background preloader

Almonok

Facebook Twitter

Crypto-monnaies

Courbe de Bézier. Les courbes de Bézier sont des courbes polynomiales paramétriques développées pour concevoir des pièces de carrosserie d'automobiles.

Courbe de Bézier

Elles ont été conçues par Paul de Casteljau en 1959 pour Citroën et, indépendamment, par Pierre Bézier en 1962 pour Renault (les travaux de Paul de Casteljau étaient confidentiels et c'est le nom de Bézier qui est passé à la postérité). Elles ont de nombreuses applications dans la synthèse d'images et le rendu de polices de caractères. Elles ont donné naissance à de nombreux autres objets mathématiques. Exemple de construction de courbe de Bézier. Théorie générale[modifier | modifier le code] La courbe de Bézier pour les n+1 points de contrôle (P0, ..., Pn), est l'ensemble des points définis par la représentation paramétrique , pour t ∈ [0 ; 1] et où les Bni sont les polynômes de Bernstein. La suite des points P0, ..., Pn forme le « polygone de contrôle de Bézier ». Exemples Pour n = 2, le polynôme de Bernstein est avec t ∈ [0 ; 1]. Pour n = 3 on a : Remarque . Et. 16 bezier. Polynôme de Bernstein. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les polynômes de Bernstein, nommés ainsi en l'honneur du mathématicien russe Sergeï Bernstein (1880-1968), permettent de donner une démonstration constructive et probabiliste[1] du théorème d'approximation de Weierstrass.

Ils sont également utilisés dans la formulation générale des courbes de Bézier. Description[modifier | modifier le code] Pour un degré m ≥ 0, il y a m + 1 polynômes de Bernstein Bm0, ..., Bmm définis, sur l'intervalle [0 ; 1], par où les sont les coefficients binomiaux. Barycentre (géométrie affine) Banalité du mal. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Banalité du mal

Cet article a besoin d'un nouveau plan. (mai 2016) Les informations dans cet article sont mal organisées, redondantes, ou il existe des sections bien trop longues. Améliorez-le ou soumettez des propositions en page de discussion. Adolf Eichmann, prenant des notes au cours de son procès à Jérusalem, en 1961. La « banalité du mal » est un concept philosophique développé par Hannah Arendt, en 1963, dans son ouvrage Eichmann à Jérusalem. Il a donné lieu à d'importantes polémiques en considérant que cette notion revient à déresponsabiliser les responsables nazis de leurs crimes, ce que n'a pas voulu dire Hannah Arendt. Le concept[modifier | modifier le code] Selon elle, pour Eichmann, il a joué à plein à partir de la conférence de Wannsee, en 1942[1]. En phase avec les remarques de Victor Klemperer sur le développement des stéréotypes en milieu nazi, Hannah Arendt montre que l'usage des clichés de langage diminuent la conscience des actes.

Expérience de Milgram. Graphique montrant que 65% des sujets de l'expérience infligent des souffrances maximales si on le leur ordonne.

Expérience de Milgram

Stanley Milgram. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Stanley Milgram

Stanley Milgram (15 août 1933 à New York dans le quartier du Bronx[1] - 20 décembre 1984 à New York) est un psychologue social américain. Il est principalement connu pour l'expérience de Milgram (sur la soumission à l'autorité) et l'expérience du petit monde. Il est considéré comme l'un des psychologues les plus importants du XXe siècle[2]. Biographie[modifier | modifier le code] Il obtient son diplôme de science politique au Queens College de New York en 1954. Par la suite, il travaille surtout à l'université Yale, où il fera ses découvertes majeures.

C'est de 1960 à 1963 que Milgram mène une série d'expériences, avec plusieurs variantes, visant à estimer à quel point un individu peut se plier aux ordres d'une autorité qu'il accepte, mais qui entre en contradiction avec sa conscience. En 1967, Milgram reprend une idée développée en 1929 par Frigyes Karinthy : la théorie des six degrés de séparation. Piste Recherche. L'obéissance (soumission à l'autorité) - Cours de psycho sociale. On parle de soumission à l'autorité lorsqu'un individu change de comportement afin de se soumettre aux ordres émanant d'une autorité perçue comme légitime.Différentes caractéristiques de cette forme d'influence sociale :- elle se situe à un niveau interindividuel (conformisme et innovation sont des phénomènes intragroupes) - elle implique un différent statut entre source et cible d'influence : un rapport hiérarchique - la pression de la part de la source d'influence est explicite : il y a volonté d'influencer. a) L'expérience de Milgram (années 1960-70) Milgram veut déterminer jusqu'où les individus peuvent aller dans des actes odieux, simplement parce qu'une personne qui représente une supériorité le leur a demandé.

L'obéissance (soumission à l'autorité) - Cours de psycho sociale

Les participants sont recrutés par petite annonce. Au moment où un participant arrive au laboratoire, on lui explique que la recherche porte sur le rôle de la punition dans l'apprentissage.