective de l'existence du sujet pensant, il ne suffit en aucun cas à fonder la réalité absolue de la substance pensante.

En effet, seul Dieu pourrait être un tel fondement cela, par sa création continuée. Selon une interprétation, dominante dans l'histoire de la philosophie, Descartes préfigurerait ainsi l'avènement de la subjectivité dans la philosophie moderne, c'est-à-dire de la conscience de soi (Hegel attribuait l'émergence de celle-ci au christianisme). L'idéalisme empiriste de Berkeley[modifier | modifier le code] Le solipsisme dans le Tractatus logico-philosophicus de Wittgenstein[modifier | modifier le code] Kraus, M. Le thomisme: introduction à la philosophie de Saint Thomas d'Aquin - Etienne Gilson. Les forums Passerelles EJE / référentiel de jeux et "activités" en crèche. Idées d'activités Les astérisques désignent les activités faisant appel à la motricité fine Collage : quoi ?

- motifs (serviettes en papier, animaux ou formes prédécoupées…)- poudres colorées ou sels colorés *- confettis (saupoudrer) *- semoule (saupoudrer) *- riz (saupoudrer) *- farine (saupoudrer) *- coton- pelures de taille crayon- grains de café- papier déchiré- plumes- laine- tissus- paillettes (saupoudrer) *- gommettes *- une épaisseur de PQ ou de serviette en papier- natures mortes : feuilles mortes, écorces, brins d’herbes, aiguilles de pin…- … Peinture : avec quoi ?

Peinture : variantes - peinture & produit vaisselle (mélanger de la peinture liquide à du produit vaisselle. . - peinture propre : poser une grande feuille de papier au sol, y disposer plusieurs noix de peinture à différents endroits de la feuille, et poser un film plastique par dessus. Supports (pour collage, peinture, crayonnage... Manipulations - patouille : mélanger de l'eau et de la maïzena. . - la pâte à modeler. Baruch Spinoza.

Phénoménologie

Distinction entre acte et puissance. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La distinction entre acte et puissance, ainsi que la notion d'entéléchie, remontent à Aristote. Histoire de ces concepts[modifier | modifier le code] Aristote[modifier | modifier le code] La puissance (en grec dunamis ou dynamis, δύναμις) est chez Aristote associée à la matière, alors que l'acte relève plutôt des causes formelles et finales (voir Causalité aristotélicienne). La puissance représente donc l'indéterminé et le possible : un bloc de marbre recèle en puissance une infinité de statues, mais une seule en émergera. Quant à l'entéléchie, elle est souvent difficile à distinguer de l'acte dans les textes d'Aristote. Entendons la puissance comme l'agissement, en cela elle se rapproche de la conception aristotélicienne.

L'idéalisme et la puissance font-ils bon ménage ? Thomisme[modifier | modifier le code] Leibniz[modifier | modifier le code] Driesch et Carnap[modifier | modifier le code] À quoi Carnap riposta à son tour que : Entretien d'explicitation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’entretien d’explicitation est un entretien qui vise une description aussi fine que possible d'une activité passée, réalisée par une personne en situation de pratique professionnelle ou engagée dans la réalisation d'une tâche.

Élaboré par le psychologue et chercheur Pierre Vermersch (CNRS, GREX), cet ensemble de techniques permet d'accéder à des dimensions du vécu de l'action qui ne sont pas immédiatement présentes à la conscience de la personne. Le but de cet entretien est de s’informer, à la fois de ce qui s’est réellement passé ainsi que des connaissances implicites inscrites dans cette action. Historique de l'entretien d'explicitation[modifier | modifier le code] Les préoccupations de Pierre Vermersch rencontrent celles des praticiens. Il crée en 1990 un Groupe de Recherche sur l’Explicitation, le GREX, où il développe, outre la formation à l’entretien d’explicitation, un programme de recherche. Annexes[modifier | modifier le code] Emmanuel Kant. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Emmanuel Kant Philosophe occidental Époque moderne Biographie[modifier | modifier le code] Emmanuel Kant naît en 1724 à Königsberg en Prusse-Orientale (actuellement Kaliningrad en Russie) dans un milieu modeste : son père, d'origine écossaise, est sellier, et sa mère, décrite par Kant comme une femme très intelligente, est foncièrement piétiste. Il est le quatrième d'une famille de onze enfants. C'est là qu'il découvre Newton et la physique, preuve selon lui qu'une science a priori de la nature est possible (c’est-à-dire les mathématiques et la physique)[2]. En 1746, la mort de son père l’oblige à interrompre ses études pour donner des cours : il est engagé comme précepteur par des familles aisées et il accomplit cette tâche durant neuf ans. En 1755, il obtient une promotion universitaire et une habilitation grâce à une dissertation sur les principes premiers de la connaissance métaphysique.

Philosophie[modifier | modifier le code] La leçon inaugurale de Jean-Marc Monteil. "Du vrai, du beau, du bien", par Jean-Pierre Changeux.