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LGBTphobies

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Le lesbianisme ou l'amour entre femmes dans l'histoire. Aujourd’hui je vous parle de meufs qui s’aiment, qui se galochent et même qui couchent ensemble depuis des siècles et des siècles.

Le lesbianisme ou l'amour entre femmes dans l'histoire

Les lesbiennes ont toujours été effacées dans l’histoire, sauf lorsqu’il était question de les foutre au bûcher, comme les sorcières. Aujourd’hui, je vous raconte l’histoire du lesbianisme en Occident et puis plus particulièrement en France. N’en déplaise à Sens Commun, la manif pour tous ou autres étroits d’esprit, le lesbianisme (et l’homosexualité en général) n’est pas récente et n’est pas non plus une question de mode. Eh oui, les femmes entre-elles peuvent s’aimer et elles le font depuis la nuit des temps. Nous n’avons aucune preuve de la présence du lesbianisme durant la préhistoire, ben ouais, les sources écrites sont plutôt rares, les peintures s’effacent mais durant l’antiquité les choses s’arrangent. Mais la lesbienne la plus célèbre de la période antique n’est autre que Sappho ! Ça a fait grincer des dents. Oui, «PD», c’est homophobe.

A l'occasion de la journée internationale de lutte contre l'homophobie, nous republions cet article sur l'utilisation du terme «PD» et sur les conséquences que cela peut engendrer.

Oui, «PD», c’est homophobe

Vous l’avez sûrement déjà vu passer tant elle est devenue virale: une décision du Conseil des prud’hommes de Paris, qui considère que le terme de «PD» adressé à un coiffeur n’est pas homophobe, a fait bondir la twittosphère. Postée par le journaliste Mathieu Brancourt, voilà ce qu’elle disait: «En se plaçant dans le contexte du milieu de la coiffure, le Conseil considère que le terme de “PD” employé par la manager ne peut être reconnu comme propos homophobe car il est reconnu que les salons de coiffure emploient régulièrement des personnes homosexuelles notamment dans les salons de coiffure féminins, sans que cela ne pose de problèmes.» L’injure en question était contenue dans un SMS envoyé par erreur par la patronne de l’employé.

REPORT: How the Broken Criminal Justice System Fails LGBT Americans. A new report on the incarceration of lesbian, gay, bisexual, and transgender Americans and how the nation’s criminal justice system treats LGBT people shows how they are disproportionately imprisoned and face abuse behind bars.

REPORT: How the Broken Criminal Justice System Fails LGBT Americans

The study's authors, the Center for American Progress in conjunction with the Movement Advancement Project and in partnership with other groups, found that LGBT people are more likely than the average American to interact with law enforcement and to have their lives “criminalized” as a result of what the groups call “pervasive stigma and discrimination, biased enforcement of laws, and discriminatory policing strategies.” “It used to be a crime to be LGBT in the United States,” said Ineke Mushovic, executive director of the Movement Advancement Project. “And while police are no longer raiding gay bars, LGBT people, especially LGBT people of color, are still disproportionately pushed into the criminal justice system. Says Laura E. REPORT: How the Broken Criminal Justice System Fails LGBT Americans.

Gtddhomooriginbd. SOS Homophobie et la banlieue. Partie 2 Le déni de la stigmatisation SOS homophobie est une association qui entretient des liens spécifiques avec les autorités publiques, les administrations et les médias.

SOS Homophobie et la banlieue

Si elle se tient à la disposition de personnes en difficultés à travers la ligne d’écoute anonyme, c’est également à ces structures-là que sont destinées ses productions. Le fonctionnement de ces dernières aura donc toutes les chances de peser sur le registre de discours de l’association. L’apparition du « Groupe Banlieue » ne peut ainsi pas être appréhendée en dehors du contexte socio-politique qui plaçait les banlieues françaises sur le devant de la scène politique et médiatique en 2004 et 2005 [2] . « De quoi parlent les interlocuteurs et de quoi ne parlent-ils pas ? Homosexuels des villes, homophobes des banlieues. En 2009 paraissaient deux essais sur l’homosexualité dans les banlieues.

Homosexuels des villes, homophobes des banlieues

Homo-ghetto [1], l’ouvrage de Franck Chaumont paru le 1er octobre, décrit dans son sous-titre « gays et lesbiennes dans les cités » comme « les clandestins de la République ». En décembre, Un homo dans la cité [2], témoignage de Brahim Naït-Balk rédigé avec Florence Assouline, n’hésite pas à évoquer « la descente aux enfers puis la libération d’un homosexuel de culture maghrébine ». Entretemps, une affaire largement médiatisée est venue alimenter ce discours. Le 3 octobre, un club de football, le Bebel Créteil, prévenait en effet le Paris Foot Gay de son refus de jouer un match prévu : « Désolé, mais par rapport au nom de votre équipe et conformément aux principes de notre équipe, qui est une équipe de musulmans pratiquants, nous ne pouvons jouer contre vous. » Rapport annuel 2015. Homo-ghetto: Gays et lesbiennes dans les cités : les clandestins de la ... - Franck CHAUMONT. Homosexualité des bobos, homophobie des prolos ? Par Gaël Klement Sous un intitulé volontairement provocateur, cet article a pour objectif de déconstruire une série de préjugés tenaces, y compris dans les milieux militants, en mettant en évidence les véritables liens entre l’homosexualité, l’homophobie et les classes sociales.

Homosexualité des bobos, homophobie des prolos ?