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Réflexion sur la marque

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Et si on passait de la com’ interne de papa à la communication collaborative. Vous le savez sans doute, si vous lisez régulièrement le BrandNewsBlog : l’évolution des métiers de la communication et des pratiques des communicants est un de mes sujets de prédilection.

Et si on passait de la com’ interne de papa à la communication collaborative

Après avoir abordé cette thématique sous différents angles et avoir régulièrement décrit les impacts de la transformation digitale de l’entreprise, j’avais notamment résumé quelques-unes de mes convictions en la matière dans cet article de synthèse¹. Reprenant à cette occasion les conclusions d’un groupe de travail de l’association Communication et entreprise et une liste détaillée de « 10 changements à gérer pour une intégration réussie du digital par les services com' », j’avais commenté les défis à relever sans trop m’étendre sur le rôle crucial de la communication interne…

L'image de l'entreprise - les composantes de l'identité corporate. Toute entreprise possède une véritable identité perçue en externe par l'image qu'elle renvoie.

L'image de l'entreprise - les composantes de l'identité corporate

Cette dernière est construite à partir de sa culture, des valeurs qu'elle incarne, de ses buts et objectifs stratégiques, de la personnalité des marques exploitées, des produits et services qu'elle commercialise, etc. Bref l'image de marque dépend d'un nombre important de facteurs. Maîtriser cette communication requiert une attitude volontaire pour mettre en cohérence le message que l'entreprise désire émettre et les vecteurs/canaux de communication impliqués : positionnement publicitaire, attitudes et comportements des collaborateurs, accueil téléphonique, packaging des produits, etc. Les enjeux sont conséquents. Une image de marque forte et c'est un taux de fidélisation qui s'envole.

LA COMMUNICATION 2.0 & LES MARQUES D’ALCOOL : UN COCKTAIL DÉTONANT. Réinventer les « marques territoires » à l’aune de l’expérience. Marketing Le 15/06/2017 La création de marques territoires s’avère insuffisante face à la concurrence touristique internationale et doit se focaliser davantage sur l’expérience humaine pour toucher sa cible.

Réinventer les « marques territoires » à l’aune de l’expérience

L’engouement mondial pour le « branding territorial », qui consiste à promouvoir l’identité d’une marque territoriale (OnlyLyon, beBerlin, I amsterdam, IloveNY, So Toulouse, Paris Region Source of Inspiration, etc.), est justifié par la forte concurrence entre les territoires. Cette compétition a surtout été accrue par la mondialisation, le développement des médias et la montée en puissance d’Internet. Désormais, ils cherchent à se différencier les uns des autres et à créer leur propre avantage concurrentiel. Les marques territoriales prolifèrent. OnlyLyon, par exemple, connaît un succès au niveau national. Priorité à l’humain Avec le branding expérientiel, la marque territoriale devient un agent culturel du territoire permettant de fidéliser et d’attirer de nouveaux acteurs. Une marque peut-elle s'approprier une couleur? Temps de lecture: 6 min Peut-on déposer une couleur, voire la «posséder»?

Une marque peut-elle s'approprier une couleur?

La couleur est le premier signe qui joue un rôle dans l’identification d’un produit et sa (re)connaissance. Régulièrement, la question se pose autour de Christian Louboutin et de ses chaussures à semelle rouge, qui suscitent bien des émules. Hautement concerné par la prolifération de ce type de modèles, le créateur défend ce qu’il considère comme sa signature et qu’il a déposé –dans la mesure du possible. Semelle rouge et concurrence déloyale La légende des Louboutin à semelle rouge est le fruit d’un hasard –une première paire peinte avec du vernis–, transformé en signature. Dans une dernière affaire, le créateur s’oppose à la société Van Haren, en Hollande. Louboutin estime avoir déposé pour le Benelux «la combinaison formée d’un talon haut et d’une semelle rouge».

Une protection juridique exceptionnelle. "Face au 'new normal', les marques de luxe doivent inventer d'urgence une manière de conquérir le Net", prévient Olivier Atban du B.C.G. L’Usine Digitale : Avant de commencer, quel est le périmètre du marché du Luxe ?

"Face au 'new normal', les marques de luxe doivent inventer d'urgence une manière de conquérir le Net", prévient Olivier Atban du B.C.G.

Olivier Abtan : Il est très difficile à délimiter. Pour le cerner, nous réalisons une étude auprès de 10 000 personnes dans 10 pays. Il en ressort un marché global du luxe de 1 500 milliards d’euros, avec quatre compartiments principaux : les biens de luxe (la parfumerie, les sacs, les objets luxueux), le luxe d’expérience (la nourriture, la restauration et l’hôtellerie haut de gamme ou le yachting), les voitures de luxe et un dernier secteur que nous appelons "autres". Bon an, mal an, les estimations qui partent du chiffre d’affaires des entreprises du secteur sont proches de la nôtre. Pourquoi publier aujourd’hui une étude sur la nécessaire numérisation du secteur du Luxe ? Stéphane Truchi : "Le luxe doit garder sa capacité à construire du rêve" La règle des 4 "E" du Marketing Digital pour les marques de Luxe. Tout bon marketeur qui se respecte connait la règle des 4P: - Product – Price – Promotion – Place Certains, plus audacieux, parlent de 5 ou parfois même de 7P.

La règle des 4 "E" du Marketing Digital pour les marques de Luxe

(en rajoutant People, Packaging et Process). Que nous réserve l’avenir ? Les 14 ou 18 P ? Être une marque forte à l'heure des réseaux sociaux - BUSINESS REVOLUTION. « La marque, c’est ce que les gens pensent de vous, explique Kapferer, ça ça vaut de l’or, quand vous avez des centaines de millions de gens qui pensent du bien de vous, le good will, et bien vous pouvez résister à toutes les crises !

Être une marque forte à l'heure des réseaux sociaux - BUSINESS REVOLUTION

» Avec l’avènement des médias sociaux, les marques sont sans cesse guettées, scrutées par les clients et les consommateurs qui à n’importe quel moment peuvent dire si ils adorent ou détestent la marque. Pour Jean Noel Kapferer, les marques ne contrôlent plus rien, c’est le consommateur qui fixe les règles du jeu. Cela exige donc une parfaite transparence de la part des marques qui sont contraintes à viser le zéro défaut ; conclusion : la révolution digitale a augmenté le niveau de la qualité des produits. Cette révolution technologique oblige aussi les entreprises à revoir leur recrutement en embauchant des « digital natives » capable de gérer les nouvelles formes de communication sur les réseaux sociaux.

Index. 7 Français sur 10 prêts à être infidèles aux marques. Infidèles, les Français ?

7 Français sur 10 prêts à être infidèles aux marques

Seuls 47 % des habitants de l'Hexagone sont fidèles aux marques du secteur de la mode et des accessoires, selon une étude de menée par l'institut LH2, marque du groupe BVA, pour le site communautaire de codes de réduction ma-reduc.com. 61% des Français reconnaissent quant à eux être "loyaux" envers les marques de cosmétiques et de la beauté, et 6 sur 10 le sont envers les marques de l'high-tech.

Et pour cause : lors de leurs achats de produits dans ces secteurs, les Français déclarent prendre en compte avant tout le prix, la qualité et la bonne adaptation à leurs besoins. Autre "révélation" : l'attachement à la marque serait davantage une question d'habitude... et d'affection. Au sommet des motivations des Français à se procurer des produits de marque, se trouve ainsi le fait qu'ils aiment la marque et qu'ils y sont habitués, pour 60 % des interrogés. Suit, pour 27 % d'entre eux seulement, la qualité de ces produits. IONIS BRAND Culture.

La marque - 2e édition - Chantal Lai. A la recherche de nouvelles temporalités. Francoise Hernaez Fourrier a dévoilé une étude menée par Ipsos.

A la recherche de nouvelles temporalités

Marques: feuille de route 2013 - ETUDE. En ce début d’année, l’agence de branding Landor Associates a interrogé les 10 familles qui constituent l’observatoire Landor Families depuis maintenant 5 ans.

Marques: feuille de route 2013 - ETUDE

Les familles ont été invitées à porter un regard rétrospectif sur 2012 et à nous faire part de leurs attentes pour 2013. L'Observatoire Influencia - Les marques ont-elles quelque chose à voir avec l’intérêt général? Publié le 21 décembre 2011 Réponse au point de vue de Dominique Wolton, interviewé par INfluencia le 14 décembre dernier, de Denis Gancel et Gilles Deléris, co-fondateurs de W&Cie et co-auteurs de Ecce Logo, Les marques, Anges et Démons du XXIe siècle... Les marques ont-elles quelque chose à voir avec l’intérêt général? Dominique Wolton, au Collège des Bernardins, lors du débat autour du livre Ecce Logo, puis interviewé par INfluencia, défend avec virulence l’idée contraire. Il reproche aux marques et aux publicitaires (“Vous êtes tous les mêmes” ?) D’outrepasser leur rôle, les accuse de pêcher par orgueil. Stratégies - Marketing, Communication, Médias, Marques, Conseils, Publicité. Personnalité de la marque. L'Observatoire Influencia - Les marques, pourvoyeuses d’identité?

Publié le 14 décembre 2011 Affirmer sa singularité, exprimer ses différences en consommant, voilà une nouvelle frontière à explorer pour les marques. Comment peuvent-elles participer à “l’invention de soi“ ? Voici quelques pistes... Www.influenciatendance.net/lerapport/2014/ LE Rapport INfluencia / Dagobert : c'est quoi une marque qui compte ? La perte de valeur de la marque est au cœur des préoccupations des professionnels du marketing et de la communication.

Pourtant, l’importance de cet actif immatériel semble très relative pour une majorité de consommateurs, comme le montre l’étude exclusive réalisée par Limelight Consulting pour LE Rapport INfluencia / Dagobert La marque est souvent l’alfa et l’oméga de la stratégie des entreprises, l’élément sur lequel elles s’appuient pour bâtir leur avenir et entretenir la relation de confiance nouée avec leurs consommateurs. Le résultat de l’enquête menée par Limelight Consulting en juillet dernier auprès d’une centaine de professionnels du marketing et de la communication n’en est que plus rude : très peu de marques compteraient vraiment pour les consommateurs ! 65 % des personnes interrogées ont en effet estimé que, parmi les marques qu’elles consomment personnellement, peu ou très peu d’entre elles comptent vraiment à leurs yeux. Des marques au cœur du quotidien. Identitévisuelle.