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L'isolement - Pouvoir et société. L'isolement social est la situation d'une personne que l'on éloigne de la societé, des autres groupes sociaux. Il y a une minimisation de la communication causé par la séparation physique ou social entre les individus. Les liens sociaux d'internet sont attractifs car ils sont ludiques, convivials et interactifs. Les moyens et outils de communication ne manquent pas. En effet, grâce aux différentes plates-formes d'internet les individus peuvent tout faire en restant connecté. Le risque est qu'internet est extrèmement addictif et influe sur le comportement des internautes, ils ont donc souvent tendance à se renfermer dans un monde virtuel et s'éloignent de la réalité pouvant aller jusqu'à risquer de perdre tout contact physique avec les individus qui les entourent.

Il suffit de naviguer quelque temps sur internet, pour se rendre compte que cette activité à un effet de désorientation. Internet peut donc causer une déconnection total entre un utilisateur et le monde réel. Les raisons. Test d'addiction à Internet. Le Test d'addiction à Internet, publié par la psychologue Kimberly S. Young en 19981, demeure encore aujourd'hui le test le plus couramment utilisé dans la recherche en psychologie sur l'usage problématique d'Internet (une expression de plus en plus adoptée plutôt que celle d'addiction ou de dépendance à Internet).

Un usage problématique est un usage excessif, parfois qualifié de compulsif, qui entraîne des conséquences négatives dans la vie de la personne. Ce test repose sur une définition de l'usage problématique inspiré de la définition de l'addiction (dépendance) à une substance et du jeu pathologique du DSM-IV2. Il n'est pas présenté ici dans une perspective d'évaluation clinique (et ce d'autant plus que cette traduction n'a pas été validée expérimentalement) mais plutôt dans le but d'informer sur les progrès de la recherche scientifique en psychologie et de favoriser la réflexion.

Pour les 20 questions qui suivront, indiquez à quelle fréquence vous êtes concerné(e). Connecté, mais seul ... "Génération écran" : gérer la connexion de nos enfants. Les jeunes qui sont nés à partir de 1995 ont toujours baigné dans le 2.0. C’est la génération "écran", familière avec le monde virtuel même si elle n’en maîtrise pas forcément tous les rouages. En moyenne, les 9-16 ans passent deux heures par jour sur internet auxquelles s’ajoutent deux heures par jour devant la télé (source : rapport France EU-Kids).

De plus en plus tôt, de plus en plus virtuoses "À trois ans, un enfant sait faire la différence entre fiction et réalité et peut aisément commencer à jouer sur une tablette", explique Michael Stora, psychologue clinicien pour enfants et adolescents. "Les ados, eux, lorsqu’ils sont sur un ordinateur, jonglent entre plusieurs fenêtres, peuvent tenir une conversation de visu tout en surfant sur internet, écrire des SMS sur leurs portables et suivre une série à la télé ou encore jouer en ligne", observe Eric Delcroix, maître de conférence spécialisé dans les réseaux sociaux. Et il faut être cohérent ! Les écrans et les enfants: le coût caché de l'exposition précoce.

Par Geneviève Guérin, analyste-recherchiste dossier devenir et être parents à l’ASPQ, et Jacques Brodeur, conseiller en éducation médiatique et promotion de saines habitudes de vie Tous les intervenants en santé publique connaissent le lien entre sédentarité et obésité. Qui n'a pas remarqué que l'activité sédentaire la plus courante chez les enfants et les adolescents est la télévision? La télé seulement? Non, puisqu'au cours de la dernière décennie, d'autres écrans sont venus capter l'attention des enfants et des ados: les jeux vidéo, l'ordinateur, la tablette numérique et les petits écrans tels que DS et téléphones intelligents font plus que jamais partie de leur vie.

Que disent les experts? Le temps-écrans en chiffres Combien de temps par jour les jeunes consacrent-ils aux écrans? En 2012, Jeunes en Forme Canada a additionné le temps passé devant tous les écrans: un total de plus de 7 heures par jour. 2. 3. 4. 5. Mais comment procéder pour reprendre le contrôle du robinet? L'addiction aux nouvelles technologies bientôt un problème de santé publique. Une étude réalisée par l'Université de Cambridge (Royaume Uni) a démontré que plus d'un tiers des personnes se sentent "dépassées" par la technologie. Les chercheurs établissent un lien entre ce sentiment et l'addiction aux smartphones. Si plus d'un tiers des personnes interrogées se sent "dépassé" par la technologie, le chiffre est encore plus élevé pour les enfants : 43%.

A peu près autant de répondants ont indiqué tenter de limiter leur utilisation des médias sociaux. Pour les chercheurs, les parents comme les enfants, doivent trouver un moyen de limiter l'impact des nouvelles technologies sur leurs vies. Un processus semblable à un régime. De plus, comme pour la nourriture, les jeunes copient le comportement de leurs aînés. Et si les parents n'installent pas de barrières, des problèmes peuvent surgir, si aucune règle n'est établie (quand accéder à l'ordinateur, comment, pour combien de temps, etc.). Cyberdépendance(s) - Tous addicts ? Les opinions et vues exposées dans les articles lecteurs ne reflètent pas forcément celles de la rédaction de Gameblog. C'est en lisant une news en une de Gameblog intitulée "Accro à Internet ? Vous pouvez désormais vous faire soigner" (03/09/13) que je me suis souvenu avoir écrit un article traitant de la cyberdépendance.

Hors du champ strict des JV, je me permets malgré tout de le publier ici. Bonne lecture ! Selon une évaluation datant du mois d'août 2012, plus de 2,5 milliards de personnes à travers le monde sont connectées à Internet. En 2007, ce chiffre s'élevait à 1,25 milliard. L'accès à l'outil informatique se démocratisant en même temps que les modalité d'accès au réseau des réseaux, le nombre de personnes connectées va en grandissant de manière exponentielle. En prenant en compte le fait que plusieurs personnes partagent une même connexion, nous pouvons aisément conclure qu'une majeure partie de nos concitoyens surfe sur internet de manière plus ou moins régulière. Conclusion 1. 27.%20TRIFFAUX%20Cyber%20%286%29.pdf. Il n’y a pas d’addiction aux objets numeriques. C’est aussi simple que cela.

J’ai participé à l’émission Le téléphone sonne : “Smartphones et réseaux sociaux: les nouvelles addictions” et j’ai été assez surpris de constater qu’il y avait encore un discours culpabilisant et pathologisant sur les objets numériques. J’ai pu entendre du docteur Willam Olivenstein Lowenstein que l’effet de ces objets était comme la cocaïne. Que les mondes numériques étaient des mondes de la stimulation perpétuelle et de la vitesse. Que 5% des jeunes joueurs de jeux vidéo développaient une addiction. Si j’étais américain, je dirais que c’est de la “bullshit psychiatry”. En français, on pourrait dire “psychiatrie de bazar” Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques. La première clinique pour “dépendance aux jeux video” a été ouverte en Hollande en 2006 par le Smith and Jones Centre, un centre de traitement pour les toxicomanes.

Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques. Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques, c’est aussi simple que cela. WordPress: J'aime chargement… Cyberdépendance. Cyberdépendance(s) - Tous addicts ? Hi-Tech : Usages des nouvelles technologies : Quelles limites à l’addiction ? Le développement de l’usage des nouvelles technologies, de l’internet et des jeux vidéo engendrent des comportements de dépendance poussée, notamment auprès des jeunes usagers, plus exposés aux méfaits de tels abus.

Ce sont les jeux vidéo qui font l’actualité cette semaine, non pas pour des performances ludiques ou marketing mais pour les histoires vécues par des jeunes poussés à l’extrême dans leur comportement de consommateur. Il y a cette histoire rapportée par le site 01net.com d’un jeune norvégien d’à peine 14 ans qui a sombré pendant 13 jours dans un coma après avoir passé près de 16 heures aux manettes d’un jeu vidéo. « Après avoir passé 13 jours à l’hôpital, le jeune garçon doit continuer à prendre des médicaments pour contrôler sa pression sanguine. Son état devrait à termes revenir à la normal », souligne 01net.com qui reprend les propos du médecin traitant du jeune homme qui a déclaré aux journalistes : « Sa vie a été sévèrement mise en danger. :. La Cyberdépendance, cyberaddiction, Net addiction: une addiction aux effets néfastes? .: