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Cloud Computing

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Métiers du Cloud et du Big data : des recrutements difficiles malgré la forte demande. L’explosion de la donnée numérique est sur le point d’atteindre toutes les entreprises. L’expansion du Cloud et du Big data impose désormais de nouveaux besoins dans les sociétés. Syntec Numérique a contribué à l’élaboration d’une étude sur l’emploi et la formation en matière de Cloud et Big Data. Ainsi le syndicat avait également recouru à l’OPIIEC afin d’évaluer les progrès à réaliser dans ce domaine. Les domaines de compétence prioritaires Évidemment, le bouleversement technologique de ces vingt dernières années a des répercussions sur les entreprises.

Cela a également un impact sur les compétences requises dans le secteur numérique. Un manque de profit malgré une demande excessive Le cloud computing et le big data sont actuellement les deux principales mutations technologiques pour les entreprises du secteur numérique. La raison en est que le marché de l’emploi dans ces domaines est en pleine explosion. Cloud Computing : Pourquoi l'approche hybride est logique, pour le moment - ZDNet. Pour les DSI réticents à tout confier de leur infrastructure au Cloud public, ou ceux toujours attachés à leur centre de données interne, le Cloud hybride - qui consiste à utiliser un mix de ressources de Cloud privé et public - fournit un juste milieu. Ici, nous examinons quelques-unes des questions clés autour de cette méthode d'infrastructure. Pourquoi un décideur IT aurait-il besoin de recourir à une approche hybride ? Pour de nombreux DSI, il semble que le Cloud hybride soit simplement la seule option viable. Les bénéfices du Cloud public, comme la flexibilité, la montée en charge, et la rentabilité, paraissent séduisants pris isolément.

Mais ces avantages s'accompagnent d'un ensemble considérable d'obstacles, tels que les problèmes de sécurité, les questions de gouvernance, et les contraintes de gestion de l'information Mark Ridley, directeur technologique du spécialiste du recrutement sur Internet Reed.co.uk, est partisan d'une IT à la demande. Chronique du web : Les dix inconvénients du cloud computing Bamako Mali.

Après les numéros successifs de votre chronique consacrés au cloud computing, je suis en droit d'attendre de vous plus de familiarité avec cette petite merveille technologique. Si tel n'est pas le cas, ce n'est pas la fin du monde et surtout ne soyez pas du tout effarouchés. En effet, vous avez l'éternité devant vous pour refaire votre retard. Ceci dit, nous avons écrit beaucoup de bien du cloud computing, tellement de bien qu'on a du mal à tirer à sonnette d'alarme et à vous mettre en garde contre cette formidable avancée technologique.

Pourtant, par honnêteté intellectuelle, nous avons l'obligation de vous mettre en garde contre les inconvénients du cloud computing. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. En conclusion, notre spécialiste note que le cloud computing n’est pas une mauvaise chose, bien au contraire, mais il est nécéssaire avant de le mettre en place de peser le pour et le contre.

Serge de MERIDIO Source: InfoSept. BlaBlaCar n'a pas choisi Docker, mais CoreOS : Cloud 2.0 : les premières entreprises françaises engagées dans la révolution des containers. BlaBlaCar évolue vers une infrastructure de containers. "Cela va nous permettre de mieux gérer nos déploiements, que ce soit dans l'un de nos six datacenters, ou sur AWS que nous utilisons pour le stockage des photos des membres ou des traitements batch", nous expliquait Francis Nappez, directeur technique de la start-up, fin 2015. Dans cette optique, BlaBlaCar a décidé de déployer Rocket : le fork de Docker développé par CoreOS. Embarquant chacun un service applicatif (une base de donnée, un serveur web...), les containers Docker vont non seulement permettre à BlaBlaCar de standardiser ses déploiements. Mais aussi d'allouer finement à chaque composant de son site le bon niveau de ressources informatiques.

Le cloud computing reprend de la hauteur. Le vendredi 5 février a été le vendredi noir du cloud computing avec une baisse historique de l’indice BVP Cloud réalisé par la société d’investissement définie Bessemer Venture Partners. Bessemer Venture Partners a défini en 2011 l’indice BVP Cloud dont l’objectif est de définir l’évolution du secteur du cloud computing.

Cet indice est composé de la valeur de 44 entreprises américaines – dont 28 ont une capitalisation est supérieure à 1 milliard de dollars – dont l’activité est 100 % cloud et qui sont cotées en bourse (voir liste ci-dessous). En sont exclus les grands acteurs du cloud comme AWS, IBM, Microsoft, Oracle… dont l’activité cloud ne représentent qu’une partie de leur activité, encore relativement modeste, et dont l’évolution de l’indice boursier n’est pas représentatif que du cloud. Mais en mars, l’indice a rebondi de 23 % regagnant ainsi les 28 milliards perdu ce 5 février mais encore assez loin du maximum atteint en décembre 2015. Le cloud et votre hyperviseur : ce que vous devez savoir. En quelques années la virtualisation a aidé de nombreuses entreprises à consolider leur environnement, parfois supprimer une empreinte matérielle massive et en définitive créer une infrastructure plus agile.

Désormais le centre de données moderne se doit de trouver de nouvelles façons d'exploiter la virtualisation pour mieux répondre aux besoins des organisations. Et question cloud computing il est important de bien comprendre combien la virtualisation dans un environnement de centre de données distribuée de type cloud permet aux responsables informatiques de développer de nouvelles stratégies et de nouveaux plans informatiques. La gestion des ressources et la planification des capacités jouent à ce titre un rôle important. Et tout passe par une bonne connaissance des hyperviseurs. Travailler avec les hyperviseurs Concrètement, l'hyperviseur propose aux systèmes d'exploitation invités une plate-forme d'exploitation virtuelle et assure leur exécution sur le serveur physique. Ces entreprises qui choisissent le cloud. L’innovation qui a le plus bouleversé le fonctionnement des entreprises ces dernières années est sans aucun doute celle du cloud.

Le serveur concerne de plus en plus d’acteurs et cette tendance n’est pas prête de s’inverser. Zoom sur ces business qui ont fait le choix du nuage. La préférence du serveur cloud se confirme Le cloud computing remplace doucement mais surement les anciennes versions de serveurs dans les cœurs des entrepreneurs. Plusieurs raisons à cela. Cette évolution suit en tout point l’évolution de l’économie actuelle : une plus grande flexibilité dans les ressources, une disponibilité des données permanente et qui ne connait pas de frontière. Tels sont les principaux avantages accordés au Cloud. La solution cloud plait aussi parce qu’elle est bien moins onéreuse et nettement plus rapide que les solutions de serveur antérieures. Un rapport performance-prix qui en a séduit plus d’un Image Sur le même thème Le cloud en France 21 décembre 2015 Dans "Inclassable" 25 novembre 2013.

Le cloud, base de toutes les ruptures technologiques à venir. Dans le monde actuel piloté par la technologie, il est facile de se laisser prendre dans un enchaînement sans fin de nouveaux termes à la mode. Vous savez de quels termes je veux parler : "rupture", "culture de l'innovation", "ère de l'application", "consumérisation de l'IT"... la liste est interminable. Récemment, j'ai préparé pour mes responsables une présentation sur les tendances technologiques. En relisant mon travail, j'ai constaté que ces termes (et beaucoup d'autres) revenaient tout du long. Et bien le fondement de tous ces termes et modèles économiques peut être résumé en un seul mot : "cloud".

Car la nature distribuée du cloud computing a amené la "démocratisation de l'informatique" (dernier terme à la mode entre guillemets, je le promets). Cette démocratisation a brisé la barrière des coûts d'accès à l'informatique, tout au moins en surface, et a facilité la conception et le déploiement de nouvelles solutions d'entreprise. Prenons Uber, par exemple. Cloud : Microsoft défie Amazon Web Services dans les grandes entreprises.

Une étude révèle que le cloud de Microsoft affiche de belles progressions en termes d'adoption. Les grandes entreprises sont nombreuses à tester et vouloir utiliser Azure. 2016 pourrait bien être une "année tournant" pour Microsoft dans le cloud computing. L'engouement en faveur de son offre Azure n'aurait en effet jamais été aussi important, en particulier chez les grandes entreprises. D'après une étude réalisée par Rightscale auprès de 1 060 décideurs IT à travers le monde, 28% des sociétés de plus de 1000 salariés testent actuellement le cloud d'infrastructure (IaaS) de Microsoft, et 13% prévoient de l'adopter. Toujours selon Rightscale, Microsoft demeure leader sur le terrain du PaaS (Platform as a Service) avec un taux d'adoption de 13% toutes entreprises confondues. L'engouement pour Azure moins important chez les PME Parmi les sociétés de moins de 1 000 salariés, l'engouement en faveur du cloud de Microsoft serait également bien présent, mais moins important.

4 millions d'applications sont hébergées sur le cloud de Google. L'information a été dévoilée par le PDG de Google, Sundar Pichai, à l'occasion de la publication des résultats trimestriels de société. Lors de la publication de ses derniers résultats trimestriels ce lundi 1er février, Google a réaffirmé par la voix de son PDG, Sundar Pichai, sa volonté de se positionner comme leader du cloud computing. "Le cloud public est un positionnement naturel pour nous.

Nous sommes parvenus à un niveau où le produit est prêt pour une utilisation à grande échelle", a notamment indiqué le PDG (dont les propos sont rapportés par Fortune). Sundar Pichai a aussi précisé que 4 millions d'applications étaient motorisées par le cloud de Google. Lors d'une conférence à San Francisco fin novembre, Urs Hölzle, 8ème employé de Google et grand patron du cloud du groupe américain, avait estimé que d'ici les cinq prochaines années, le chiffre d'affaires de Google Cloud Platform pourrait dépasser celui tiré par le groupe de la publicité.

Quelle définition pour le « Cloud Computing » Comment définir simplement le terme de « Cloud Computing » et savoir ce qu’il englobe ? Le National Institue of Standards and Technology (NIST) en a donné une définition qui est souvent citée comme référence. Cette définition a été reprise dans le magazine Global Security Mag et nous souhaitions vous la faire partager : « L’informatique dans les nuages » est une nouvelle façon de délivrer les ressources informatiques, et non une nouvelle technologie. » C’est un modèle qui permet l’accès au réseau à la demande.

Un accès en libre-service à la demande aux capacités de calcul. Le NIST dénombre 3 modèles de service : Cloud Software as a Service (SaaS) : l’utilisateur a la possibilité d’utiliser les applications du fournisseur de services via le réseau. Selon les approches des entreprises, on distingue plusieurs modèles de déploiement des services de Cloud Computing : Cloud - Les environnements de stockage continuent de se transformer. Les fournisseurs de services IaaS redoublent d'efforts pour convaincre les entreprises et les administrations d'adopter leurs plateformes de Cloud public, y compris afin d'y stocker leurs données, par exemple pour la sauvegarde. Le marketing de ces acteurs paie-t-il ? L'étude de 451 Research ne le dit pas, et il est vraisemblable que des arguments plus tangibles pèsent en faveur de l'adoption du Cloud.

Le cabinet estime quoi qu'il en soit que la transformation des environnements de stockage s'accompagnera de dépenses accrues en faveur du stockage en Cloud public. 17% des dépenses de stockage alloués au Cloud public 451 Research estime ainsi que la part de la dépense allouée à ce mode de stockage doublera au cours des deux prochaines années, et ce "largement aux dépens du stockage traditionnel sur site" ou on-premise. La croissance de la dépense sera cependant moindre en Europe et dans les grandes entreprises (plus de 10.000 salariés). Economie numérique et transformation du stockage.

«Un déploiement du cloud en plusieurs étapes» Dans le cadre des journées eHandwierk, la Chambre des métiers organise plusieurs rencontres sur «le cloud computing dans les PME artisanales». Tom Majeres, conseiller économique à la Chambre des métiers, explique le concept et ses atouts pour les PME. Monsieur Majeres, quelles sont les plus-values économiques et technologiques que génèrent les solutions «cloud» dans une entreprise artisanale de taille réduite? «Avec le cloud, les entreprises peuvent choisir leurs prestations ‘à la carte’ (stockage, applications, nombre d’usagers, etc.). Ceci leur permet de réduire les dépenses liées aux infrastructures technologiques de manière significative. Le cloud est un outil informatique simple avec lequel il est possible de travailler de manière collaborative et qui permet un partage ou une modification de fichiers efficaces et constructifs.

Comment mettre en œuvre le cloud computing dans une PME? Le processus de déploiement du cloud doit idéalement se faire en plusieurs étapes. Les 7 compétences clés dans le Cloud et le Big data. Les besoins en compétences Cloud et Big Data sont fortes et évoluent rapidement. Pour mieux appréhender ces évolutions, l’Observatoire paritaire des métiers du numérique, de l’ingénierie, des études et du conseil (OPIIEC) a validé le mois dernier l’étude Cloud et Big Data du cabinet Ambroise Bouteille & Associés et de l’Idate. Celle-ci a été réalisée auprès de 200 entreprises de la branche en France ou utilisatrices de ces technologies. 7 compétences par domaine sont mises en avant. Dans les métiers de la data, l’expertise technique ne suffit plus, les « soft skills » – capacités relationnelles, sens du leadership – peuvent faire la différence, notamment pour les data scientists très prisés.

Effacés par la popularité de ces experts de l’analyse statistique des données, également capables de répondre à une problématique business, les métiers de l’infrastructure restent essentiels pour que les données puissent être traitées, analysées et apportent de la valeur à l’organisation concernée. Infrastructure cloud : un marché en croissance de 23% 1/3 des dépenses d'infrastructure IT vont directement dans le cloud computing. Ce sont les analystes d'IDC (International Data Corp) qui le mentionnent dans la dernière livraison de leur rapport trimestriel sur le Cloud Computing. Ils définissent le terme « infrastructure IT » par les serveurs, les instances de stockage et les switches Ethernet. Le cabinet d'analyse affirme que les entreprises ont dépensé 7,6 milliards de dollars dans l'infrastructure cloud au troisièmes trimestre 2015, soit 23,5% de croissance sur un an (6,15 milliards de dollars au Q3 2014).

Ce montant représente 33,8% de toutes les dépenses d'infrastructure IT, soit une croissance de 15% sur la totalité des dépenses IT sur les 12 derniers mois. Part de marché des différents vendeurs d'infrastructure de cloud au troisième trimestre 2015. (Source : IDC) Chiffre d'affaires, part de marché et évolution de l'activité des vendeurs d'infrastructure de cloud entre le troisième trimestre 2014 et le troisième trimestre 2015.

Cloud : un "combat de rue" se prépare entre Amazon et Microsoft. Cloud : la société Citrix infiltrée.